3 resultados para Islam, musulman, organisation, représentation, espace public, association, Suisse

em Universidade do Minho


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La carte postale est un kaléidoscope de vues, d’ornements et de couleurs, qui consacre un tout petit espace au message. C’est à la photographie et aux procédés de reproduction photomécaniques que revient le mérite d’avoir industrialisé la production de la carte postale. Et ce sont les clichés de villes, avec leurs monuments et leurs paysages, qui confèrent à la carte postale son statut de moyen de communication de masse et qui lui concèdent une affinité avec l’industrie du tourisme. La carte postale s’est ainsi emparée de l’ambition photographique de reproduire le monde, s’alliant aux « besoins de l’exploration, des expéditions et des relevés topographiques » du médium photographique à ses débuts. Ayant comme point de départ la carte postale, notre objectif est de montrer les conséquences culturelles de la révolution optique, commencée au milieu du XIXe siècle, avec l’invention de l’appareil photo, et consumée dans la seconde moitié du XXe siècle, avec l’apparition de l’ordinateur. En effet, depuis l’apparition de l’appareil photographique et des cartes postales jusqu’au flux de pixels de Google Images et aux images satellite de Google Earth, un entrelacement de territoire, puissance et technique a été mis en oeuvre, la terre devenant, en conséquence, de plus en plus auscultée par les appareils de vision, ce qui impacte sur la perception de l’espace. Nous espérons pouvoir montrer avec cette étude que la lettre traditionnelle est à l’email ce que la carte postale est au post que l’on publie dans un blog ou dans des réseaux comme Facebook et Twitter. À notre sens, les cartes postales correspondent à l’ouverture maximale du système postal moderne, qui d’universel devient dépendant et partie intégrante des réseaux télématiques d’envoi. Par elles sont annoncés, en effet, la vitesse de transmission de l’information, la brièveté de la parole et l’hégémonie de la dimension imagétique du message, et pour finir, l’embarras provoqué par la fusion de l’espace public avec l’espace privé.

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Microbiology as a scientific discipline recognised the need to preserve microorganisms for scientific studies establishing from its very beginning research culture collections (CC). Later on, to better serve different scientific fields and bioindustries with the increasing number of strains of scientific, medical, ecological and biotechnological importance public service CC were established with the specific aims to support their user communities. Currently, the more developed public service CC are recognised as microBiological Resources Centres (mBRC). mBRC are considered to be one of the key elements for sustainable international scientific infrastructure, which is necessary to underpin successful delivery of the benefits of biotechnology, whether within the health sector, the industrial sector or other sectors, and in turn ensure that these advances help drive economic growth. In more detail, mBRCs are defined by Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) as service providers and repositories of the living cells, genomes of organisms, and information relating to heredity and functions of biological systems. mBRCs contain collections of culturable organisms (e.g., microorganisms, plant, animal cells), replicable parts of these (e.g. genomes, plasmids, virus, cDNAs), viable but not yet culturable organisms, cells and tissues, as well as database containing molecular, physiological and structural information relevant to these collections and related bioinformatics. Thus mBRCs are fundamental to harnessing and preserving the world’s microbial biodiversity and genetic resources and serve as an essential element of the infrastructure for research and development. mBRCs serve a multitude of functions and assume a range of shapes and forms. Some are large national centres performing a comprehensive role providing access to diverse organisms. Other centres play much narrower, yet important, roles supplying limited but crucial specialised resources. In the era of the knowledge-based bio-economy mBRCs are recognised as vital element to underpinning the biotechnology.