943 resultados para Psychiatric disorder


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This article reports on the relationship between same-sex attraction, experience of bullying in school and mental health measured using the 12-item version of the General Health Questionnaire (GHQ12). A random sample of 16 year olds, drawn from the Child Benefit Register, was invited to take part in the 2005 Young Life and Times survey, which is a postal survey carried out in Northern Ireland every year. Eight hundred and nineteen 16 year olds responded, which represented a return rate of 40%. The results of the survey showed that respondents who said they had been attracted to a person of the same sex at least once were significantly more likely to report experiences of school bullying. Same-sex-attracted 16 year olds were significantly less likely than those attracted to persons of the opposite sex only to say that their school provided real help to those who are being bullied. The 2005 Young Life and Times data also indicated that same-sex-attracted respondents were more than twice as likely as respondents who were only attracted to people of the opposite sex to have higher levels of psychiatric disorder. (Contains 5 tables.)

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Obesity and depression represent a growing health concern worldwide. For many years, basic science and medicine have considered obesity as a metabolic illness, while depression was classified a psychiatric disorder. Despite accumulating evidence suggesting that obesity and depression may share commonalities, the causal link between eating and mood disorders remains to be fully understood. This etiology is highly complex, consisting of multiple environmental and genetic risk factors that interact with each other. In this review, we sought to summarize the preclinical and clinical evidence supporting a common etiology for eating and mood disorders, with a particular emphasis on signaling pathways involved in the maintenance of energy balance and mood stability, among which orexigenic and anorexigenic neuropeptides, metabolic factors, stress responsive hormones, cytokines, and neurotrophic factors.

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Background and aims: More than 30% of cancer patients develop a psychiatric disorder during the evolution of their disease. While evidence exists, that psychotherapy can improve psychological distress, questions, such as the prevalence of patients accepting psychotherapy, treatment indications and effectiveness of psychotherapeutic interventions in the oncology setting remain unanswered. The aims were: (1) To assess the prevalence of newly diagnosed cancer patients motivated to engage in psychotherapeutic interventions; (2) to identify those who benefit; and (3) to evaluate their effectiveness. Methods: Every new patient of the Oncology Service at the University Hospital Lausanne was informed of the possibility of benefitting from psychotherapeutic support. Patients who accepted were randomly assigned to individual psychotherapy or to a 4-month waiting list. Psychotherapies were formalized as psychodynamicoriented short interventions (1-4 sessions) or brief psychodynamic psychotherapies (16 sessions). Patients who refused psychotherapy were asked to participate in an observational group. Socio-demographic and medical data, anxiety, depression, alexithymia and quality of life (SCL- 90, HADS, TAS, EORTC) of all participants were evaluated at base line and at 1, 4, 8 and 12 -months Follow- Up. Results: So far 1047 patients have been approached, 20% were included in the study (intervention n=68, observation n=122), 32% were excluded, 22% could not be contacted and 26% refused to participate. At baseline, patients who accepted psychotherapeutic support showed higher depression and anxiety scores (HADS, SCL-90) compared to controls. 56% benefited from 4 sessions of psychological support, 44% engaged in 16 sessions of brief psychodynamic therapy. Conclusions: The preliminary results of this ongoing trial suggest that a minority of newly cancer patients accept psychotherapeutic intervention. These patients are more depressed than controls. Their motivation for short interventions and for brief psychotherapies is comparable.

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La schizophrénie est une maladie psychiatrique grave qui affecte approximativement 1 % de la population. Il est clairement établi que la maladie possède une composante génétique très importante, mais jusqu’à présent, les études ont été limitées au niveau de l’identification de facteurs génétiques spécifiquement liés à la maladie. Avec l’avènement des nouvelles avancées technologiques dans le domaine du séquençage de l’ADN, il est maintenant possible d’effectuer des études sur un type de variation génétique jusqu’à présent laissé pour compte : les mutations de novo, c.-à-d. les nouvelles mutations non transmises de manière mendélienne par les parents. Ces mutations peuvent avoir deux origines distinctes : une origine germinale au niveau des gamètes chez les parents ou une origine somatique, donc au niveau embryonnaire directement chez l’individu. L’objectif général de la présente recherche est de mieux caractériser les mutations de novo dans la schizophrénie. Comme le rôle de ces variations est peu connu, il sera également nécessaire de les étudier dans un contexte global au niveau de la population humaine. La première partie du projet consiste en une analyse exhaustive des mutations de novo dans la partie codante (exome) de patients atteints de schizophrénie. Nous avons pu constater que non seulement le taux de mutations était plus élevé qu’attendu, mais nous avons également été en mesure de relever un nombre anormalement élevé de mutations non-sens, ce qui suggère un profil pathogénique. Ainsi, nous avons pu fortement suggérer que les mutations de novo sont des actrices importantes dans le mécanisme génétique de la schizophrénie. La deuxième partie du projet porte directement sur les gènes identifiés lors de la première partie. Nous avons séquencé ces gènes dans une plus grande cohorte de cas et de contrôles afin d’établir le profil des variations rares pour ces gènes. Nous avons ainsi conclu que l’ensemble des gènes identifiés par les études de mutations de novo possède un profil pathogénique, ce qui permet d’établir que la plupart de ces gènes ont un rôle réel dans la maladie et ne sont pas des artéfacts expérimentaux. De plus, nous avons pu établir une association directe avec quelques gènes qui montrent un profil aberrant de variations rares. La troisième partie du projet se concentre sur l’effet de l’âge paternel sur le taux de mutations de novo. En effet, pour la schizophrénie, il est démontré que l’âge du père est un facteur de risque important. Ainsi, nous avons tenté de caractériser l’effet de l’âge du père chez des patients en santé. Nous avons observé une grande corrélation entre l’âge du père et le taux de mutations germinales et nous avons ainsi pu répertorier certaines zones avec un grand nombre de mutations de novo, ce qui suggère l’existence de zone chaude pour les mutations. Nos résultats ont été parmi les premiers impliquant directement les mutations de novo dans le mécanisme génétique de la schizophrénie. Ils permettent de jeter un nouveau regard sur les réseaux biologiques à l’origine de la schizophrénie en mettant sous les projecteurs un type de variations génétiques longtemps laissé pour compte.

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Le facteur le plus important de pronostic de l'asthme professionnel (AP) est la durée des symptômes avant le retrait de lʼexposition à lʼagent causant lʼAP. La qualité de vie réduite, la détresse psychologique et les maladies psychiatriques sont des conditions souvent associées à l'AP. Notre objectif était d'identifier les facteurs, incluant le statut socioéconomique, qui ont une influence sur lʼintervalle de temps nécessaire pour présenter une requête à une agence médicolégale à la suite de lʼapparition de symptômes dʼasthme et de confirmer qu'un tel délai est associé à un moins bon pronostic respiratoire et à des coûts directs plus élevés. En outre, nous avons examiné la relation entre les variables cliniques et socio-économiques dʼune part et leur influence sur les facteurs psychologiques et économiques dʼautre part chez des travailleurs atteints d'AP. Ensuite, nous avons voulu évaluer si les individus souffrant de détresse psychologique (DP) et de morbidité psychiatrique pourraient être identifiés en utilisant un instrument mesurant la qualité de vie (QV). Lʼétude a été effectuée auprès dʼindividus ayant déposé des demandes d'indemnisation pourʼAP auprès du Commission de la sécurité et de la santé du travail du Québec (CSST). Les données ont été recueillies au moment de la réévaluation, soit environ deux ans et demi après le diagnostic. Outre la collecte des marqueurs cliniques de l'asthme, les individus ont été soumis à une évaluation générale de leur histoire sociodémographique et médicale, à une brève entrevue psychiatrique (évaluation des soins primaires des troubles mentaux, PRIME-MD) et à un ensemble de questionnaires, incluant le Questionnaire sur la qualité de vie - AQLQ(S), le Questionnaire respiratoire de St. George (SGRQ) et le Psychiatric Symptom Index (PSI).Soixante personnes ont été incluses dans l'étude. Etre plus âgé, avoir un revenu supérieur à 30 000$ CA etêtre atteint dʼAP dû à un allergène de haut poids moléculaire ont une association positive avec le nombre dʼannées dʼexposition avec symptômes avant le retrait. Au cours de la période de suivi, le nombre dʼannées dʼexposition avec symptômes était plus grand chez les individus ayant une hyperréactivité bronchique persistante. Par ailleurs, la présence de symptômes au poste de travail pendant moins d'un an est associée à une réduction des coûts directs. Les paramètres de QV et de DP avaient des corrélations modérées avec les marqueurs cliniques de lʼAP. Les plus fortes associations avec ces variables ont pu être observées dans les cas de la sévérité de l'asthme, des statuts dʼemploi et matrimonial, du revenu et de la durée de la période de travail avec l'employeur. Un seuil de 5,1 au niveau de la sous-échelle de la fonction émotionnelle de lʼAQLQ(S) sʼest avéré avoir la meilleure valeur discriminante pour distinguer les individus avec ou sans détresse psychiatrique cliniquement significative selon le PSI. Nous avons été en mesure d'identifier les variables socio-économiques associées à un intervalle plus long dʼexposition professionnelle en présence de symptômes dʼasthme. De même, une plus longue période d'exposition a été associée à un moins bon pronostic de la maladie et à des coûts de compensation plus élevés. Ces résultats s'avèrent utiles pour la surveillance de lʼAP qui pourrait cibler ces sous-groupes d'individus. La QV et la PS sont fréquemment réduites chez les individus atteints d'AP qui perçoivent une compensation. Elles sont associées à des marqueurs cliniques de lʼasthme et à des facteurs socio-économiques. En outre, nos résultats suggèrent que le questionnaire de lʼAQLQ(S) peut être utilisé pour identifier les individus avec un niveau de détresse psychologique potentiellement significatif.

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La dépression est une pathologie grave qui, malgré de multiples stratégies thérapeutiques, demeure résistante chez un tiers des patients. Les techniques de stimulation cérébrale sont devenues une alternative intéressante pour les patients résistants à diverses pharmacothérapies. La stimulation du nerf vague (SNV) a ainsi fait preuve de son efficacité en clinique et a récemment été approuvée comme traitement additif pour la dépression résistante. Cependant, les mécanismes d’action de la SNV en rapport avec la dépression n’ont été que peu étudiés. Cette thèse a donc eu comme premier objectif de caractériser l’impact de la SNV sur les différents systèmes monoaminergiques impliqués dans la pathophysiologie de la dépression, à savoir la sérotonine (5-HT), la noradrénaline (NA) et la dopamine (DA), grâce à l’utilisation de techniques électrophysiologiques et de la microdialyse in vivo chez le rat. Des études précliniques avaient déjà révélé qu’une heure de SNV augmente le taux de décharge des neurones NA du locus coeruleus, et que 14 jours de stimulation sont nécessaires pour observer un effet comparable sur les neurones 5-HT. Notre travail a démontré que la SNV modifie aussi le mode de décharge des neurones NA qui présente davantage de bouffées, influençant ainsi la libération terminale de NA, qui est significativement augmentée dans le cortex préfrontal et l’hippocampe après 14 jours. L’augmentation de la neurotransmission NA s’est également manifestée par une élévation de l’activation tonique des récepteurs postsynaptiques α2-adrénergiques de l’hippocampe. Après lésion des neurones NA, nous avons montré que l’effet de la SNV sur les neurones 5-HT était indirect, et médié par le système NA, via l’activation des récepteurs α1-adrénergiques présents sur les neurones du raphé. Aussi, tel que les antidépresseurs classiques, la SNV augmente l’activation tonique des hétérorécepteurs pyramidaux 5-HT1A, dont on connait le rôle clé dans la réponse thérapeutique aux antidépresseurs. Par ailleurs, nous avons constaté que malgré une diminution de l’activité électrique des neurones DA de l’aire tegmentale ventrale, la SNV induit une augmentation de la DA extracellulaire dans le cortex préfrontal et particulièrement dans le noyau accumbens, lequel joue un rôle important dans les comportements de récompense et l’hédonie. Un deuxième objectif a été de caractériser les paramètres optimaux de SNV agissant sur la dépression, en utilisant comme indicateur le taux de décharge des neurones 5-HT. Des modalités de stimulation moins intenses se sont avérées aussi efficaces que les stimulations standards pour augmenter l’activité électrique des neurones 5-HT. Ces nouveaux paramètres de stimulation pourraient s’avérer bénéfiques en clinique, chez des patients ayant déjà répondu à la SNV. Ils pourraient minimiser les effets secondaires reliés aux périodes de stimulation et améliorer ainsi la qualité de vie des patients. Ainsi, ces travaux de thèse ont caractérisé l’influence de la SNV sur les trois systèmes monoaminergiques, laquelle s’avère en partie distincte de celle des antidépresseurs classiques tout en contribuant à son efficacité en clinique. D’autre part, les modalités de stimulation que nous avons définies seraient intéressantes à tester chez des patients recevant la SNV, car elles devraient contribuer à l’amélioration des bénéfices cliniques de cette thérapie.

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Un phénomène de résistance au traitement pharmacologique chez les personnes souffrant de maladies psychiatriques graves et persistantes comme la schizophrénie, tel que révélé par la pratique des soins psychiatriques communautaires de première ligne, sert de point de départ pour poser une distinction fondamentale entre les notions de traitement et de soins. Conséquemment, la question du consentement selon qu’il est attribué au traitement ou aux soins suggère des formes de consentement distinctes susceptible d’affecter la façon de faire face à des problèmes particuliers sur le plan de l’éthique. L’analyse conceptuelle d’un certain modèle d’interventions psychiatriques de crise, qui regroupe des travailleurs de la santé et des policiers au sein d’une même équipe de travail, permet de circonscrire des catégories de problèmes éthiques qui conduiront éventuellement à la formalisation d’une approche de résolution de problème. Trois façons d’approcher un problème d’éthique clinique sont proposées sous la forme d’enjeux, de dilemmes, puis de défis éthiques. L’intervention de crise y est catégorisée selon quatre niveaux d’intensité de crise, donnant lieu à une appréciation subjective par le soignant de la capacité de la personne soignée d’établir et de maintenir une relation de soins en situation de crise. Des parallèles entre les soins psychiatriques et les soins palliatifs permettent d’approfondir la question de la souffrance en lien avec la douleur et de distinguer à nouveau les notions de soins et de traitement. La relation de soins est présentée comme une occasion de normaliser les rapports entre soignants et soignés, de valoriser un état de souffrance à l’origine de la rencontre de soins, tout en mettant à profit la dimension relationnelle d’une condition qui appelle à être non pas traitée mais soignée. Ces considérations permettent de dégager une responsabilité nouvelle pour le soignant : celle de se faire le gardien de la relation de soins. Une transition du primum non nocere au primum non excludere : d’abord ne pas exclure est suggérée comme une maxime pour guider la relation de soins vers un consentement aux soins plus authentique.

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La schizophrénie est une psychopathologie largement hétérogène caractérisée entre autres par d’importantes défaillances dans le fonctionnement cognitif et émotionnel. En effet, par rapport à la population générale, forte proportion de ces individus présentent une mémoire déficitaire pour les événements émotionnels. À ce jour, le peu d’études qui se sont penchées sur la mémoire émotionnelle épisodique dans la schizophrénie, ont uniquement mis l’emphase sur l'effet de la valence des stimuli (c’est-à-dire le caractère agréable ou désagréable du stimulus). Toutefois, aucune n’a investigué spécifiquement l’intensité de la réaction aux stimuli (c’est-à-dire une faible par rapport à une forte réaction) malgré quantité de preuves faisant montre, dans la population générale, de différents processus de mémoire émotionnelle pour des stimuli suscitant une forte réaction par rapport à ceux évoquant une faible réponse. Ce manque est d’autant plus flagrant étant donné le nombre d’études ayant rapporté un traitement et un encodage atypiques des émotions spécifiquement au niveau de l’intensité de la réponse subjective chez des patients atteints de schizophrénie. Autre fait important, il est étonnant de constater l’absence de recherches sur les différences de sexe dans la mémoire émotionnelle étant donné l’ensemble des divergences entre hommes et femmes atteints de schizophrénie au niveau de la prévalence, de l’âge de diagnostic, de la manifestation clinique, de l’évolution de la maladie, de la réponse au traitement et des structures cérébrales. Pour pallier à ces lacunes, ce mémoire a évalué : (1) l’effet de la valence des stimuli et de l'intensité de la réaction émotionnelle au niveau des fonctions cérébrales correspondant à la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie comparativement à des participants sains; et (2) les possibles différences de sexe dans les processus cérébraux impliqués dans la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie par rapport à des volontaires sains. Ainsi, la première étude a comparé les activations cérébrales de patients atteints de schizophrénie par rapport à des participants sains au cours d’une tâche de mémoire émotionnelle dont les stimuli variaient à la fois au niveau de la valence et de l'intensité de la réaction subjective. 37 patients atteints de schizophrénie ainsi que 37 participants en bonne santé ont effectué cette tâche de mémoire émotionnelle lors d’une session d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Pour toutes les conditions étudiées (images négatives, positives, de faible et de forte intensité), le groupe atteint de schizophrénie a performé significativement moins bien que les volontaires sains. Comparativement aux sujets sains, ils ont montré moins d’activations cérébrales dans les régions limbiques et préfrontales lors de la reconnaissance des images négatives, mais ont présenté un patron d'activations similaire à celui des participants sains lors de la reconnaissance des images chargées positivement (activations observées dans le cervelet, le cortex temporal et préfrontal). Enfin, indépendamment de la valence des stimuli, les deux groupes ont démontré une augmentation des activations cérébrales pour les images de forte intensité par rapport à celles de plus faible intensité. La seconde étude a quant à elle exploré les différences de sexe potentielles au niveau des activations cérébrales associées à la mémoire émotionnelle dans la schizophrénie et dans la population en général. Nous avons comparé 41 patients atteints de schizophrénie (20 femmes) à 41 participants en bonne santé (19 femmes) alors qu’ils effectuaient la même tâche de mémoire émotionnelle mentionnée plus haut. Or, pour cette étude, nous nous sommes concentrés sur les conditions suivantes : la reconnaissance d’images positives, négatives et neutres. Nous n'avons pas observé de différences entre les hommes et les femmes au niveau des performances à la tâche de mémoire pour aucune des conditions. En ce qui a trait aux données de neuroimagerie, comparativement aux femmes en bonne santé, celles atteintes de schizophrénie ont montré une diminution des activations cérébrales dans les régions corticales du système limbique (p. ex. cortex cingulaire moyen) et dans les régions sous-corticales (p. ex. amygdale) lors de la reconnaissance d'images négatives. Pour ce qui est de la condition positive, elles ont présenté, comparativement au groupe de femmes saines, des diminutions d’activations spécifiquement dans le cervelet ainsi que dans le gyrus frontal inférieur et moyen. Les hommes atteints de schizophrénie, eux, ont montré une augmentation d’activations par rapport aux hommes sains dans le gyrus préfrontal médian lors de la reconnaissance des stimuli négatifs ; ainsi que dans les régions pariétales, temporales et limbiques lors de la reconnaissance des stimuli positifs. Dans un autre ordre d’idées, notre analyse corrélationnelle a mis en évidence, chez les femmes, un lien significatif entre l’activité cérébrale et les symptômes au cours de la mémoire des stimuli positifs, alors que chez les hommes atteints schizophrénie, ce lien a été observé au cours de la mémoire des stimuli négatifs. Bref, l’ensemble de nos résultats suggère, chez les patients atteints de schizophrénie, un fonctionnement cérébral atypique spécifiquement lors de la reconnaissance d’images négatives, mais un fonctionnement intact lors de la reconnaissance de stimuli positifs. De plus, nous avons mis en évidence la présence de différences de sexe dans les activations cérébrales associées à la mémoire épisodique émotionnelle soulignant ainsi l'importance d’étudier séparément les hommes et les femmes atteints de schizophrénie dans le cadre de recherches sur les plans cognitif et émotionnel.

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El presente trabajo de investigación, estudia a través del caso de la cohorte del 2000 de la Facultad de Ingeniería de la Universidad Distrital, el tipo de coyuntura que le permitió a este grupo de jóvenes reingresar a la Universidad y culminar la carrera al haber tenido que abandonarla en un primer momento, por problemas socio-económicos y/o académicos. Por medio del estudio del reintegro universitario, este trabajo se enmarca en el campo, poco explorado, de la existencia y efectividad de medidas de "segundas oportunidades" educativas que las instituciones de educación superior le ofrecen a estudiantes que por problemas de orden estructural se ven obligados a abandonar la Universidad.

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A large proportion of homeless people in the UK are former members of the armed services and suffer from a mental illness. In fact, homelessness itself can be considered a symptom or manifestation of other underlying psychological difficulties. For these reasons Community Housing and Therapy (CHT) considers that providing psychological therapies to treat the homeless population is a more effective way of tackling the problem of homelessness, as it addresses the roots of the problem. This approach is one which is beginning to be recognized by leading agencies in the field. At the same time, the provision of psychological therapies for symptoms such as depression and anxiety has become accepted through the Department of Health’s (DoH) Increased Access to Psychological Therapies ( IAPT) initiative. Depression is the most common psychiatric disorder that homeless people suffer and it is well documented that psychological treatments for depression can be extremely effective. As well as approaching homelessness from the angle of psychological therapies, CHT in its work with the ex-service community has become increasingly aware that there are a large number of non statutory homeless that do not get the same attention as rough sleepers.

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El trasplante de órganos y/o tejidos es considerado como una opción terapéutica viable para el tratamiento tanto de enfermedades crónicas o en estadios terminales, como de afectaciones no vitales, pero que generen una disminución en la calidad de vida percibida por el paciente. Este procedimiento, de carácter multidimensional, está compuesto por 3 actores principales: el donante, el órgano/tejido, y el receptor. Si bien un porcentaje significativo de investigaciones y planes de intervención han girado en torno a la dimensión biológica del trasplante, y a la promoción de la donación; el interés por la experiencia psicosocial y la calidad de vida de los receptores en este proceso ha aumentado durante la última década. En relación con esto, la presente monografía se plantea como objetivo general la exploración de la experiencia y los significados construidos por los pacientes trasplantados, a través de una revisión sistemática de la literatura sobre esta temática. Para ello, se plantearon unos objetivos específicos derivados del general, se seleccionaron términos o palabras claves por cada uno de estos, y se realizó una búsqueda en 5 bases de datos para revistas indexadas: Ebsco Host (Academic Search; y Psychology and Behavioral Sciences Collection); Proquest; Pubmed; y Science Direct. A partir de los resultados, se establece que si bien la vivencia de los receptores ha comenzado a ser investigada, aún es necesaria una mayor exploración sobre la experiencia de estos pacientes; exploración que carecería de objetivo si no se hiciera a través de las narrativas o testimonios de los mismos receptores

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Objective: Enhanced negative feedback and reduced adrenal output are two different models that have been put forth to explain the paradoxical observations of increased release of corticotropin-releasing factor in the face of low cortisol levels in posttraumatic stress disorder (PTSID). To discriminate between these models, the authors measured levels of adrenocorticopic hormone (ACTH) and cortisol at baseline and in response to dexamethasone in medically healthy subjects with and without PTSID. Under conditions of enhanced negative feedback inhibition, ACTH levels would not be altered relative to cortisol levels, but the ACTH response to dexamethasone would be augmented, in concert with the enhanced cortisol response to dexamethasone. In contrast, under conditions of reduced adrenal output, ACTH levels would be expected to be higher at baseline relative to cortisol levels, but the ACTH response to dexamethasone would be unchanged in PTSID relative to healthy comparison subjects. Method: The ACTH and cortisol responses to 0.50 mg of dexamethasone were assessed in 19 subjects (15 men and four women) with PTSID and 19 subjects (14 men and five women) without psychiatric disorder. Results: The ACTH-to-cortisol ratio did not differ between groups before or after dexamethasone, but the subjects with PTSD showed greater suppression of ACTH (as well as cortisol) in response to dexamethasone. Conclusions: The data support the hypothesis of enhanced cortisol negative feedback inhibition of ACTH secretion at the level of the pituitary in PTSD. Pituitary glucocorticoid receptor binding, rather than low adrenal output, is implicated as a likely mechanism for this effect.

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Objective: Postnatal depression in women is associated with adverse effects on both maternal health and children's development. It is unclear whether depression in men at this time poses comparable risks. The present study set out to assess the association between depression in men in the postnatal period and later psychiatric disorders in their children and to investigate predisposing factors for depression in men following childbirth. Method: A population-based cohort of 10,975 fathers and their children from the Avon Longitudinal Study of Parents and Children (ALSPAC) was recruited in the prenatal period and followed for 7 years. Paternal depressive symptoms were assessed with the Edinburgh Postnatal Depression Scale and later child psychiatric disorder (DSM-IV) with the Development and Well-Being Assessment. Results: Depression in fathers in the postnatal period was significantly associated with psychiatric disorder in their children 7 years later (adjusted OR 1.72, 95% CI 1.07-2.77), most notably oppositional defiant/conduct disorders (adjusted OR 1.94, 95% CI 1.04-3.61), after adjusting for maternal depression and paternal educational level. A history of severe depression and high prenatal symptom scores for depression and anxiety were the strongest predictors of paternal depression in the postnatal period. Conclusions: Depression in fathers in the postnatal period is associated with later psychiatric disorders in their children, independently of maternal postnatal depression. Further research into the risks associated with paternal psychopathology is required because this could represent an important opportunity for public health intervention.

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Background: Disturbances in cortisol secretion are associated with risk for psychiatric disorder, including depression. Animal research indicates that early care experiences influence hypothalamic-pituitary-adrenal (HPA) axis functioning in offspring. Similar effects are suggested in human development, but evidence of longitudinal associations between observed early parenting and offspring cortisol secretion is extremely limited. We studied associations between parenting disturbances occurring in the context of maternal postnatal depression (PND), and elevations in morning cortisol secretion in the adolescent offspring of PND mothers. Methods: We observed maternal parenting behaviour on four occasions through the first year and at five-year follow up in postnatally depressed (n = 29) and well (n = 20) mothers. Observations were coded for maternal sensitivity and withdrawal. Basal offspring salivary cortisol secretion was measured at 13-years, using collections over 10-days. Results: Postnatal, but not five-year, maternal withdrawal predicted elevated mean and maximum morning cortisol secretion in 13-year-old offspring. There were no significant associations between maternal sensitivity and offspring cortisol secretion. Limitations: The sample size was relatively small, and effects tended to be reduced to trend level when covariates were considered. The correlational nature of the study (albeit longitudinal) limits conclusions regarding causality. Conclusions: Individual differences in early maternal parenting behaviour may influence offspring cortisol secretion, and thereby risk for depression. Parenting interventions that facilitate active maternal engagement with the infant may be indicated for high risk populations.