3 resultados para Temps dans l’art

em Instituto Superior de Psicologia Aplicada - Lisboa


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La Comédie Française a récemment mis à l’affiche La Grande magie, titre plein de promesses pour mes recherches sur les techniques magiques dans l’art. Ainsi aije découvert une oeuvre étonnante qui a pour coeur la question de l’illusion. Avant même que Winnicott ait fait de cette notion un concept de la clinique, elle montrait sa fonction d’écran entre le sujet et la réalité, le lien entre l’illusion et le jeu qui en est l’étymologie, entre autres dans l’art dramatique. Son auteur, metteur en scène, acteur et directeur de troupe, Eduardo de Filippo mort en 1984, tenait tout particulièrement à cette pièce, malgré l’accueil mitigé qu’elle reçut à ses débuts, en 1948.

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Quand l’inconscient passe la frontière du conscient, il n’est plus inconscient; il devient “consciencialisable”, il n’est donc plus ce qu’il avait été jusquelà: il n’est plus luimême. Comment pourrionsnous le percevoir à ce momentlà, comme quelque chose d’inconscient ou bien même en parler scientifiquement? Et comment pourrions nous parler de l’inconscient en tant qu’élément appartenant à la littérature, ou en en tant qu’élément constitutif de celleci ou même comme oeuvre littéraire, quand, dans un premier temps, nous percevons le texte littéraire comme une simple disposition de lettres, et non comme un être humain, dont nous pourrions expliquer les actes par des motivations inconscientes? Quel élément traverse la limite de l’inconscient vers le conscient, puis traverse la frontière entre l’homme et le texte et repasse du texte à l’homme? Qu’est ce que cela signifiait autrefois, qu’est ce que cela signifie à l’heure actuelle? Se produitil vraiment quelque chose? Y atil vraiment “quelque chose” qui traverse la frontière menant au texte? Qu’est ce qui nous donne donc le droit, au nom de la “science”, de formuler des suppositions psychanalytiques sur l’inconscient d’un texte.

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Dans un interview Susan Hiller a dit que «nous habitons tous dans le musée Freud» car «le musée Freud est un concept culturel auquel nous ne pouvons pas échapper» . Cette idée a été confirmée par Marina Warner dans sa préface au guide du musée Freud, quand elle a déclaré que «Sigmund Freud a formé l’idée de ce qu’est une personne au cours du vingtième siècle; nous ne nous reconnaîtrions pas sans lui» . Née Etats Unis en 1940, Hiller s’est installée à Londres en 1969 après avoir abandonnée ses études supérieures en anthropologie. Dans l’avant dire de son volume sur le mythe du primitivisme elle explique sa pensée: «Il y a longtemps, quand je faisais mes études supérieures en anthropologie, j’ai été si bousculée par des diapositives que je voyais en classe un jour sur l’art africain que j’ai pris la décision de devenir artiste» . A partir des années 1970, elle s’est orientée vers des pratiques surréalistes, en particulier l’écriture automatique . Ici je traiterai de son installation Au musée Freud, créée en 1994 pour le musée Freud à Londres, qui l’a invitée à présenter une installation pour le musée. Je l’examinerai par rapport à Freud, à sa collection, et au surréalisme par le biais d’André Breton et ses écrits sur l’objet.