2 resultados para inconscient machinique
em Instituto Superior de Psicologia Aplicada - Lisboa
Resumo:
Quand l’inconscient passe la frontière du conscient, il n’est plus inconscient; il devient “consciencialisable”, il n’est donc plus ce qu’il avait été jusquelà: il n’est plus luimême. Comment pourrionsnous le percevoir à ce momentlà, comme quelque chose d’inconscient ou bien même en parler scientifiquement? Et comment pourrions nous parler de l’inconscient en tant qu’élément appartenant à la littérature, ou en en tant qu’élément constitutif de celleci ou même comme oeuvre littéraire, quand, dans un premier temps, nous percevons le texte littéraire comme une simple disposition de lettres, et non comme un être humain, dont nous pourrions expliquer les actes par des motivations inconscientes? Quel élément traverse la limite de l’inconscient vers le conscient, puis traverse la frontière entre l’homme et le texte et repasse du texte à l’homme? Qu’est ce que cela signifiait autrefois, qu’est ce que cela signifie à l’heure actuelle? Se produitil vraiment quelque chose? Y atil vraiment “quelque chose” qui traverse la frontière menant au texte? Qu’est ce qui nous donne donc le droit, au nom de la “science”, de formuler des suppositions psychanalytiques sur l’inconscient d’un texte.
Resumo:
Nous savons déjà que “mon” discours me révèle sujet d’un désir inconscient, et même si c’est pour nous une platitude elle demeure vraie. La lettre, ce pourrait être ce qui pointe le “sujet” – inconscient comme chacun sait depuis Freud – à condition que l’on sache la lire, je veux dire l’analyser. L’analyser, car cette lettre n’a pas qu’un sens. Bref, ce serait la pointe d’aboutissement de la métaphore, que la psychanalyse aujourd’hui sait interpréter.