2 resultados para Philosophie de la physique

em Biblioteca Digital de la Universidad Católica Argentina


Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Contenido: Sapientia, Veinticinco años después / Octavio N. Derisi – Tomás de Aquino, peregrino de Dios / Adolfo Muñoz Alonso – Qu’est-ce que la philosophie? / A. Dondeyne – La subordinación de la lógica a la ciencia / A. Furlán – Volición y voluntad en Aristóteles / B. Raffo Magnasco – Entendement et imagination selon Aristote / A. Guy – Le problème de l’existence de Dieu dans le Commentaire de Saint Thomas sur la Physique d’Aristote / F. Van Steenberghen – Individuación, analogía y participación en el plano físico / J. E. Bolzán – La “Summa Physicorum” y la filosofía natural de Grosseteste / C. Lértora Mendoza – El infinito actual en Santo Tomás / O. Argerami – Tomás de Aquino en la Universidad de París / G. E. Ponferrada – Dante y la filosofía / G. Terán – El ámbito del objeto de la fenomenología en E. Husserl / O. N. Derisi – Orígenes doctrinales de la Tercera Escolástica en la filosofía argentina del siglo XIX / A. Caturelli – Hegel e Cristo / C. Fabro – Sapientia reconsidered / A. G. M. Van Melsen – El punto de partida de la metafísica : ¿abstracción o intuición? / J. R. Sanabria – La catégorie hégélienne de contradiction / R. Verneaux – La ontología modificada / C. A. Iturralde Colombres – L’acte moral et le sujet / J. de Finance – La crítica de Monseñor Derisi a la ciencia política empírica / A. E. Sampay – Notas y comentarios -- Bibliografía

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé: Le défi vital que la Révélation pose à la philosophie légitime la question de leurs rapports possibles. La raison considère d’abord l’absence de rapport en distinguant radicalement ce qui relève de chacune. Mais l’élan fondamental orienté vers le divin qui anime cette faculté, la rend naturellement théologique. Pour éviter le scepticisme, incompatible avec son dynamisme naturel, la raison finit par dévaloriser la Révélation. Cette attitude signifie l’unicité de l’autorité théologique de la raison, alors naturellement divine. Développée à partir du XVIIIème siècle, elle culmine avec l’homme démiurgique des XIX et XXème siècles. Mais, ne pouvant justifier l’universalité de ses élaborations idéologiques, la raison hésite entre le scepticisme ou le totalitarisme, deux renoncements à l’exercice philosophique. L’acceptation du soutien lumineux de la Révélation, qui suppose l’humble reconnaissance des limites de la raison, ne nuit pas à cet exercice, mais le féconde, et, seule, en permet l’épanouissement. Eclairée par la Révélation, la philosophie contribue au bonheur suprême des hommes, qui demeure son intention fondamentale.