Statistiques 2004-2005 et 2005-2006 des bibliothèques universitaires et de recherche au Canada


Autoria(s): Duong, My Loan
Data(s)

15/09/2008

15/09/2008

01/04/2007

Resumo

Commentaire de M. Timothy Mark Executive Director / Directeur général Canadian Association of Research Libraries / Association des bibliothèques de recherche du Canada. Room / Pièce 239. 65 University Private / 65 université privé. Ottawa ON K1N 9A5 Tel / tél : 613.562.5385 Fax / téléc : 613.562.5195 www.carl-abrc.ca «J'ai lu avec beaucoup d'intêret et d'enthousiasme l'article Statistiques 2004-2005 et 2005 des bibliothèques universitaires et de recherche au Canada qui vient de paraître dans la revue Documentation et bibliothèques. Permettez-moi de vous féliciter, madame, sur un article qui démontre un haut niveau de recherche et d'analyse. A titre d'intérêt, l'article sera mentionné dans notre publication hebdomadaire "Cyberavis" demain. ( Prière de consulter le site web de l'ABRC). Recevez, madame, mes salutations less meilleures. Tim Mark. (Courriel daté du 14 février 2008) ==========================================

Cet article est une analyse comparative des statistiques des bibliothèques universitairesau Canada réseau et met en focus les développements, les ressources et les dépenses de chacune des n bibliothèques universitaires au Canad. En résumé : La migration de l’imprimé vers l’électronique se confirme pour les périodiques et les monographies. Dans l’ensemble des bibliothèques, les achats de périodiques électroniques ont connu en 2004-2005 une hausse de 20,2 %, tandis que les dépenses pour périodiques imprimés ont diminué de 2,9 %. À titre indicatif, l’UdeM compte 13 285 périodiques électroniques contre 8566 titres en format imprimés, Mcgill, 35 597 contre 13 836, et Laval, 15 640 contre 6612. Seule l’Université de Toronto, parmi les établissements mentionnés, est abonnée à plus de périodiques imprimés (32 485) qu’électroniques (28 872). Le même phénomène de migration vers l’électronique s’observe pour les monographies. L’UdeM compte également parmi les bibliothèques dont les achats de monographies en ligne sont les plus importants, avec 4650 titres sur un total de 33 148 acquisitions en 2004-2005. La disponibilité des ressources en ligne semble avoir un impact sur la fréquentation des bibliothèques. On note en effet une diminution dans la circulation des documents de l’ordre de 8, 3% du nombre de prêts dans les bibliothèques. Et les statistiques des tourniquets sont en baisse à l’UdeM, comme dans les autres bibliothèques universitaires, même si l’UdeM présente avec McGill le niveau de fréquentation le plus élevé. À l’UdeM, 2 149 159 usagers ont franchi les tourniquets en 2005-2006 contre 2 386 215 en 2004-2005. Les questions de référence ont aussi diminué dans une proportion de 15%, passant de 104 340 à 88 677 en 2005-2006. En 2004-2005, l’UdeM a dépensé 2,4 M$ pour enrichir sa collection de monographies et 6,9 M$ pour les périodiques. En comparaison, Toronto a dépensé 9,3 M$ pour ses monographies et 15 M$ pour les périodiques. Répartition des dépenses : les bibliothèques de l’UdeM consacrent 30,5 % des dépenses aux ressources, 64,9 % aux salaires et 4,5 aux frais d’exploitation. McGill, 34,6% aux ressources, 61,2 % aux salaires et 4,2 % aux frais d’exploitation. Toronto, 47 % aux ressources, 48,2 % aux salaires et 4,8 aux frais d’exploitation.

Formato

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Identificador

«Statistiques 2004-2005 et 2005-2006 des bibliothèques universitaires et de recherche au Canada», par My Loan Duong, Documentation et Bibliothèques, vol. 53, numéro 2. avril/juin 2007, pp 115-119

http://hdl.handle.net/1866/2559

Idioma(s)

fr

Publicador

Documentation et Bibliothèques

Palavras-Chave #ABRC #Bibliothèques universtaires et de recherche #Évaluation #Statistiques
Tipo

Article