961 resultados para intimate partner violence


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In 2008, the department of gynaecology and obstetrics of a university hospital centre implemented a program addressing interpersonal partner violence (screening, prevention and care of the patient victims). A qualitative survey was conducted to identify the needs and feelings of patients. The results show that patients are in favour of being actively and directly questioned about violence during the consultation and that they trust medical doctors and nurses to help and support them.

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Les jeunes adultes sont plus susceptibles de subir de la violence conjugale que les adultes plus âgés. Toutefois, l'effet de se confier à propos de la violence subie sur la santé mentale est peu connu. L'objectif de cette étude est d'explorer les liens entre la violence conjugale, le soutien social et la détresse psychologique selon le sexe dans un échantillon de 233 jeunes couples. Les résultats indiquent que, pour les femmes, la fréquence de la violence psychologique subie, mais pas celle de la violence physique, était positivement associée à la détresse psychologique. Pour ces femmes, recourir à un plus grand nombre de confidents diminue la force de la relation entre la violence et de leur niveau de détresse psychologique. Pour les hommes, les fréquences de la violence physique et psychologique subies étaient positivement liées à la détresse psychologique, mais contrairement aux femmes, plus ils se sont confiés à propos de la violence qu'ils ont subi, plus leur niveau de détresse est élevé.

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Devenir mère à l’adolescence peut représenter une situation d’adversité et est associée à des impacts délétères possibles sur la vie de la jeune mère et de ses enfants. Être victime de violence de la part de son partenaire peut aussi représenter une adversité importante, notamment en regard de ses conséquences préjudiciables sur la santé. Cumulées, ces deux adversités peuvent sérieusement compromettre le parcours de vie d’une jeune femme. Cependant, des jeunes mères surmontent ces adversités. S’appuyant sur un cadre de référence composé par l’approche intersectionnelle et la perspective des parcours de vie, cette thèse permet une meilleure compréhension des différentes composantes d’une trajectoire de résilience en contexte de double adversité. Une part importante de cette thèse permet aussi de mieux documenter le contexte de la maternité précoce vécue dans un contexte de violence conjugale, une situation peu étudiée au Québec. Des jeunes mères ayant donné naissance précocement dans un contexte relationnel adverse qui estiment avoir surmonté ces obstacles et qui sont reconnues comme étant résilientes par les intervenants avec qui elles sont en contact participent à cette étude exploratoire. Ces 19 femmes ont partagé leur histoire par le biais d’entretiens individuels ou d’entretiens de groupe. Des observations participantes échelonnées sur neuf mois complètent cette collecte de données, permettant une meilleure compréhension et contextualisation de la maternité précoce et des défis qui lui sont associés. Leurs propos, retranscris puis analysés de façon séquentielle selon une démarche inspirée des stratégies d’analyse de théorisation ancrée, sont au cœur de l’analyse. Le modèle théorique de la résilience présenté dans cette thèse est constitué de cinq composantes : l’adversité, le point tournant, les processus, les facteurs promoteurs et les facteurs de vulnérabilités. Des indicateurs pouvant témoigner de la présence d’une trajectoire de résilience sont aussi proposés. Parmi les résultats importants de cette étude, notons l’importance de la maternité comme point tournant dans la vie de ces jeunes femmes. En effet, la maternité module la trajectoire de résilience notamment en leur permettant de créer un lien significatif avec leur bébé et de développer un sentiment de responsabilité face à celui-ci. Cette étude permet aussi de mieux cerner les processus permettant le déploiement d’une trajectoire de résilience : 1) Créer un milieu de vie sain pour l’enfant, 2) S’activer face au contexte relationnel adverse, 3) Mobiliser et utiliser les ressources disponibles et 4) Se servir du passé pour aller vers l’avant : (ré)investir les habiletés et ressources développées lors d’adversités antérieures. Les facteurs promoteurs, tout comme les facteurs de vulnérabilité, s’inscrivent dans une lecture systémique et relèvent de différents niveaux écologiques. Alors que les premiers constituent des points d’ancrage sur lesquels peuvent s’appuyer le déploiement et le maintien d’une trajectoire résiliente, les seconds fragilisent cette trajectoire. Les retombées possibles de cette étude pour l’intervention et la recherche dans le domaine de la promotion de la santé sont aussi abordées, notamment sous forme de pistes de réflexion et d’action.

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Cette recherche-action participative s’inscrit dans un paradigme féministe intersectionnelle. Elle présente la façon dont sept jeunes femmes de la rue (18-23 ans) de Québec ont fait l’expérience de la violence structurelle et ont déployé des stratégies pour y faire face. Elle s’articule autour d’une définition de la violence structurelle inspirée de celle proposée par Farmer, Bourgois, Scheper-Hugues et al. (2004) qui la présentent comme étant le processus à la racine des inégalités sociales et de l’oppression vécue par différents groupes sociaux. Ce processus s’opère dans trois dimensions complémentaires soit : 1) la domination symbolique, 2) la violence institutionnelle et 3) la violence quotidienne. Une analyse de contenu thématique a permis de dégager l’expérience des participantes dans chacune de ces dimensions. L’analyse de la domination symbolique a montré que les participantes ont été perçues à travers le prisme de quatre visions ou préjugés : 1) l’image de la jeune délinquante (Bad girl), 2) le discours haineux envers les personnes assistées sociales, 3) la culture du viol et 4) l’hétéronormativité. Les différentes expériences de violence quotidienne et institutionnelle vécues par les participantes peuvent être mises en lien avec ces manifestations de la domination symbolique. Les participantes ont expérimenté la violence institutionnelle à travers leurs trajectoires au sein des services de protection de l’enfance, durant leurs démarches pour obtenir un emploi, un logement ou du soutien financier de la part des programmes offerts par l’État et pendant leurs demandes d’aide auprès d’organismes communautaires ou d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux. L’analyse de l’expérience des participantes a permis de révéler deux processus imbriqués de façon cyclique de violence structurelle : l’exclusion et le contrôle social. La plupart des stratégies ii expérimentées par les participantes pour combler leurs besoins fondamentaux les ont exposées au contrôle social. Le contrôle social a exacerbé les difficultés financières des participantes et a accru leur crainte de subir de l’exclusion. Bien que la violence structurelle expérimentée par les participantes se situe à la croisée des rapports de pouvoir liée au genre, à la classe sociale, à l’âge et à l’orientation sexuelle, il se dégage que la domination masculine s’est traduite dans le quotidien des participantes, car l’exclusion et le contrôle social ont créé des contextes où elles ont été susceptibles de subir une agression sexuelle ou de vivre de la violence de la part d’un partenaire intime. L’analyse de la dimension intersubjective de la grille d’analyse de Yuval-Davis (2006) montre la présence de certains rapports de pouvoir liés à la classe sociale au sein même de la population des jeunes de la rue. Cette analyse souligne également la difficulté des participantes à définir les contours de la violence et d’adopter des rapports égalitaires avec les hommes. Enfin, le processus de recherche-action participative expérimenté dans le cadre de cette thèse a été analysé à partir des critères de scientificité présentés par Reason et Bradbury (2001). L’élaboration de deux projets photos, choisis par le groupe en guise de stratégie de lutte contre la violence structurelle, a contribué à ouvrir le dialogue avec différents acteurs concernés par la violence structurelle envers les jeunes femmes de la rue et s’est inscrit dans une perspective émancipatoire.

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La violence conjugale peut prendre différentes formes et évoluer à travers le temps. On ne peut écarter la possibilité que les différentes trajectoires soient influencées par le contexte de vie dans lequel la victime se présente. Dans cet ordre d’idée, la perspective des parcours de vie se présente comme un cadre théorique approprié pour comprendre les différents changements temporels qui s’opèrent dans les trajectoires de victimisation en contexte conjugal. Toutefois, le soutien empirique sur les facteurs derrière le nombre d’épisodes de la violence et ses variations au fil du temps est mince; notamment en raison de la rareté des données longitudinales ou rétrospectives requises pour ce type de recherche. Cette étude propose de combler ces lacunes dans l’analyse des trajectoires individuelles des femmes qui ont été victimes de violence conjugale. Plus spécifiquement, elle analyse l’évolution de l’occurrence et de l’intensité de la violence physique à travers le temps. L’échantillon est composé de 53 femmes, toutes victimes de violence conjugale au courant des 36 derniers mois référées par plusieurs milieux (par exemple : maisons d’hébergement, Cour municipale, centres d’aide aux victimes d’acte criminel, centres de thérapie, maisons de transition). Cette recherche est basée sur des données rétrospectives des circonstances entourant la vie de ces femmes au cours des 36 derniers mois. Les trajectoires individuelles ont été reconstruites en utilisant la méthode des calendriers d’histoire de la vie. Cette méthode qui a fait ses preuves dans l’étude des carrières criminelles et de la victimisation permet de situer les trajectoires dans leur contexte de vie et de reconstruire la dynamique derrière les victimisations. L’utilisation de la modélisation de type multiniveaux comme stratégie d’analyse est privilégiée dans cette étude. Combiné avec le calendrier d’histoire de vie, ce type de modèle permet d’examiner les changements dans la chronicité et l’intensité de la violence au sein des trajectoires individuelles des victimes. Les résultats permettent une meilleure compréhension des éléments statiques et dynamiques dernières trajectoires des femmes victimes. Cette recherche se veut avant tout exploratoire et ouvre la porte à une multitude de possibilités à de futures recherches.

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Resumen tomado de la publicaci??n

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Although there are signs of decline, homicides and traffic-related injuries and deaths in Brazil account for almost two-thirds of all deaths from external causes. In 2007, the homicide rate was 26.8 per 100 000 people and traffic-related mortality was 23.5 per 100 000. Domestic violence might not lead to as many deaths, but its share of violence-related morbidity is large. These are important public health problems that lead to enormous individual and collective costs. Young, black, and poor men are the main victims and perpetrators of community violence, whereas poor black women and children are the main victims of domestic violence. Regional differentials are also substantial. Besides the sociocultural determinants, much of the violence in Brazil has been associated with the misuse of alcohol and illicit drugs, and the wide availability of firearms. The high traffic-related morbidity and mortality in Brazil have been linked to the chosen model for the transport system that has given priority to roads and private-car use without offering adequate infrastructure. The system is often poorly equipped to deal with violations of traffic rules. In response to the major problems of violence and injuries, Brazil has greatly advanced in terms of legislation and action plans. The main challenge is to assess these advances to identify, extend, integrate, and continue the successful ones.

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Background: Political violence and war are push factors for migration and social determinants of health among migrants. Somali migration to Sweden has increased threefold since 2004, and now comprises refugees with more than 20 years of war experiences. Health is influenced by earlier life experiences with adverse sexual and reproductive health, violence, and mental distress being linked. Adverse pregnancy outcomes are reported among Somali born refugees in high-income countries. The aim of this study was to explore experiences and perceptions on war, violence, and reproductive health before migration among Somali born women in Sweden. Method: Qualitative semi-structured individual interviews were conducted with 17 Somali born refugee women of fertile age living in Sweden. Thematic analysis was applied. Results: Before migration, widespread war-related violence in the community had created fear, separation, and interruption in daily life in Somalia, and power based restrictions limited access to reproductive health services. The lack of justice and support for women exposed to non-partner sexual violence or intimate partner violence reinforced the risk of shame, stigmatization, and silence. Social networks, stoicism, and faith constituted survival strategies in the context of war. Conclusions: Several factors reinforced non-disclosure of violence exposure among the Somali born women before migration. Therefore, violence-related illness might be overlooked in the health care system. Survival strategies shaped by war contain resources for resilience and enhancement of well-being and sexual and reproductive health and rights in receiving countries after migration.

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Background: Political violence and war are push factors for migration and social determinants of health among migrants. Somali migration to Sweden has increased threefold since 2004, and now comprises refugees with more than 20 years of war experiences. Health is influenced by earlier life experiences with adverse sexual and reproductive health, violence, and mental distress being linked. Adverse pregnancy outcomes are reported among Somali born refugees in high-income countries. The aim of this study was to explore experiences and perceptions on war, violence, and reproductive health before migration among Somali born women in Sweden. Method: Qualitative semi-structured individual interviews were conducted with 17 Somali born refugee women of fertile age living in Sweden. Thematic analysis was applied. Results: Before migration, widespread war-related violence in the community had created fear, separation, and interruption in daily life in Somalia, and power based restrictions limited access to reproductive health services. The lack of justice and support for women exposed to non-partner sexual violence or intimate partner violence reinforced the risk of shame, stigmatization, and silence. Social networks, stoicism, and faith constituted survival strategies in the context of war. Conclusions: Several factors reinforced non-disclosure of violence exposure among the Somali born women before migration. Therefore, violence-related illness might be overlooked in the health care system. Survival strategies shaped by war contain resources for resilience and

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There exists only a small number of empirical studies investigating the patterns of family violence in problem gambling populations, although some evidence exists that intimate partner violence and child abuse are among the most severe interpersonal correlates of problem gambling. The current article reports on the Australian arm of a large-scale study of the patterns and prevalence of co-occurrence of family violence and problem gambling in Australia, New Zealand and Hong Kong. The current study screened 120 help-seeking family members of problem gamblers in a range of clinical services for both family violence and problem gambling. The main results showed that 52.5% reported some form of family violence in the past 12 months: 20.0% reported only victimisation, 10.8% reported only perpetration and 21.6% reported both victimisation and perpetration of family violence. Parents, current and ex-partners were most likely to be both perpetrators and victims of family violence. There were no gender differences in reciprocal violence but females were more likely to be only victims and less likely to report no violence in comparison to males. Most of the 32 participants interviewed in depth, reported that gambling generally preceded family violence. The findings suggest that perpetration of family violence was more likely to occur as a reaction to deeply-rooted and accumulated anger and mistrust whereas victimisation was an outcome of gambler’s anger brought on by immediate gambling losses and frustration. While multiple and intertwined negative family impacts were likely to occur in the presence of family violence, gambling-related coping strategies were not associated with the presence or absence of family violence. The implications of the findings for service providers are discussed.

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Objective: The aim of this study was to construct and to validate a measure of the consequences of domestic violence on women's health during climacterium. Methods: A questionnaire was administered at the Outpatient Climacterium Clinic to 124 women aged 40 to 65 years who were the victims of domestic and/or sexual violence (experimental group). They were divided into three groups: (1) those who were victims of violence exclusively during childhood/adolescence, (2) those who were victims of violence exclusively during adulthood, and (3) those who were victims of violence throughout their lives. The instrument included 34 items evaluating the beginning, frequency, and type of violence; the search for health assistance and reporting of the violence; the violence and the number of comorbidities; and violence and the Kupperman Menopausal Index. We also included a control group composed of perimenopausal and postmenopausal women who did not experience any violence (n = 120). Results: The instrument presented a Cronbach alpha = 0.82, good reliability among the examiners (+0.80), and a good possibility of reproducibility. The mean age of menopause was 45.4 years, and the mean age in the control group was 48.1 years. Group 1 showed a mean of 5.1 comorbidities, Group 2 had 4.6, and Group 3 had 4.4. Sexual violence (43.5%) and other types of violence both presented average comorbidities (4.60) but represented a significant impairment in the victim's sexual life. There were significant associations in group 3 and a high Kupperman Menopausal Index score. In the experimental group, 80.6% did not seek health services for the violence they experienced. Conclusions: The questionnaire presented good internal consistency and a validated construction. It can be easily reproduced and is indicated to evaluate the consequences of domestic and/or sexual violence on women's health during climacterium.