293 resultados para autoimmunity


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Antecedentes: La esclerosis sistémica es una enfermedad crónica del tejido conectivo, de etiología desconocida; caracterizada por presentar vasculopatía, autoinmunidad y fibrosis. Genera importantes repercusiones socio sanitarias y hasta la actualidad no tiene cura. Objetivo: Determinar las características demográficas, clínicas e inmunológicas de la Esclerosis Sistémica en pacientes de los Hospitales Vicente Corral Moscoso y José Carrasco Arteaga. Metodología: Es un estudio cuantitativo, descriptivo y retrospectivo. El universo está constituido por los pacientes diagnosticados de esclerosis sistémica en ambos hospitales. La información se recopiló de las historias clínicas y se analizó en Microsoft Excel 2013 y SPSS 19. Se utilizaron variables cuantitativas y cualitativas, mostrándose a través de frecuencias y porcentajes. Se consideró un nivel de asociación estadística para p<0.05. Resultados: La esclerosis sistémica es más común en mujeres. La forma limitada es la predominante. Las manifestaciones clínicas más comunes son las cutáneas, seguida de las osteomusculares y el Síndrome de Raynaud. El grupo de 50-64 años es el que muestra mayor grado de afectación general; en los más jóvenes las afectaciones cutáneas y osteomusculares son las de mayor frecuencia. Los anticuerpos antinucleares resultaron los de mejor valor diagnóstico, siendo positivos en más del 70% de los pacientes. Los tratamientos más comunes se basan en controlar los síntomas, siendo el paracetamol el más utilizado (80,4%). Conclusiones: La Esclerosis Sistémica afecta más a mujeres que a hombres, el grupo etario más frecuente está entre los 25-64 años. La forma limitada predomina sobre la difusa. Sus principales manifestaciones clínicas son las cutáneas

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Nitric oxide plays an indispensable role in modulating cellular signaling and redox pathways. This role is mainly effected by the readily reversible nitrosylation of selective protein cysteine thiols. The reversibility and sophistication of this signaling system is enabled and regulated by a number of enzymes which form part of the thioredoxin, glutathione, and pyridoxine antioxidant systems. Increases in nitric oxide levels initially lead to a defensive increase in the number of nitrosylated proteins in an effort to preserve their function. However, in an environment of chronic oxidative and nitrosative stress (O&NS), nitrosylation of crucial cysteine groups within key enzymes of the thioredoxin, glutathione, and pyridoxine systems leads to their inactivation thereby disabling denitrosylation and transnitrosylation and subsequently a state described as "hypernitrosylation." This state leads to the development of pathology in multiple domains such as the inhibition of enzymes of the electron transport chain, decreased mitochondrial function, and altered conformation of proteins and amino acids leading to loss of immune tolerance and development of autoimmunity. Hypernitrosylation also leads to altered function or inactivation of proteins involved in the regulation of apoptosis, autophagy, proteomic degradation, transcription factor activity, immune-inflammatory pathways, energy production, and neural function and survival. Hypernitrosylation, as a consequence of chronically elevated O&NS and activated immune-inflammatory pathways, can explain many characteristic abnormalities observed in neuroprogressive disease including major depression and chronic fatigue syndrome/myalgic encephalomyelitis. In those disorders, increased bacterial translocation may drive hypernitrosylation and autoimmune responses against nitrosylated proteins.

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The exact pathophysiology of major depressive disorder (MDD) remains elusive. The monoamine theory, which hypothesizes that MDD emerges as a result of dysfunctional serotonergic, dopaminergic and noradrenergic pathways, has guided the therapy of this illness for several decades. More recently, the involvement of activated immune, oxidative and nitrosative stress pathways and of decreased levels of neurotrophic factors has provided emerging insights regarding the pathophysiology of MDD, leading to integrated theories emphasizing the complex interplay of these mechanisms that could lead to neuroprogression. In this review, we propose an integrative model suggesting that T helper 17 (Th17) cells play a pivotal role in the pathophysiology of MDD through (i) microglial activation, (ii) interactions with oxidative and nitrosative stress, (iii) increases of autoantibody production and the propensity for autoimmunity, (iv) disruption of the blood-brain barrier, and (v) dysregulation of the gut mucosa and microbiota. The clinical and research implications of this model are discussed.

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La présentation d'antigène par les molécules d'histocompatibilité majeure de classe I (CMHI) permet au système immunitaire adaptatif de détecter et éliminer les agents pathogènes intracellulaires et des cellules anormales. La surveillance immunitaire est effectuée par les lymphocytes T CD8 qui interagissent avec le répertoire de peptides associés au CMHI présentés à la surface de toutes cellules nucléées. Les principaux gènes humains de CMHI, HLA-A et HLA-B, sont très polymorphes et par conséquent montrent des différences dans la présentation des antigènes. Nous avons étudié les différences qualitatives et quantitatives dans l'expression et la liaison peptidique de plusieurs allotypes HLA. Utilisant la technique de cytométrie de flux quantitative nous avons établi une hiérarchie d'expression pour les quatre HLA-A, B allotypes enquête. Nos résultats sont compatibles avec une corrélation inverse entre l'expression allotypique et la diversité des peptides bien que d'autres études soient nécessaires pour consolider cette hypothèse. Les origines mondiales du répertoire de peptides associés au CMHI restent une question centrale à la fois fondamentalement et dans la recherche de cibles immunothérapeutiques. Utilisant des techniques protéogénomiques, nous avons identifié et analysé 25,172 peptides CMHI isolées à partir des lymphocytes B de 18 personnes qui exprime collectivement 27 allotypes HLA-A,B. Alors que 58% des gènes ont été la source de 1-64 peptides CMHI par gène, 42% des gènes ne sont pas représentés dans l'immunopeptidome. Dans l'ensemble, l’immunopeptidome présenté par 27 allotypes HLA-A,B ne couvrent que 17% des séquences exomiques exprimées dans les cellules des sujets. Nous avons identifié plusieurs caractéristiques des transcrits et des protéines qui améliorent la production des peptides CMHI. Avec ces données, nous avons construit un modèle de régression logistique qui prédit avec une grande précision si un gène de notre ensemble de données ou à partir d'ensembles de données indépendants génèrerait des peptides CMHI. Nos résultats montrent la sélection préférentielle des peptides CMHI à partir d'un répertoire limité de produits de gènes avec des caractéristiques distinctes. L'idée que le système immunitaire peut surveiller des peptides CMHI couvrant seulement une fraction du génome codant des protéines a des implications profondes dans l'auto-immunité et l'immunologie du cancer.

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La présentation d'antigène par les molécules d'histocompatibilité majeure de classe I (CMHI) permet au système immunitaire adaptatif de détecter et éliminer les agents pathogènes intracellulaires et des cellules anormales. La surveillance immunitaire est effectuée par les lymphocytes T CD8 qui interagissent avec le répertoire de peptides associés au CMHI présentés à la surface de toutes cellules nucléées. Les principaux gènes humains de CMHI, HLA-A et HLA-B, sont très polymorphes et par conséquent montrent des différences dans la présentation des antigènes. Nous avons étudié les différences qualitatives et quantitatives dans l'expression et la liaison peptidique de plusieurs allotypes HLA. Utilisant la technique de cytométrie de flux quantitative nous avons établi une hiérarchie d'expression pour les quatre HLA-A, B allotypes enquête. Nos résultats sont compatibles avec une corrélation inverse entre l'expression allotypique et la diversité des peptides bien que d'autres études soient nécessaires pour consolider cette hypothèse. Les origines mondiales du répertoire de peptides associés au CMHI restent une question centrale à la fois fondamentalement et dans la recherche de cibles immunothérapeutiques. Utilisant des techniques protéogénomiques, nous avons identifié et analysé 25,172 peptides CMHI isolées à partir des lymphocytes B de 18 personnes qui exprime collectivement 27 allotypes HLA-A,B. Alors que 58% des gènes ont été la source de 1-64 peptides CMHI par gène, 42% des gènes ne sont pas représentés dans l'immunopeptidome. Dans l'ensemble, l’immunopeptidome présenté par 27 allotypes HLA-A,B ne couvrent que 17% des séquences exomiques exprimées dans les cellules des sujets. Nous avons identifié plusieurs caractéristiques des transcrits et des protéines qui améliorent la production des peptides CMHI. Avec ces données, nous avons construit un modèle de régression logistique qui prédit avec une grande précision si un gène de notre ensemble de données ou à partir d'ensembles de données indépendants génèrerait des peptides CMHI. Nos résultats montrent la sélection préférentielle des peptides CMHI à partir d'un répertoire limité de produits de gènes avec des caractéristiques distinctes. L'idée que le système immunitaire peut surveiller des peptides CMHI couvrant seulement une fraction du génome codant des protéines a des implications profondes dans l'auto-immunité et l'immunologie du cancer.

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INTRODUCCION Dado que la artritis reumatoide es la artropatía inflamatoria más frecuente en el mundo, siendo altamente discapacitante y causando gran impacto de alto costo, se busca ofrecer al paciente opciones terapéuticas y calidad de vida a través del establecimiento de un tratamiento oportuno y eficaz, teniendo presentes aquellos predictores de respuesta previo a instaurar determinada terapia. Existen pocos estudios que permitan establecer aquellos factores de adecuada respuesta para inicio de terapia biológica con abatacept, por lo cual en este estudio se busca determinar cuáles son esos posibles factores. METODOLOGIA Estudio analítico de tipo corte transversal de 94 pacientes con diagnóstico de AR, evaluados para determinar las posibles variables que influyen en la respuesta a terapia biológica con abatacept. Se incluyeron 67 de los 94 pacientes al modelo de regresión logística, que son aquellos pacientes en que fue posible medir la respuesta al tratamiento (respuesta EULAR) a través de la determinación del DAS 28 y así discriminar en dos grupos de comparación (respuesta y no respuesta). DISCUSION DE RESULTADOS La presencia de alta actividad de la enfermedad al inicio de la terapia biológica, aumenta la probabilidad de respuesta al tratamiento respecto al grupo con baja/moderada actividad de la enfermedad; OR 4,19 - IC 95%(1,18 – 14.9), (p 0,027). La ausencia de erosiones óseas aumenta la probabilidad de presentar adecuada respuesta a la terapia biológica respecto aquellos con erosiones, con un OR 3,1 (1,01-9,55), (p 0,048). Niveles de VSG y presencia de manifestaciones extra-articulares son otros datos de interés encontrados en el análisis bivariado. Respecto a las variables o características como predictores de respuesta al tratamiento con abatacept, se encuentran estudios que corroboran los hallazgos de este estudio, respecto al alto puntaje del DAS 28 al inicio de la terapia (9, 12). CONCLUSIONES Existen distintas variables que determinan la respuesta a los diferentes biológicos para manejo de AR. Es imprescindible evaluar dichos factores de manera individual con el fin de lograr de manera efectiva el control de la enfermedad y así mejorar la calidad de vida del individuo (medicina personalizada). Existen variables tales como la alta actividad de la enfermedad y la ausencia de erosiones como predictores de respuesta en la terapia con abatacept.

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Antecedentes: El síndrome de Sjögren (SS) es una patología crónica, autoinmune, de características multifactoriales en su etiología. También es conocida como una epitelitis autoinmune, caracterizada por síntomas secos como xeroftalmia y xerostomía, pero que también puede tener compromiso sistémico, dado por manifestaciones extra-glandulares. En la actualidad es poco reconocida como tal, y por lo tanto, la tasa de sobrevida en estos pacientes se encuentra disminuida pero poco tenida en cuenta a la hora de la valoración de ellos. Este trabajo describe la evidencia encontrada acerca de las causas de mortalidad y sus factores asociados luego de realizar una revisión sistemática de la literatura. Objetivos: El objetivo de este estudio fue reunir de forma exhaustiva y sistemática toda la evidencia empírica, publicada o no, que cumpla los criterios de búsqueda y elegibilidad sobre factores asociados al incremento de la mortalidad o disminución en la sobrevida de los pacientes con diagnóstico de SS. Métodos: Se realizó una revisión sistemática de la literatura mediante una búsqueda exhaustiva de todos los estudios publicados en las bases de datos electrónicas preestablecidas, hasta abril de 2015, con el fin de determinar las causas más frecuentes de mortalidad en pacientes con SS y los factores asociados a ella. Resultados: Se encontraron 4,654 resultados que coincidían con los criterios de búsqueda establecidos; de estos, 33 cumplieron con los criterios de inclusión y se distribuyeron de la siguiente forma: el 66.6% (22/33) correspondieron a estudios de corte cohorte, 30.3% (10/33) a estudios de corte transversal y el 3.03% (1/33) a estudios casos y controles. Se obtuvieron resultados en cuanto a frecuencias de mortalidad, razón estandarizada de mortalidad, tasas de supervivencia, causas más frecuentes de mortalidad y sus factores asociados. Conclusiones: La mortalidad reportada en los diferentes estudios fue entre el 1.2% hasta el 30%. Aquellos estudios que reportaron una tasa de mortalidad inferior al 5%, tuvieron un tiempo de seguimiento menor 8 años [1,7,33,60,64,86]. La mayoría de los casos sigue un curso relativamente estable, pero hay un porcentaje importante que presenta otras manifestaciones sistémicas con mayor frecuencia de complicaciones durante la evolución del SS. Por tanto, son los que requieren un seguimiento más estrecho, debido a una mayor necesidad de tratamiento sistémico y al mayor riesgo de ingreso hospitalario y de mortalidad, especialmente por el desarrollo de procesos linfoproliferativos B. La presencia de factores pronósticos en el paciente con SS obligará a realizar un seguimiento clínico e inmunológico mucho más estrecho, lo cual permitirá identificar lo antes posible las complicaciones que puedan aparecer e instaurar las correspondientes medidas terapéuticas, para aumentar las tasas de supervivencia.

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RESUMEN Objetivo: Estimar la prevalencia de las diferentes enfermedades oftalmológicas que aparecen en el contexto de una enfermedad autoinmune (EAI) en pacientes de un centro de referencia reumatológica en Colombia, según características clínicas y sociodemográficas durante un período de 15 años, comprendido entre los años 2000 a 2015. Métodos: Se realizó un estudio descriptivo, observacional de prevalencia. El tipo de muestreo fue aleatorio estratificado con asignación proporcional en el programa Epidat 3.4. Los datos se analizaron en el programa SPSS v22.0 y se realizó análisis univariado de las variables categóricas, para las variables cuantitativas se realizaron medidas de tendencia central. Resultados: De 1640 historias clínicas revisadas, se encontraron 634 pacientes (38,65%) con compromiso ocular. Si excluimos los pacientes con SS, que por definición presentan ojo seco, 222 pacientes (13,53%) presentaron compromiso oftalmológico. Del total de pacientes, el 83,3% fueron mujeres. La AR fue la enfermedad autoinmune con mayor compromiso oftalmológico con 138 pacientes (62,2%), y en último lugar la sarcoidosis con 1 solo paciente afectado. La QCS fue la manifestación más común en todos los grupos diagnósticos de EAI, con 146 pacientes (63,5%). De 414 pacientes con Síndrome de Sjögren (SS) y QCS 8 presentaron compromiso ocular adicional, siendo la uveítis la segunda patología ocular asociada en pacientes con SS y la primera causa en las espondiloartropatias (71,4 %). Los pacientes con catarata (4,1%) presentaron la mayor prevalencia de uso de corticoide (88.8%). De 222 pacientes, 28 (12,6%) presentaron uveítis. Del total de pacientes, 16 (7,2%) presentaron maculopatía por antimalaráricos y 6 (18,75%) de los pacientes con LES. Los ANAS se presentaron en el 100% los pacientes con trastorno vascular de la retina. Los pacientes con epiescleritis presentaron la mayor proporción de positivización de anticuerpos anti-DNA. La EAI que más presentó epiescleritis fue LES con 4 pacientes (12,5%) El 22% de paciente con anticuerpos anti-RNP presentaron escleritis y 32,1% de los pacientes con uveítis presentaron HLA-B27 positivo. Las manifestaciones oftalmológicas precedieron a las sistémicas entre un 11,1% y un 33,3% de los pacientes. Conclusión: Las enfermedades oculares se presentan con frecuencia en los pacientes colombianos con EAI (38.65%), siendo la AR la enfermedad con mayor compromiso ocular (62,2%) y la QCS la enfermedad ocular con mayor prevalencia en todas las EAI (63,5%). La uveítis se presentó en 28 pacientes (12,6%). Las manifestaciones oftalmológicas pueden preceder a las sistémicas. El examen oftalmológico debe ser incluido en los pacientes con EAI, por ser la enfermedad ocular una comorbilidad frecuente. Adicionalmente, los efectos oftalmológicos de las medicaciones sistémicas utilizadas en EAI deben ser estrechamente monitorizados, durante el curso del tratamiento.