991 resultados para Hepatic tolerance


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Le virus de l’hépatite murine de type 3 (MHV3) est un excellent modèle animal pour l’étude des différents désordres immunologiques lors d’infections virales. L’hépatite aiguë fulminante induite par ce virus chez la souris susceptible C57BL/6 se caractérise par la présence de plusieurs foyers nécrotiques et inflammatoires dans le foie associée à une immunodéficience en lymphocytes B et T, tuant les souris entre 3 et 5 jours post-infection. L’évolution rapide de cette maladie virale suggère un débalancement dans les mécanismes de l’immunité naturelle sous le contrôle des cellules NK et NK-T et un bris de l’équilibre entre la tolérance hépatique et la réponse inflammatoire. Afin d’élucider les rôles respectifs des différents mécanismes de la défense innée impliqués dans le développement de l’hépatite aiguë, des infections in vivo ont été réalisées chez des souris C57BL/6 avec la souche pathogène L2-MHV3 ou avec des variants du virus MHV3. Ces derniers possèdent des tropismes différents pour les cellules endothéliales sinusoïdales hépatiques et les cellules de Kupffer, tels que les virus faiblement atténué 51.6-MHV3, fortement atténué CL12-MHV3 et non pathogène YAC-MHV3. Ces études in vivo ont montré une diminution des cellules NK spléniques et myéloïdes suite à une infection avec le virus MHV3. Cette chute en cellules NK spléniques reflète un recrutement de ces cellules au niveau du foie. Par contre, les cellules NK se sont avérées permissives à la réplication virale entraînant un processus d’apoptose suite à la formation de syncétia induits par le virus. Les niveaux de recrutement et d’apoptose des cellules NK et NK-T dans le foie reflètent la pathogénicité des variants MHV3 durant les trois premiers jours de l’infection virale bien que les cellules NK recrutées au niveau du foie maintiennent leur activité cytotoxique. L’ajout des IL-12 et IL-18, qui sont normalement diminués lors de l’hépatite aiguë, provoque une production synergique d’IFN-g par les cellules NK, résultant d’une interaction entre l’activation de la voie p38 MAPK et la réplication virale. Par ailleurs, le récepteur viral CEACAM1a (carcinoembryonic antigen cell adhesion molecule 1a) serait essentiel à cette synergie, mais exercerait aussi une action inhibitrice dans la production de l’IFN-g. D’autre part, les niveaux de production des cytokines immunosuppressives IL-10, TGF-b et PGE2, impliquées dans la tolérance hépatique et particulièrement produites par les cellules de Kupffer et les cellules endothéliales sinusoïdales, sont en relation inverse avec le degré de pathogénicité des variants du virus MHV3. Finalement, le virus pathogène L2-MHV3 déclenche la production de cytokines inflammatoires par les macrophages, tels que l’IL-6 et le TNF-a. L’induction de ces cytokines par les macrophages serait indépendante de la présence de la molécule CEACAM1a. Cette stimulation est plutôt reliée à la fixation des particules virales sur des récepteurs TLR2, en association avec les régions riches en héparanes sulfates. Tous ces résultats mettent en évidence de nouveaux mécanismes par lesquels le virus MHV3 peut diminuer l’efficacité des mécanismes de l’immunité naturelle sous le contrôle des cellules NK et NK-T intrahépatiques, suite à une stimulation de l’inflammation résultant du bris de la tolérance hépatique.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Les cellules endothéliales (EC) constituent une première barrière physique à la dissémination de virus pléiotropiques circulant par voie hématogène mais leur contribution à la défense innée anti-virale est peu connue. Des dysfonctions des EC de la barrière hémato-encéphalique (BMEC) et des sinusoïdes hépatiques (LSEC) ont été rapportées dans des neuropathologies et des hépatites aiguës ou chroniques d’origine virale, suggérant que des atteintes à leur intégrité contribuent à la pathogenèse. Les sérotypes de coronavirus de l’hépatite murine (MHV), se différenciant par leur capacité à induire des hépatites et des maladies neurologiques de sévérité variable et/ou leur tropisme pour les EC, représentent des modèles viraux privilégiés pour déterminer les conséquences de l’infection des EC sur la pathogenèse virale. Lors d’infection par voie hématogène, le sérotype MHV3, le plus virulent des MHV, induit une hépatite fulminante, caractérisée par une réponse inflammatoire sévère, et des lésions neurologiques secondaires alors que le sérotype moins virulent, MHV-A59, induit une hépatite modérée sans atteintes secondaires du système nerveux central (SNC). Par ailleurs, le sérotype MHV3, à la différence du MHV-A59, démontre une capacité à stimuler la production de cytokines par la voie TLR2. Les variants atténués du MHV3, les virus 51.6-MHV3 et YAC-MHV3, sont caractérisés par un faible tropisme pour les LSEC et induisent respectivement une hépatite modérée et subclinique. Compte tenu de l’importance des LSEC dans le maintien de la tolérance hépatique et de l’élimination des pathogènes circulants, il a été postulé que la sévérité de l’hépatite et de la réponse inflammatoire lors d’infections par les MHV est associée à la réplication virale et à l’altération des propriétés tolérogéniques et vasculaires des LSEC. Les désordres inflammatoires hépatiques pourraient résulter d’une activation différentielle du TLR2, plutôt que des autres TLR et des hélicases, selon les sérotypes. D’autre part, compte tenu du rôle des BMEC dans la prévention des infections du SNC, il a été postulé que l’invasion cérébrale secondaire par les coronavirus est reliée à l’infection des BMEC et le bris subséquent de la barrière hémato-encéphalique (BHE). À l’aide d’infections in vivo et in vitro par les différents sérotypes MHV, chez des souris ou des cultures de BMEC et de LSEC, nous avons démontré, d’une part, que l’infection in vitro des LSEC par le sétotype MHV3, à la différence des variants 51.6- et YAC-MHV3, altérait la production du facteur vasodilatant NO et renversait leur phénotype tolérogénique en favorisant la production de cytokines et de chimiokines inflammatoires. Ces dysfonctions se traduisaient in vivo par une réponse inflammatoire incontrôlée et une dérégulation du recrutement intrahépatique de leucocytes, favorisant la réplication virale et les dommages hépatiques. Nous avons aussi démontré, à l’aide de souris TLR2 KO et de LSEC dont l’expression du TLR2 a été abrogée par des siRNA, que la sévérité de l’hépatite et de la réponse inflammatoire induite par le sérotype MHV3, dépendait en partie de l’induction et de l’activation préférentielle du TLR2 par le virus dans le foie. D’autre part, la sévérité de la réplication virale au foie et des désordres dans le recrutement leucocytaire intrahépatique induits par le MHV3, et non par le MHV-A59 et le 51.6-MHV3, corrélaient avec une invasion virale subséquente du SNC, au niveau de la BHE. Nous avons démontré que l’invasion cérébrale du MHV3 était associée à une infection productive des BMEC et l’altération subséquente des protéines de jonctions serrées occludine, VE-cadhérine et ZO-1 se traduisant par une augmentation de la perméabilité de la BHE et l’entrée consécutive du virus dans le cerveau. Dans l’ensemble, les résultats de cette étude mettent en lumière l’importance du maintien de l’intégrité structurale et fonctionnelle des LSEC et des BMEC lors d’infections virales aigües par des MHV afin de limiter les dommages hépatiques associés à l’induction d’une réponse inflammatoire exagérée et de prévenir le passage des virus au cerveau suite à une dissémination par voie hématogène. Ils révèlent en outre un nouveau rôle aggravant pour le TLR2 dans l’évolution de l’hépatite virale aigüe ouvrant la voie à de nouvelles avenues thérapeutiques visant à moduler l’activité inflammatoire du TLR2.

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Les cellules endothéliales (EC) constituent une première barrière physique à la dissémination de virus pléiotropiques circulant par voie hématogène mais leur contribution à la défense innée anti-virale est peu connue. Des dysfonctions des EC de la barrière hémato-encéphalique (BMEC) et des sinusoïdes hépatiques (LSEC) ont été rapportées dans des neuropathologies et des hépatites aiguës ou chroniques d’origine virale, suggérant que des atteintes à leur intégrité contribuent à la pathogenèse. Les sérotypes de coronavirus de l’hépatite murine (MHV), se différenciant par leur capacité à induire des hépatites et des maladies neurologiques de sévérité variable et/ou leur tropisme pour les EC, représentent des modèles viraux privilégiés pour déterminer les conséquences de l’infection des EC sur la pathogenèse virale. Lors d’infection par voie hématogène, le sérotype MHV3, le plus virulent des MHV, induit une hépatite fulminante, caractérisée par une réponse inflammatoire sévère, et des lésions neurologiques secondaires alors que le sérotype moins virulent, MHV-A59, induit une hépatite modérée sans atteintes secondaires du système nerveux central (SNC). Par ailleurs, le sérotype MHV3, à la différence du MHV-A59, démontre une capacité à stimuler la production de cytokines par la voie TLR2. Les variants atténués du MHV3, les virus 51.6-MHV3 et YAC-MHV3, sont caractérisés par un faible tropisme pour les LSEC et induisent respectivement une hépatite modérée et subclinique. Compte tenu de l’importance des LSEC dans le maintien de la tolérance hépatique et de l’élimination des pathogènes circulants, il a été postulé que la sévérité de l’hépatite et de la réponse inflammatoire lors d’infections par les MHV est associée à la réplication virale et à l’altération des propriétés tolérogéniques et vasculaires des LSEC. Les désordres inflammatoires hépatiques pourraient résulter d’une activation différentielle du TLR2, plutôt que des autres TLR et des hélicases, selon les sérotypes. D’autre part, compte tenu du rôle des BMEC dans la prévention des infections du SNC, il a été postulé que l’invasion cérébrale secondaire par les coronavirus est reliée à l’infection des BMEC et le bris subséquent de la barrière hémato-encéphalique (BHE). À l’aide d’infections in vivo et in vitro par les différents sérotypes MHV, chez des souris ou des cultures de BMEC et de LSEC, nous avons démontré, d’une part, que l’infection in vitro des LSEC par le sétotype MHV3, à la différence des variants 51.6- et YAC-MHV3, altérait la production du facteur vasodilatant NO et renversait leur phénotype tolérogénique en favorisant la production de cytokines et de chimiokines inflammatoires. Ces dysfonctions se traduisaient in vivo par une réponse inflammatoire incontrôlée et une dérégulation du recrutement intrahépatique de leucocytes, favorisant la réplication virale et les dommages hépatiques. Nous avons aussi démontré, à l’aide de souris TLR2 KO et de LSEC dont l’expression du TLR2 a été abrogée par des siRNA, que la sévérité de l’hépatite et de la réponse inflammatoire induite par le sérotype MHV3, dépendait en partie de l’induction et de l’activation préférentielle du TLR2 par le virus dans le foie. D’autre part, la sévérité de la réplication virale au foie et des désordres dans le recrutement leucocytaire intrahépatique induits par le MHV3, et non par le MHV-A59 et le 51.6-MHV3, corrélaient avec une invasion virale subséquente du SNC, au niveau de la BHE. Nous avons démontré que l’invasion cérébrale du MHV3 était associée à une infection productive des BMEC et l’altération subséquente des protéines de jonctions serrées occludine, VE-cadhérine et ZO-1 se traduisant par une augmentation de la perméabilité de la BHE et l’entrée consécutive du virus dans le cerveau. Dans l’ensemble, les résultats de cette étude mettent en lumière l’importance du maintien de l’intégrité structurale et fonctionnelle des LSEC et des BMEC lors d’infections virales aigües par des MHV afin de limiter les dommages hépatiques associés à l’induction d’une réponse inflammatoire exagérée et de prévenir le passage des virus au cerveau suite à une dissémination par voie hématogène. Ils révèlent en outre un nouveau rôle aggravant pour le TLR2 dans l’évolution de l’hépatite virale aigüe ouvrant la voie à de nouvelles avenues thérapeutiques visant à moduler l’activité inflammatoire du TLR2.

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Ochotona curzoniae and Microtus oeconomus are the native mammals living on the Qinghai-TibetanPlateau of China. The molecular mechanisms of their acclimatization to the Plateau-hypoxia remain unclear. Expressions of hepatic hypoxia-inducible factor (HIF)-1 alpha, insulin-like growth factor-I (IGF-I)/IGF binding protein (BP)-1(IGFBP-1; including genes), and key metabolic enzymatic genes [lactate dehydrogenase (LDH)-A/isocitrate dehydrogenase (ICD)] are compared in Qinghai-Tibetan- Plateau mammals andsea- level mice after injection of CoCl2 (20, 40, or 60 mg/ kg) and normobaric hypoxia (16.0% O-2, 10.8% O-2, and 8.0% O-2) for 6 h, tested by histochemistry, Western blot analysis, ELISA, and RT-PCR. Major results are CoCl2 markedly increased 1) HIF-1 alpha only in mice, 2) hepatic and circulatory IGF-I in M. oeconomus, 3) hepatic IGFBP-1 in mice and O. curzoniae, and 4) LDH-A but reduced ICD mRNA in mice (CoCl2 20 mg/kg) but were unchanged in the Tibetan mammals. Normobaric hypoxia markedly 1) increased HIF-1 alpha and LDH-A mRNA in mice and M. oeconomus (8.0% O-2) not in O. curzoniae, and 2) reduced ICD mRNA in mice and M. oeconomus (8.0% O-2) not in O. curzoniae. Results suggest that 1) HIF-1 alpha responsiveness to hypoxia is distinct in lowland mice and plateau mammals, reflecting a diverse tolerance of the three species to hypoxia; 2) CoCl2 induces diversities in HIF-1, IGF-I/IGFBP-1 protein or genes in mice, M. oeconomus, and O. curzoniae. In contrast, HIF-1 mediates IGFBP-1 transcription only in mice and in M. oeconomus (subjected to severe hypoxia); 3) differences in IGF-I/IGFBP-1 expressions induced by CoCl2 reflect significant diversities in hormone regulation and cell protection from damage; and 4) activation of anaerobic glycolysis and reduction of Krebs cycle represents strategies of lowland-animals vs. the stable metabolic homeostasis of plateau- acclimatized mammals.

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The liver secretes triglyceride-rich VLDLs, and the triglycerides in these particles are taken up by peripheral tissues, mainly heart, skeletal muscle, and adipose tissue. Blocking hepatic VLDL secretion interferes with the delivery of liver-derived triglycerides to peripheral tissues and results in an accumulation of triglycerides in the liver. However, it is unclear how interfering with hepatic triglyceride secretion affects adiposity, muscle triglyceride stores, and insulin sensitivity. To explore these issues, we examined mice that cannot secrete VLDL [due to the absence of microsomal triglyceride transfer protein (Mttp) in the liver]. These mice exhibit markedly reduced levels of apolipoprotein B-100 in the plasma, along with reduced levels of triglycerides in the plasma. Despite the low plasma triglyceride levels, triglyceride levels in skeletal muscle were unaffected. Adiposity and adipose tissue triglyceride synthesis rates were also normal, and body weight curves were unaffected. Even though the blockade of VLDL secretion caused hepatic steatosis accompanied by increased ceramides and diacylglycerols in the liver, the mice exhibited normal glucose tolerance and were sensitive to insulin at the whole-body level, as judged by hyperinsulinemic euglycemic clamp studies. Normal hepatic glucose production and insulin signaling were also maintained in the fatty liver induced by Mttp deletion. Thus, blocking VLDL secretion causes hepatic steatosis without insulin resistance, and there is little effect on muscle triglyceride stores or adiposity

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The mechanisms of how tea and epigallocatechin-3-gallate (EGCG) lower body fat are not completely understood. This study investigated long-term administration of green tea (GT), black tea (BT), or isolated EGCG (1 mg/kg per day) on body composition, glucose tolerance, and gene expression related to energy metabolism and lipid homeostasis; it was hypothesized that all treatments would improve the indicators of metabolic syndrome. Rats were fed a 15% fat diet for 6 months from 4 weeks of age and were supplied GT, BT, EGCG, or water. GT and BT reduced body fat, whereas GT and EGCG increased lean mass. At 16 weeks GT, BT, and EGCG improved glucose tolerance. In the liver, GT and BT increased the expression of genes involved in fatty acid synthesis (SREBP-1c, FAS, MCD, ACC) and oxidation (PPAR-α, CPT-1, ACO); however, EGCG had no effect. In perirenal fat, genes that mediate adipocyte differentiation were suppressed by GT (Pref-1, C/EBP-β, and PPAR-γ) and BT (C/EBP-β), while decreasing LPL, HSL, and UCP-2 expression; EGCG increased expression of UCP-2 and PPAR-γ genes. Liver triacylglycerol content was unchanged. The results suggest that GT and BT suppressed adipocyte differentiation and fatty acid uptake into adipose tissue, while increasing fat synthesis and oxidation by the liver, without inducing hepatic fat accumulation. In contrast, EGCG increased markers of thermogenesis and differentiation in adipose tissue, while having no effect on liver or muscle tissues at this dose. These results show novel and separate mechanisms by which tea and EGCG may improve glucose tolerance and support a role for these compounds in obesity prevention.

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We previously used Gene Expression Signature technology to identify methazolamide (MTZ) and related compounds with insulin sensitizing activity in vitro. The effects of these compounds were investigated in diabetic db/db mice, insulin-resistant diet-induced obese (DIO) mice, and rats with streptozotocin (STZ)-induced diabetes. MTZ reduced fasting blood glucose and HbA1c levels in db/db mice, improved glucose tolerance in DIO mice, and enhanced the glucose-lowering effects of exogenous insulin administration in rats with STZ-induced diabetes. Hyperinsulinemic-euglycemic clamps in DIO mice revealed that MTZ increased glucose infusion rate and suppressed endogenous glucose production. Whole-body or cellular oxygen consumption rate was not altered, suggesting MTZ may inhibit glucose production by different mechanism(s) to metformin. In support of this, MTZ enhanced the glucose-lowering effects of metformin in db/db mice. MTZ is known to be a carbonic anhydrase inhibitor (CAI); however, CAIs acetazolamide, ethoxyzolamide, dichlorphenamide, chlorthalidone, and furosemide were not effective in vivo. Our results demonstrate that MTZ acts as an insulin sensitizer that suppresses hepatic glucose production in vivo. The antidiabetic effect of MTZ does not appear to be a function of its known activity as a CAI. The additive glucose-lowering effect of MTZ together with metformin highlights the potential utility for the management of type 2 diabetes.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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The present study examines the effects of a hypercaloric diet on hepatic glucose metabolism of young rats, with and without monosodium glutamate (MSG) administration, and the association of these treatments with evaluating markers of oxidative stress. Male weaned Wistar rats (21 days old) from mothers fed with a hypercaloric diet or a normal diet, were divided into four groups (n=6): control (C) fed with control diet; (MSG) treated with MSG (4 mg/g) and control diet; (HD) fed with hypercaloric diet and (MSG-HD) treated with MSG and HD. Rats were sacrificed after the oral glucose tolerance test (OGTT), at 45 days of treatments. Serum was used for insulin determination. Glycogen, hexokinase(HK), glucose-6-phosphatase(G6PH), lipid hydroperoxide, superoxide dismutase(SOD) and glutathione peroxidase(GSH-Px) were determined in liver. HD rats showed hypoglycemia, hyperinsulinemia, and high hepatic glycogen, HK and decreased G6PH. MSG and MSG-HD had hyperinsulinemia, hyperglycemia, decreased HK and increased G6PH in hepatic tissue. These animals had impaired OGTT. HD, MSG and MSG-HD groups had increased lipid hydroperoxide and decreased SOD in hepatic tissue. Hypercaloric diet and monosodium glutamate administration induced alterations in metabolic rate of glucose utilization and decreased antioxidant defenses. Therefore, the hepatic glucose metabolic shifting induced by HD intake and MSG administration were associated with oxidative stress in hepatic tissue.

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Background: Obesity, oxidative stress and inflammation, by triggering insulin resistance, may contribute to the accumulation of hepatic fat, and this accumulation by lipotoxicity can lead the organ to fail. Because obesity is growing at an alarming rate and, worryingly, in a precocious way, the present study aimed to investigate the effects of moderate physical training performed from childhood to adulthood on liver fat metabolism in rats. Methods. Twenty rats that were 28days old were divided into two groups: control (C) and trained (T). The C Group was kept in cages without exercise, and the T group was submitted to swimming exercise for 1hour/day, 5days/week from 28 to 90days of age (8weeks) at 80% of the anaerobic threshold determined by the lactate minimum test. At the end of the experiment, the body weight gain, insulin sensitivity (glucose disappearance rate during the insulin tolerance test), concentrations of free fatty acids (FFA) and triglycerides (TG) and hepatic lipogenic rate were analyzed. For the statistical analysis, the Student t-test was used with the level of significance preset at 5%. Results: The T group showed lower body weight gain, FFA concentrations, fat accumulation, hepatic lipogenic rate and insulin resistance. Conclusion: The regular practice of moderate physical exercise from childhood can contribute to the reduction of obesity and insulin resistance and help prevent the development of accumulation of hepatic fat in adulthood. © 2013de Moura et al; licensee BioMed Central Ltd.

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The high consumption of fructose is linked to the increase in various characteristics of the metabolic syndrome. Fish oil is beneficial for the treatment of these comorbidities, such as insulin resistance, dyslipidemia, and hepatic steatosis. The objective of this study was to evaluate the consequences of the administration of fish oil concomitant to fructose ingestion during the experiment (45 days) and during the final 15 days in high-fructose-fed rats. Male Wistar rats were divided into 5 groups: control; those receiving 10% fish oil (FO); those receiving 60% fructose (Fr); those receiving 60% fructose and 10% fish oil for 45 days (FrFO); and those receiving fructose plus soybean oil for 30 days and fish oil for the final 15 days of the study (FrFO15). There was an increase in triacylglycerol, serum total cholesterol, and hepatic volume in the Fr group. The FO and FrFO groups experienced an increase in lipid peroxidation and a decrease in serum reduced glutathione. The FrFO group suffered greater hepatic injury, with increased alanine aminotransferase levels and DNA damage. Marked n-3 incorporation occurred in the groups receiving fish oil, favoring a better response to the oral glucose tolerance test. Fructose induced comorbidities of the metabolic syndrome, and the use of fish oil promoted a better glucose tolerance, although it was accompanied by more hepatocyte damage.

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Melatonin can contribute to glucose homeostasis either by decreasing gluconeogenesis or by counteracting insulin resistance in distinct models of obesity. However, the precise mechanism through which melatonin controls glucose homeostasis is not completely understood. Male Wistar rats were administered an intracerebroventricular (icv) injection of melatonin and one of following: an icv injection of a phosphatidylinositol 3-kinase (PI3K) inhibitor, an icv injection of a melatonin receptor (MT) antagonist, or an intraperitoneal (ip) injection of a muscarinic receptor antagonist. Anesthetized rats were subjected to pyruvate tolerance test to estimate in vivo glucose clearance after pyruvate load and in situ liver perfusion to assess hepatic gluconeogenesis. The hypothalamus was removed to determine Akt phosphorylation. Melatonin injections in the central nervous system suppressed hepatic gluconeogenesis and increased hypothalamic Akt phosphorylation. These effects of melatonin were suppressed either by icv injections of PI3K inhibitors and MT antagonists and by ip injection of a muscarinic receptor antagonist. We conclude that melatonin activates hypothalamus-liver communication that may contribute to circadian adjustments of gluconeogenesis. These data further suggest a physiopathological relationship between the circadian disruptions in metabolism and reduced levels of melatonin found in type 2 diabetes patients.