Aquin cruciverbiste
Data(s) |
10/11/2016
10/11/2016
1999
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Resumo |
Dans son premier numéro, Le Trait a publié un texte dans lequel je parlais à brûle-pourpoint d'Hubert Aquin, comme d'un auteur déjà connu du public français, ou tout au moins qui devrait l'être, à l'instar de Pasolini avec lequel je !'acoquinais : deux larrons flanquant de part et d'autre un Christ devenu introuvable... L'aventure continue. Non que j'aie l'intention, en récidivant, de trancher qui des deux serait le bon ou le mauvais larron. En ce qui me concerne ils étaient tous deux, larrons marrons, de fieffés coquins. Ceci dit, on s'en doute, sur un ton sympathique. Seulement, on m'a fait savoir que le « faquin » québécois n'est pas aussi connu que son homonyme italien (je ne parle plus du « corsaire enragé ») et qu'il vaut donc la peine de présenter l'autre Aquin au lecteur français. Je m'exécuterai, par le biais du style. [...] |
Identificador |
http://hdl.handle.net/1866/16176 1288-0981 |
Idioma(s) |
fra |
Relação |
Le Trait;no 3/4 |
Palavras-Chave | #Aquin, Hubert #Littérature québécoise #Essai littéraire #Style |
Tipo |
journal article article |
Contribuinte(s) |
Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue française |
Formato |
application/pdf |