4 resultados para isoformes a et b
em Helda - Digital Repository of University of Helsinki
Resumo:
In a search for new phenomena in a signature suppressed in the standard model of elementary particles (SM), we compare the inclusive production of events containing a lepton, a photon, significant transverse momentum imbalance (MET), and a jet identified as containing a b-quark, to SM predictions. The search uses data produced in proton-antiproton collisions at 1.96 TeV corresponding to 1.9 fb-1 of integrated luminosity taken with the CDF detector at the Fermilab Tevatron. We find 28 lepton+photon+MET+b events versus an expectation of 31.0+4.1/-3.5 events. If we further require events to contain at least three jets and large total transverse energy, simulations predict that the largest SM source is top-quark pair production with an additional radiated photon, ttbar+photon. In the data we observe 16 ttbar+photon candidate events versus an expectation from SM sources of 11.2+2.3/-2.1. Assuming the difference between the observed number and the predicted non-top-quark total is due to SM top quark production, we estimate the ttg cross section to be 0.15 +- 0.08 pb.
Resumo:
We present a signature-based search for anomalous production of events containing a photon, two jets, of which at least one is identified as originating from a b quark, and missing transverse energy. The search uses data corresponding to 2.0/fb of integrated luminosity from p-pbar collisions at a center-of-mass energy of sqrt(s)=1.96 TeV, collected with the CDF II detector at the Fermilab Tevatron. From 6,697,466 events with a photon candidate with transverse energy ET> 25 GeV, we find 617 events with missing transverse energy > 25 GeV and two or more jets with ET> 15 GeV, at least one identified as originating from a b quark, versus an expectation of 607+- 113 events. Increasing the requirement on missing transverse energy to 50 GeV, we find 28 events versus an expectation of 30+-11 events. We find no indications of non-standard-model phenomena.
Resumo:
Les participes présents apparaissent, entre autres, dans des constructions à prédication seconde détachées : (1) Intervenant hier soir à Ankara, […], Vladimir Poutine s’est risqué à […]. (Le Figaro 7.12.2004 : 4) Même si les gérondifs, formes adverbiales du verbe (« converbes », cf. Haspelmath & König 1995), n’ont pas d’incidence nominale, contrairement aux participes présents, formes adjectivales du verbe, et ne sont donc pas toujours comptés parmi les constructions à prédication seconde (p.ex. Neveu 1998), les deux ont des emplois assez proches : dans des énoncés du type (2a-b), le participe adjoint peut être paraphrasé par un gérondif, même si son statut fonctionnel n’est pas le même (Halmøy, 2003 : 156-157) : (2a) Arrivant à Paris, Emile a proposé à Léa de [...]. (2b) En arrivant à Paris, Emile a proposé à Léa de[...]. (Halmøy, 2003 : 157) Le finnois ne connaît ni ce genre de constructions détachés ni de forme appelée ‘gérondif’, et les deux participes présents finnois (actif et passif) ne correspondent jamais à un participe présent détaché français : en plus de subordonnées, on trouve à leur place le deuxième infinitif, soit à l’inessif, soit à l’instructif, formes nominales qu’on trouve également dans la traduction des gérondifs : (3a) […] ? me demanda-t-elle sèchement en me montrant l’une des lignes incriminées. (Nothomb, p. 62) […] : hän kysyi minulta kuivakkaasti näyttäen erästä Unajin moittimaa riviä. (Suni, p. 4) (3b) L’espace d’un instant, il sourit, croyant que […] je m’étais trompée de commodités. (Nothomb, p. 138-139) Hetken hän hymyili luullen, että minä […] olin erehtynyt mukavuuslaitoksesta. (Suni, p. 94) : Dans cette communication, nous examinerons quatre traductions littéraires en nous demandant dans quels cas et de quelle manière la différence entre le participe et le gérondif a éventuellement été prise en considération.