2 resultados para Reconnaissance de formes
em Biblioteca Digital de la Universidad Católica Argentina
Resumo:
Résumé: Le travail collaboratif s’invite à présent partout, et est identifié dans des domaines aussi multiples que variés. Dans le monde de l’entreprise, de la prise en charge médico-sociale, de l’éducation / formation, de la recherche, de l’économie, de la politique, de la gestion de carrière… etc. Ce travail vise dans un premier temps à décliner ce qu’est la collaboration, ses caractéristiques, ses contextes d’utilisation, et la façon dont elle se différencie des autres formes d’organisation (coopération et compétition notamment). Dans un deuxième temps, il réexamine la question de la nouveauté du travail collaboratif à la lumière des résultats obtenus. S’il est assez évident que les « ingrédients », les attributs du travail collaboratif ne sont pas nouveaux (le développement informatique mis à part), il semble en revanche que les combinaisons rencontrées et les domaines d’application génèrent de nouvelles questions. Pour finir, en s’inspirant des termes associés à collaboration, il considère quelques-uns des nouveaux enjeux dans la sphère professionnelle.
Resumo:
Résumé: Le défi vital que la Révélation pose à la philosophie légitime la question de leurs rapports possibles. La raison considère d’abord l’absence de rapport en distinguant radicalement ce qui relève de chacune. Mais l’élan fondamental orienté vers le divin qui anime cette faculté, la rend naturellement théologique. Pour éviter le scepticisme, incompatible avec son dynamisme naturel, la raison finit par dévaloriser la Révélation. Cette attitude signifie l’unicité de l’autorité théologique de la raison, alors naturellement divine. Développée à partir du XVIIIème siècle, elle culmine avec l’homme démiurgique des XIX et XXème siècles. Mais, ne pouvant justifier l’universalité de ses élaborations idéologiques, la raison hésite entre le scepticisme ou le totalitarisme, deux renoncements à l’exercice philosophique. L’acceptation du soutien lumineux de la Révélation, qui suppose l’humble reconnaissance des limites de la raison, ne nuit pas à cet exercice, mais le féconde, et, seule, en permet l’épanouissement. Eclairée par la Révélation, la philosophie contribue au bonheur suprême des hommes, qui demeure son intention fondamentale.