1000 resultados para Fiscal stimulus


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Este trabalho estima, utilizando dados trimestrais de 1999 a 2011, o impacto dinâmico de um estímulo fiscal no Brasil sobre as principais variáveis macroeconômicas Brasileiras. Na estimativa dos impactos permitiu-se que as expectativas dos agentes econômicas fossem afetadas pela existência e probabilidade de alternância de regimes (foram detectados dois regimes) na política monetária do país. Os parâmetros da regra da política monetária, nos dois regimes detectados, foram estimados através de um modelo - composto apenas pela equação da regra da política monetária - que permite uma mudança de regime Markoviana. Os parâmetros do único regime encontrado para a política fiscal foram estimados por um modelo Vetorial de Correção de Erros (Vector Error Correction Model - VEC), composto apenas pelas variáveis pertencentes à regra da política fiscal. Os parâmetros estimados, para os diversos regimes das políticas monetária e fiscal, foram utilizados como auxiliares na calibragem de um modelo de equilíbrio geral estocástico dinâmico (MEGED), com mudanças de regime, com rigidez nominal de preços e concorrência monopolística (como em Davig e Leeper (2011)). Após a calibragem do MEGED os impactos dinâmicos de um estímulo fiscal foram obtidos através de uma rotina numérica (desenvolvida por Davig e Leeper (2006)) que permite obter o equilíbrio dinâmico do modelo resolvendo um sistema de equações de diferenças de primeira ordem expectacionais dinâmicas não lineares. Obtivemos que a política fiscal foi passiva durante todo o período analisado e que a política monetária foi sempre ativa, porém sendo em determinados momentos menos ativa. Em geral, em ambas as combinações de regimes, um choque não antecipado dos gastos do governo leva ao aumento do hiato do produto, aumento dos juros reais, redução do consumo privado e (em contradição com o resultado convencional) redução da taxa de inflação.

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Dans le sillage de la récession mondiale de 2008-09, plusieurs questions ont été soulevées dans la littérature économique sur les effets à court et à long terme de la politique budgétaire sur l’activité économique par rapport à son signe, sa taille et sa durée. Ceux-ci ont des implications importantes pour mieux comprendre les canaux de transmission et l’efficacité des politiques budgétaires, avec la politique monétaire étant poursuivi, ainsi que pour leurs retombées économiques. Cette thèse fait partie de ce regain d’intérêt de la littérature d’examiner comment les changements dans la politique budgétaire affectent l’activité économique. Elle repose alors sur trois essais: les effets macroéconomiques des chocs de dépenses publiques et des recettes fiscales, les résultats macroéconomiques de l’interaction entre les politiques budgétaire et monétaire et le lien entre la politique budgétaire et la répartition des revenus. Le premier chapitre examine les effets des chocs de politique budgétaire (chocs de dépenses publiques et chocs de recettes fiscales) sur l’économie canadienne au cours de la période 1970-2010, en s’appuyant sur la méthode d’identification des restrictions de signe développée par Mountford et Uhlig [2009]. En réponse à la récession mondiale, les autorités fiscales dans les économies avancées, dont le Canada ont généralement mis en oeuvre une approche en deux phases pour la politique budgétaire. Tout d’abord, ils ont introduit des plans de relance sans précédent pour relancer leurs économies. Par exemple, les mesures de relance au Canada, introduites à travers le Plan d’action économique du Canada, ont été projetées à 3.2 pour cent du PIB dans le budget fédéral de 2009 tandis que l’ "American Recovery and Reinvestment Act"(ARRA) a été estimé à 7 pour cent du PIB. Par la suite, ils ont mis en place des plans d’ajustement en vue de réduire la dette publique et en assurer la soutenabilité à long terme. Dans ce contexte, évaluer les effets multiplicateurs de la politique budgétaire est important en vue d’informer sur l'efficacité de telles mesures dans la relance ou non de l'activité économique. Les résultats montrent que les multiplicateurs d'impôt varient entre 0.2 et 0.5, tandis que les multiplicateurs de dépenses varient entre 0.2 et 1.1. Les multiplicateurs des dépenses ont tendance à être plus grand que les multiplicateurs des recettes fiscales au cours des deux dernières décennies. Comme implications de politique économique, ces résultats tendent à suggérer que les ajustements budgétaires par le biais de grandes réductions de dépenses publiques pourraient être plus dommageable pour l'économie que des ajustements budgétaires par la hausse des impôts. Le deuxième chapitre, co-écrit avec Constant Lonkeng Ngouana, estime les effets multiplicateurs des dépenses publiques aux Etats-Unis en fonction du cycle de la politique monétaire. Les chocs de dépenses publiques sont identifiés comme étant des erreurs de prévision du taux de croissance des dépenses publiques à partir des données d'Enquêtes des prévisionnistes professionnels et des informations contenues dans le "Greenbook". L'état de la politique monétaire est déduite à partir de la déviation du taux des fonds fédéraux du taux cible de la Réserve Fédérale, en faisant recours à une fonction lisse de transition. L'application de la méthode des «projections locales» aux données trimestrielles américaines au cours de la période 1965-2012 suggère que les effets multiplicateurs des dépenses fédérales sont sensiblement plus élevées quand la politique monétaire est accommodante que lorsqu'elle ne l'est pas. Les résultats suggèrent aussi que les dépenses fédérales peuvent stimuler ou non la consommation privée, dépendamment du degré d’accommodation de la politique monétaire. Ce dernier résultat réconcilie ainsi, sur la base d’un cadre unifié des résultats autrement contradictoires à première vue dans la littérature. Ces résultats ont d'importantes implications de politique économique. Ils suggèrent globalement que la politique budgétaire est plus efficace lorsqu'on en a le plus besoin (par exemple, lorsque le taux de chômage est élevé), si elle est soutenue par la politique monétaire. Ils ont également des implications pour la normalisation des conditions monétaires dans les pays avancés: la sortie des politiques monétaires non-conventionnelles conduirait à des multiplicateurs de dépenses fédérales beaucoup plus faibles qu'autrement, même si le niveau de chômage restait élevé. Ceci renforce la nécessité d'une calibration prudente du calendrier de sortie des politiques monétaires non-conventionnelles. Le troisième chapitre examine l'impact des mesures d'expansion et de contraction budgétaire sur la distribution des revenus dans un panel de 18 pays d'Amérique latine au cours de la période 1990-2010, avec un accent sur les deniers 40 pour cent. Il explore alors comment ces mesures fiscales ainsi que leur composition affectent la croissance des revenus des dernier 40 pour cent, la croissance de leur part de revenu ainsi que la croissance économique. Les mesures d'expansion et de contraction budgétaire sont identifiées par des périodes au cours desquels il existe une variation significative du déficit primaire corrigé des variations conjoncturelles en pourcentage du PIB. Les résultats montrent qu'en moyenne l'expansion budgétaire par la hausse des dépenses publiques est plus favorable à la croissance des revenus des moins bien-nantis que celle par la baisse des impôts. Ce résultat est principalement soutenu par la hausse des dépenses gouvernementales de consommation courante, les transferts et subventions. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. Cependant, l'expansion budgétaire pourrait soit n'avoir aucun effet sur la croissance économique ou entraver cette dernière à travers la hausse des dépenses en capital. Les résultats relatifs à la contraction budgétaire sont quelque peu mitigés. Parfois, les mesures de contraction budgétaire sont associées à une baisse de la croissance des revenus des moins bien nantis et à une hausse des inégalités, parfois l'impact de ces mesures est non significatif. Par ailleurs, aucune des mesures n’affecte de manière significative la croissance du PIB. Comme implications de politique économique, les pays avec une certaine marge de manœuvre budgétaire pourraient entamer ou continuer à mettre en œuvre des programmes de "filets de sauvetage"--par exemple les programmes de transfert monétaire conditionnel--permettant aux segments vulnérables de la population de faire face à des chocs négatifs et aussi d'améliorer leur conditions de vie. Avec un potentiel de stimuler l'emploi peu qualifié, une relance budgétaire sage par les dépenses publique courantes pourrait également jouer un rôle important pour la réduction des inégalités. Aussi, pour éviter que les dépenses en capital freinent la croissance économique, les projets d'investissements publics efficients devraient être prioritaires dans le processus d'élaboration des politiques. Ce qui passe par la mise en œuvre des projets d'investissement avec une productivité plus élevée capable de générer la croissance économique nécessaire pour réduire les inégalités.

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This article investigates fiscal policy responses to the Great Recession in historical perspective. We explore general trends in the frequency, size and composition of fiscal stimulus as well as the impact of government partisanship on fiscal policy outputs during the four international recessions of 1980-81, 1990-91, 2001-02 and 2008-09. Encompassing 17-23 OECD countries, our analysis calls into question the idea of a general retreat from fiscal policy activism since the early 1980s. The propensity of governments to respond to economic downturns by engaging in fiscal stimulus has increased over time and we do not observe any secular trend in the size of stimulus measures. At the same time, OECD governments have relied more on tax cuts to stimulate demand in the two recessions of the 2000s than they did in the early 1980s or early 1990s. Regarding government partisanship, we do not find any significant direct partisan effects on either the size or the composition of fiscal stimulus for any of the four recession episodes. However, the size of the welfare state conditioned the impact of government partisanship in the two recessions of the 2000s, with Left-leaning governments distinctly more prone to engage in discretionary fiscal stimulus and/or spending increases in large welfare states, but not in small welfare states.

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This paper proposes a simple macroeconomic model with staggered investment decisions. The model captures the dynamic coordination problem arising from demand externalities and fixed costs of investment. In times of low economic activity, a firm faces low demand and hence has less incentives for investing, which reinforces firms’ expectations of low demand. In the unique equilibrium of the model, demand expectations are pinned down by fundamentals and history. Owing to the beliefs that arise in equilibrium, there is no special reason for stimulus at times of low economic activity.

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The main goal of this article is to identify the dynamic effects of fiscal policy on output in Brazil from 1997 to 2014, and, more specifically, to estimate those effects when the output falls below its potential level. To do so, we estimate VAR (vector autoregressive) models to generate impulse-response functions and causality/endogeneity tests. Our most remarkable results indicate the following channel of economic policy in Brazil: to foster output, government spending increases causing increases in both tax rates and revenue and the short-term interest rate. A fiscal stimulus via spending seems efficient for economic performance as well as monetary policy; however, the latter operates pro-cyclically in the way we defined here, while the former is predominantly countercyclical. As the monetary shock had a negative effect on GDP growth and GDP growth responded positively to the fiscal shock, it seems that the economic policy has given poise to growth with one hand and taken it with the other one. The monetary policy is only reacting to the fiscal stimuli. We were not able to find any statistically significant response of the output to tax changes, but vice versa seems work in the Brazilian case.

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This paper studies the effectiveness of Euro Area (EA) fiscal policy, during the recent financial crisis, using an estimated New Keynesian model with a bank. A key dimension of policy in the crisis was massive government support for banks—that dimension has so far received little attention in the macroeconomics literature. We use the estimated model to analyze the effects of bank asset losses, of government support for banks, and other fiscal stimulus measures, in the EA. Our results suggest that support for banks had a stabilizing effect on EA output, consumption and investment. Increased government purchases helped to stabilize output, but crowded out consumption. Higher transfers to households had a positive impact on private consumption, but a negligible effect on output and investment. Banking shocks and increased government spending explain half of the rise in the public debt/GDP ratio since the onset of the crisis.

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A PhD Dissertation, presented as part of the requirements for the Degree of Doctor of Philosophy from the NOVA - School of Business and Economics

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The Japanese economy entered a long recession in spring 1997. Its economic growth has been much lower than in the US and the EU despite large fiscal stimulus packages, a monetary policy which has brought interest rates to zero since 1999, injections of public money to recapitalize banks, and programs of liberalization and deregulation. How could all these policies have failed to bring the Japanese economy back on a sustainable growth path? This paper argues that the failure of Japan's efforts to restore a sound economic environment is the result of having deliberately chosen inappropriate and inadequate monetary and fiscal instruments to tackle the macroeconomic and structural problems that have burdened the Japanese economy since the burst of the financial bubble at the beginning of the 90s. These choices were deliberate, since the "right" policies (in primis the resolution of the banking crisis) presented unbearable political costs, not only for the ruling parties, but also for the bureaucratic and business elites. The misfortunes of the Japanese economy during the long recession not only allow us to draw important economic policy lessons, but also stimulate reflections on the disruptive role on economic policies caused by powerful vested interests when an economy needs broad and deep structural changes. The final part of the paper focuses on ways to tackle Japan's banking crisis. In particular, it explores the Scandinavian solution, which, mutatis mutandis, might serve Japanese policy-makers well.

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The paper studies Brazil’s economic growth and begins with a brief overview of events that marked the country’s development from her discovery to the 19th century. It then divides the years between 1900 and 2008 into four periods. The breaks in regime occur in 1918, 1967 and 1980, according to the methodology created by Bai and Perron (1998, 2003). The use of the accounting methodology serves the analysis of the behavior of productivity in the previously identified different phases of the post-World War II period. High inflation might have been a reason for the decline in productivity observed between 1980 and mid-1990s. The paper shows that terms of trade have a significant effect on economic growth and output fluctuations. Other factors (such as fiscal stimulus or easy access to foreign finance) also matter for output accelerations in the short run. From 2004 to 2008, terms of trade improvement and debt reduction brought economic progress. The emergence of a new era in this millennium will depend on wiser fiscal policies than those of the past.

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A atual crise econômica internacional mostrou que o combate a hiatos do produto utilizando apenas a política monetária pode não ser suficiente. Neste contexto, questões sobre a eficácia de estímulos fiscais temporários como política anticíclica foram levantadas, e adicionalmente quais estímulos fiscais seriam mais benéficos às economias. Este trabalho desenvolveu um modelo estrutural DSGE com características e calibrações para a economia brasileira. O objetivo era realizar um exercício com choques fiscais expansionistas, de modo a analisar seus multiplicadores fiscais. Os resultados sugerem que o impacto de gastos correntes do governo obteve melhor multiplicador fiscal, tanto no curto quanto no longo prazo, porém teve efeitos acumulativos decrescentes. Por outro lado, o choque de diminuição da alíquota dos impostos sobre consumo obteve baixos multiplicadores fiscais a curto prazo, porém com efeitos crescentes a longo prazo, alcançando multiplicadores de longo prazo similares aos dos gastos do governo.

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The financial crisis and Great Recession have been followed by a jobs shortage crisis that most forecasts predict will persist for years given current policies. This paper argues for a wage-led recovery and growth program which is the only way to remedy the deep causes of the crisis and escape the jobs crisis. Such a program is the polar opposite of the current policy orthodoxy, showing how much is at stake. Winning the argument for wage-led recovery will require winning the war of ideas about economics that has its roots going back to Keynes’ challenge of classical macroeconomics in the 1920s and 1930s. That will involve showing how the financial crisis and Great Recession were the ultimate result of three decades of neoliberal policy, which produced wage stagnation by severing the wage productivity growth link and made asset price inflation and debt the engine of demand growth in place of wages; showing how wage-led policy resolves the current problem of global demand shortage without pricing out labor; and developing a detailed set of policy proposals that flow from these understandings. The essence of a wage-led policy approach is to rebuild the link between wages and productivity growth, combined with expansionary macroeconomic policy that fills the current demand shortfall so as to push the economy on to a recovery path. Both sets of measures are necessary. Expansionary macro policy (i.e. fiscal stimulus and easy monetary policy) without rebuilding the wage mechanism will not produce sustainable recovery and may end in fiscal crisis. Rebuilding the wage mechanism without expansionary macro policy is likely to leave the economy stuck in the orbit of stagnation.

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