966 resultados para B-Lymphocyte Subsets


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cell of origin and triggering events for leukaemia are mostly unknown. Here we show that the bone marrow contains a progenitor that expresses renin throughout development and possesses a B-lymphocyte pedigree. This cell requires RBP-J to differentiate. Deletion of RBP-J in these renin-expressing progenitors enriches the precursor B-cell gene programme and constrains lymphocyte differentiation, facilitated by H3K4me3 activating marks in genes that control the pre-B stage. Mutant cells undergo neoplastic transformation, and mice develop a highly penetrant B-cell leukaemia with multi-organ infiltration and early death. These reninexpressing cells appear uniquely vulnerable as other conditional models of RBP-J deletion do not result in leukaemia. The discovery of these unique renin progenitors in the bone marrow and the model of leukaemia described herein may enhance our understanding of normal and neoplastic haematopoiesis.

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Les anomalies phénotypiques et fonctionnelles des lymphocytes B (LB) sont typiques d'une infection au VIH et se traduisent principalement par une activation polyclonale, une perte de la mémoire immunitaire ainsi qu'une réponse humorale déficiente et des phénomènes auto-immunitaires souvent précurseurs de lymphomes B. Ces anomalies se retrouvent principalement chez les patients lors de la phase chronique de la maladie et semblent être reliées en partie au niveau de la charge virale ainsi qu'à un compartiment de lymphocytes T CD4+ altéré. Cependant, quoique controversé, des éléments d’activation polyclonale ont également été observés chez les non-progresseurs à long terme (LTNPs) qui présentent une charge virale faible et un compartiment T CD4+ semblable aux individus séronégatifs. Ainsi, les objectifs principaux de cette étude sont 1) d’établir une chronologie des anomalies du compartiment des cellules B chez des individus infectés par le VIH qui ont une progression différente de la maladie (PHI normaux, rapides, sains et LTNP). 2) corréler les niveaux sériques du stimulateur de lymphocytes B (BLyS), un facteur de croissance des cellules B, avec les phénotypes observés chez ces mêmes patients. L’hyperglobulinémie, les niveaux sériques de BLyS et d’auto-anticorps ont été mesuré longitudinalement chez une cohorte d’individus en primo-infection (PHI) avec des progressions différentes de la maladie (rapides et normaux), LTNP et sujets sains. Nos résultats démontrent que l’activation polyclonale des LB survient indépendamment de la vitesse de progression et persiste chez les LTNP ou malgré une thérapie antirétrovirale efficace chez les progresseurs rapides. Des niveaux élevés de BLyS dans le sérum des progresseurs rapides corrèlent avec des fréquences altérées de monocytes et cellules dendritiques, suggérant un rôle de celles-ci dans l’atteinte du compartiment des cellules B.

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La dérégulation du compartiment B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), qui peut mener à des manifestations autoimmunes et ultimement à des lymphomes B. Parmi les premières anomalies détectées, on dénote l’activation polyclonale, reflétée par la présence d’hyperglobulinémie (hyper-Ig) et des titres élevés d’autoanticorps chez les patients. On observe également une altération des dynamiques des populations, notamment une expansion de la population des cellules matures activées. De plus, les patients évoluent vers l’incapacité de générer une réponse humorale efficace, et sont sujets à une perte de la mémoire immunologique en phase chronique, caractérisée par une diminution de la population des cellules mémoires et par l’épuisement cellulaire. Toutefois, on connaît très peu les mécanismes impliqués dans de telles altérations. Les cellules dendritiques (DC) sont parmi les premières populations cellulaires à rencontrer et à propager le VIH lors d’une infection, et s’en trouvent affectées directement et indirectement, par le virus et ses composantes. On retrouve en effet une diminution des fréquences de DC dans le sang, les muqueuses et les organes lymphoïdes de patients infectés par le VIH, ainsi qu’un blocage au niveau de la maturation cellulaire. Toutefois, un débat perdure quant à l’apparition de ces altérations durant la phase aigüe de l’infection, et à la restauration des fréquences et des fonctions des DC chez les patients sous traitement. Cette controverse est due à la rareté des études longitudinales incluant des suivis qui s’échelonnent de la phase aigüe à la phase chronique de l’infection. Les DC jouent un rôle important dans le développement, la survie et l’activation des lymphocytes B, de façon T-dépendante et T-indépendante, notamment via des facteurs de croissance tel que BLyS (B lymphocyte stimulator). Par conséquent, nous formulons l’hypothèse que dans le cadre d’une infection VIH, les altérations observées au niveau des cellules B sont modulées par les DC. L’objectif majeur de cette étude est donc d’évaluer l’implication potentielle des DC dans les altérations des cellules B au cours de l’infection par le VIH. Pour ce faire, nous avons d’abord caractérisé de façon longitudinale le statut des populations de DC du sang périphérique de patients infectés au VIH et présentant différents types de progression de la maladie. Cela nous a permis d’évaluer la présence d’une corrélation entre les dynamiques de DC et le type de progression. Par la suite, nous avons évalué la capacité des DC à exprimer BLyS, puis mesuré sa concentration ainsi que celles d’autres facteurs de croissance des cellules B dans le plasma des patients. Enfin, nous avons caractérisé le statut des lymphocytes B, en fonction du stade de l’infection et du taux de progression clinique des patients. Cette étude démontre une diminution de la fréquence des populations de DC myéloïdes (mDC) dans le sang de patients infectés par le VIH sujets à une progression clinique. Cette diminution est observée dès le stade aigu de l’infection et au-delà du traitement antirétroviral (ART). Des concentrations élevées de MCP-1 (monocyte chemotactic protein), MIP (macrophage inflammatory protein) -3α et MIP-3β suggèrent la possibilité d’un drainage vers des sites périphériques. Nous observons également des niveaux supérieurs à la normale de précurseurs CD11c+CD14+CD16- en phase chronique, possiblement liés à une tendence de régénération des DC. Les patients en phase chronique présentent de hautes concentrations plasmatiques de BLyS, reflétée par un haut taux d’expression de cette cytokine par les mDC et leurs précurseurs. Parallèlement, nous observons une expansion des cellules B matures activées ainsi que des taux élevés d’IgG et IgA dans le sang de ces patients. De plus, nous constatons l’expansion d’une population de cellules B qui présente à la fois des caractéristiques de cellules B immatures transitionnelles (TI, transitional immature), et de cellules B recirculantes activées de la zone marginale (MZ, marginal zone), considérées ici comme des «précurseurs/activées de la MZ». Cette étude démontre aussi, chez les progresseurs lents, une meilleure préservation du compartiment des DC du sang périphérique, accompagnée d’une augmentation de précurseurs des DC de phénotype CD11c+CD14+CD16+, ainsi que des concentrations plasmatiques et niveaux d’expression normaux de BLyS. Conséquemment, nous n’avons pas observé d’augmentation des cellules B matures activées et des cellules B précurseurs/activées de la MZ. Toutefois, la fréquence des cellules B matures de la MZ est diminuée, reflétant possiblement leur recrutement vers des sites périphériques et leur contribution à un mécanisme actif de contrôle de la progression de la maladie. L’ensemble de ce travail suggère que dans le cadre d’une infection au VIH, les altérations observées au niveau des DC modulent les anomalies des cellules B. Par conséquent, le maintien de l’équilibre des fonctions DC, notamment les fonctions noninflammatoires, pourrait avoir un impact important dans la prévention de la progression de maladies associées aux altérations du compartiment des cellules B.

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La dérégulation du compartiment de cellules B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1). On observe notamment une diminution des nombres de lymphocytes B sanguins ainsi qu’une variation des fréquences relatives des différentes populations de lymphocytes B chez les individus infectés par rapport aux contrôles sains. Notre laboratoire a précédemment démontré l’implication des cellules dendritiques dans la dérégulation des lymphocytes B via la roduction excessive de BLyS/BAFF, un stimulateur des cellules B. De plus, lors l’études menées chez la souris transgénique présentant une maladie semblable au SIDA, et chez la souris BLyS/BAFF transgénique, l’infection au VIH-1 fut associée à une expansion de la zone marginale (MZ) de la rate. De façon intéressante, nous observons chez les contrôleurs élites une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ. Il s’agit du seul changement important chez les contrôleurs élites et reflète possiblement un recrutement de ces cellules vers la périphérie ainsi qu’une implication dans des mécanismes de contrôle de l’infection. Pour tenter d’expliquer et de mieux comprendre ces variations dans les fréquences des populations B, nous avons analysé les axes chimiotactiques CXCL13-CXCR5, CXCL12-CXCR4/CXCR7, CCL20-CCR6 et CCL25-CCR9. L’étude longitudinale de cohortes de patients avec différents types de progression clinique ou de contrôle de l’infection démontre une modulation des niveaux plasmatiques de la majorité des chimiokines analysées chez les progresseurs rapides et classiques. Au contraire, les contrôleurs élites conservent des niveaux normaux de chimiokines, démontrant leur capacité à maintenir l’homéostasie. La migration des populations de cellules B semble être modulée selon la progression ou le contrôle de l’infection. Les contrôleurs élites présentent une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ et une augmentation de la fréquence d’expression du récepteur CXCR7 associé à la MZ chez la souris, suggérant un rôle important des cellules de la MZ dans le contrôle de l’infection au VIH-1. De façon générale, les résultats dans cette étude viennent enrichir nos connaissances du compartiment de cellules B dans le contexte de l’infection au VIH-1 et pourront contribuer à élaborer des stratégies préventives et thérapeutiques contre ce virus.

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Streptococcus suis et Streptococcus du groupe B (GBS) sont deux bactéries encapsulées qui induisent des pathologies similaires chez l’homme et/ou l’animal, incluant septicémies et méningites. La capsule polysaccharidique (CPS) est un facteur de virulence clé de ces deux pathogènes et les anticorps (Ac) anti-CPS présentent un bon potentiel protecteur. Néanmoins, ces molécules sont faiblement immunogéniques et les mécanismes de la génération de la réponse humorale anti-CPS demeurent méconnus. L’objectif principal de cette thèse était d’évaluer les caractéristiques et les mécanismes du développement de la réponse Ac dirigée spécifiquement contre les CPS de S. suis et GBS, ainsi que l’effet de la biochimie de la CPS dans cette réponse. Nous avons étudié S. suis types 2 et 14 et GBS types III et V, dont les CPS présentent plusieurs similarités dans leurs compositions et leurs structures, incluant la présence d’acide sialique, un sucre potentiellement immunosuppresseur, tout en possédant une antigénicité propre. Nous avons tout d’abord analysé la nature de la réponse Ac anti-CPS sérique face à la bactérie entière. Les souris infectées par S. suis développent une réponse très faible (S. suis type 2) voire insignifiante (S. suis type 14) de profil isotypique restreint à l’IgM et sont incapables de monter une réponse mémoire efficace face à une seconde infection. Un profil similaire est obtenu chez le porc infecté par S. suis type 2. On détecte des titres d’IgM anti-CPS significatifs chez les souris infectées par GBS (type III ou V). Toutefois, la magnitude de la réponse reste globalement faible et aucune commutation de classe n’est observée. Nous avons ensuite examiné l’influence de la biochimie de la CPS sur ces profils de réponse en conduisant des expériences avec la CPS hautement purifiée de ces pathogènes. Tandis que la CPS de GBS type III administrée aux souris conserve des propriétés immunogéniques similaires à celles observées durant l’infection par la bactérie intacte, les CPS de S. suis type 2 et GBS type V perdent toute capacité à induire une réponse Ac spécifique. L’analyse de l’interaction in vitro des CPS avec les cellules dendritiques (DC) murines, des acteurs clés dans la détection des pathogènes et l’orchestration des réponses immunitaires subséquentes, révèle que ces molécules stimulent la production de niveaux conséquents de chémokines via différents récepteurs. Néanmoins, les CPS sont inaptes à induire la sécrétion de cytokines et elles interfèrent avec la capacité des DC à exprimer BAFF, une cytokine clé dans la différenciation des lymphocytes B en plasmocytes. L’utilisation de CPS chimiquement désialylées démontre que l’acide sialique ne joue aucun rôle immunosuppresseur majeur dans le développement de la réponse Ac dirigée contre les CPS purifiées de S. suis ou GBS, ni sur l’interaction des CPS avec les DC in vitro, ni sur profil de la réponse in vivo. D’autres propriétés biochimiques intrinsèques à ces CPS seraient responsables de l’inaptitude de l’hôte infecté à monter une réponse Ac adéquate et les identifier constituera un outil précieux pour une meilleure compréhension de l’immunopathogénèse de S. suis et GBS ainsi que pour développer des moyens de lutte efficaces contre ces bactéries.

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The mechanisms by which arthritis-provoking pathogens such as Yersinia enterocolitica interact with the human immune system to produce inflammatory synovitis are not well known. One of the immunomodulating mechanisms used against these pathogens is the polyclonal activation of lymphocytes. In this study, we investigated the extent of the B-lymphocyte activation induced in mice by a strain of Y. enterocolitica O:3 (FCF 526) isolated from a patient with arthritis, and compared it with two other strains, a virulent one (FCF 397[+]) isolated from a patient without arthritis and its plasmidless isogenic pair (FCF397[-]). Also we investigated the production of autoantibodies in mice infected with these different strains. SPF Swiss mice were infected intravenously with a suspension of Y. enterocolitica . Spleen cells were taken on days 7, 14, 21 and 28 after infection and the number of cells secreting nonspecific and specific antibodies of IgG 1 , IgG 2a , IgG 2b , IgG 3 , IgM and IgA isotypes were determined by the ELISPOT technique. The presence of autoantibodies in mouse serum was investigated by the dot-blot assay. The pattern of infection of the three bacterial strains were almost the same. We observed a general increase in the number of nonspecific Ig-secreting cells with all three strains, and the greatest increases observed were in the IgG 2a and IgG 3 isotypes. Only a small fraction of the immunoglobulins detected were antibacterial, suggesting that the rest resulted from polyclonal B cell activation. The strain isolated from the patient with arthritis (FCF526) induced the greatest production of autoantibodies, coinciding with the period in which the greatest activation of nonspecific B lymphocytes was seen. There were no signs of arthritis or inflammation in the joints of the infected animals. Based on our results, we were unable to determine whether there is an association between the arthritogenic capability of Y. enterocolitica and polyclonal activation of B cells.

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OBJETIVO: O objetivo deste estudo foi determinar o perfil da deficiência imune em um grupo bem definido de epilepsia: crianças com síndrome de West (SW) e seus padrões EEG de evolução, idade-dependentes, como os complexos onda-aguda- onda lenta generalizadas da síndrome de Lenox-Gastaut (SLG) e as pontas multifocais independentes (PMI). MÉTODO: Um grupo de 50 crianças, 33 com SW, 10 com SLG, 7 com PMI e 20 crianças sadias (controle) foram avaliadas em relação aos seguintes parâmetros:determinação de subpopulações de linfócitos T (CD1, CD3, CD4 e CD8), relação CD4/CD8 e resposta proliferativa de linfócitos frente a fitohemaglutinina (PHA), na presença de plasma autólogo ou de plasma AB (homólogo). A prova cutânea de sensibilização ao Dinitroclorobenzeno (DNCB) foi realizada apenas nos pacientes. Os níveis séricos de IgG, IgA e IgM foram comparados aos valores normais em crianças Brasileiras, em diferentes faixas etárias. RESULTADOS: A resposta ao DNCB foi ausente ou fracamente reativa em 76% dos pacientes. Níveis séricos elevados de IgG (45,7%) e de IgM (61,4%) e baixos de IgA (23,9%) foram detectados nos pacientes. A determinação das subpopulações de linfócitos T em sangue periférico mostrou: deficiência nas proporções de células CD3+ (p<0,05) e de CD4+ (p<0,05), aumento de CD8+ (p<0,01) e diminuição da relação CD4 / CD8 (p<0,001). A proporção de células CD1+ no grupo controle manteve-se menor que 3%, enquanto que em 18% dos pacientes esses níveis variaram entre 3 e 11%. A resposta proliferativa de linfócitos frente a PHA revelou índices blastogênicos significativamente mais baixos apenas quando células dos pacientes foram cultivadas na presença do próprio plasma (plasma autólogo). Quando estas células foram cultivadas na presença de plasma AB, não se evidenciou diferença significativa em relação ao grupo controle. CONCLUSÃO: A imunodeficiência na SW caracterizou-se por: anergia, alteração de imunidade mediada por células e dos níveis de imunoglobulinas, presença de timócitos imaturos na circulação periférica e deficiência funcional de linfócitos T induzida por fatores plasmáticos inibidores. Discutem-se as principais evidências de disfunção imune como imunodeficiência e autoimunidade.

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The alcoholic liver cirrhosis usually causes overall immunological changes which might be attributed to either the hepatic disease itself, to ethanol action and/or to malnourishment of the patient. These immune abnormalities comprise both cellular and humoral immunity, consisting of increased immunoglobulin levels, depressed late-skin response to antigens, lowered proliferative response of lymphocytes to mitogens, lower plasma levels of complement proteins (C3 and C4) and by either lower (IL2 and gamma IF) or increased (IL1, TNF, IL6 and IL8) cytokine levels. Parallel to the systemic immune suppression found in most patients, there is also a concomitant local, genetically based, immune stimulation at the liver level which leads to hepatic self-aggression. The systemic immune-suppression could be responsible for periodical infections or neoplasia found in these patients. The possible factors for the immune exhaustion are: a) lower hepatic clearance of toxins and/or bacteria; b) lower hepatic synthesis of complement components; c) cytokines (IL2 and gamma IF) deficiencies, and d) deficiencies of nutrients related to the antioxidant and/or immune defense mechanisms. The immune stimulation of the liver self aggression is characterized by the preferential migration of cytotoxic T cell and neutrophils to the liver, following stimulatory factors such as Mallory bodies, acetaldehyde and/or antibodies. Moreover, the local increase of cytokines (IL1, TNF, IL6 and IL8) levels would be liable for the local phagocyte chemotaxy (IL8) or part of liver injury (TNF) eased by the lower antioxidant defense of the cirrhotic liver.(ABSTRACT TRUNCATED AT 250 WORDS)

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Eight-week old conventional female Swiss mice were inoculated intravenously with Yersinia enterocolitica O:3. A second group of normal mice was used as control. Five mice from each group were bled by heart puncture and their spleens were removed for spleen cell collection on the 3rd, 5th, 7th, 10th, 14th and 21st day after infection. Immunoglobulin-secreting spleen cells were detected by the isotype-specific protein A plaque assay. Total immunoglobulin levels were determined in mouse serum by single radial immunodiffusion and the presence of autoantibodies was determined by ELISA. We observed a marked increase in the total number of cells secreting immunoglobulins of all isotypes as early as on the 3rd day post-infection and the peak of secretion occurred on the 7th day. At the peak of the immunoglobulin response, the total number of secreting cells was 19 times higher than that of control mice and most immunoglobulin-secreting cells were of the IgG2a isotype. On the 10th day post-infection, total serum immunoglobul in values were 2 times higher in infected animals when compared to the control group, and continued at this level up to the 21st day post-infection. Serum absorption with viable Y. enterocolitica cells had little effect on antibody levels detected by single radial immunodiffusion. Analysis of serum autoantibody levels revealed that Y. enterocolitica infection induced an increase of anti-myosin and anti-myelin immunoglobulins. The sera did not react with collagen. The present study demonstrates that Y. enterocolitica O:3 infection induces polyclonal activation of murine B cells which is correlated with the activation of some autoreactive lymphocyte clones.

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The aim of the present investigation was to study the distribution of T-cell subsets in peripheral blood defined by monoclonal antibodies and by the lymphocyte proliferative response to phytohemagglutinin (PHA) in 30 children with febrile seizures and in 14 age-matched control subjects. Frequent respiratory, urinary and dermatologic infections were observed in 22 patients. The immunologic parameters showed that 64% of the patients presented an increased number of CD8+ cells and a low helper/suppressor ratio was observed in 60% of the patients. In addition, the proliferative response of lymphocytes to PHA was impaired in the patients It was observed the presence of inhibitory activity on lymphocyte function in the plasma of 33% of children with febrile seizures. These results suggest that patients with febrile seizures have an impairment of cellular immunity that may be connected with this epileptic syndrome and explain the infections observed.

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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

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It is known that the invasin molecule of Yersinia pseudotuberculosis stimulates human peripheral B cells in vitro. In this work we evaluated the in vivo role of invasin as polyclonal activator of B lymphocytes in the mouse experimental model, by comparing strains of Y. pseudotuberculosis expressing invasin and isogenic inv mutants. Swiss mice were infected intravenously with two strains expressing invasin (YpIII pIB1 and an isogenic virulence plasmid-cured strain, YpIII) and with two invasin mutant strains (Yp100 pIB1 and Yp100, plasmid-cured). Spleen cells were sampled on days 7, 14, 21 and 28 after infection. Immunoglobulin (Ig)-secreting spleen cells were detected by protein A plaque assay and specific antibodies were detected in sera by ELISA. The virulent strain YPIII pIB1 (wild type) did not provoke polyclonal activation of B lymphocytes in vivo. In general, fewer Ig-secreting spleen cells of all isotypes were found in the infected animals than in the control animals. Specific IgG antibodies were detected in the sera of animals infected with all strains. The peak response occurred on the 21 st day post-infection, and the Yp100 strain provoked the highest level of these antibodies. We concluded that invasin is not a polyclonal activator of murine B cells.

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Baccharis coridifolia is one of the most important poisonous plants to cattle in the South of Brazil. The plant provokes necrotic lesions in the lymphoid tissues and in the gastrointestinal tract of cattle. Experimental administration to mice produces most of the lesions seen in the lymphoid tissues of cattle. This study was conducted to search possible differences in the susceptibility of T and B lymphocyte subpopulations. Lymph nodes, spleen, thymus and gut-associated lymphoid tissue (GALT) of cattle and mice experimentally poisoned were evaluated. The results were evaluated based on cell populations affected or remaining in the organs. Immunostaining for B lymphocytes (anti-BLA-36) identified the germinal center of follicles of the lymph node, spleen and GALT in both species. Immunostaining for T lymphocyte (anti-CD3) identified the paracortical area of the germinal centers of the lymph nodes and GALT, the periarteriolar area of the spleen, and the whole thymus both in cattle and mice. Experimentally poisoned cattle and mice shows necrosis of the germinal center of secondary follicles of the lymph nodes, spleen and GALT, where necrotic cells were immunostained for B and less often for T lymphocyte. Necrotic cells in the paracortical region of the lymph node were less often and were immunostained. Necrotic lesions of the thymus were seen only in mice, with positively stained for T lymphocyte. The distribution of the lesions in the lymphoid tissues and the immunostaining in necrotic cells suggested that the active principles of the plant are cytotoxic to B and T cells.

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Background: Plasmodium vivax is the most prevalent malaria species in Brazil. The parasite-host coevolutionary process can be viewed as an 'arms race', in which adaptive genetic changes in one are eventually matched by alterations in the other. Methods: Following the candidate gene approach we analyzed the CD40, CD40L and BLYS genes that participate in B-cell co-stimulation, for associations with P. vivax malaria. The study sample included 97 patients and 103 controls. We extracted DNA using the extraction and purification commercial kit and identified the following SNPs: 21C.T in the CD40 gene, 2726T.C in the CD40L gene and the 2871C.T in the BLyS gene using PCR-RFLP. We analyzed the genotype and allele frequencies by direct counting. We also compared the observed with the expected genotype frequencies using the Hardy-Weinberg equilibrium. Results: The allele and genotype frequencies for these SNPs did not differ statistically between patient and control groups. Gene-gene interactions were not observed between the CD40 and BLYS and between the CD40L and BLYS genes. Overall, the genes were in Hardy-Weinberg equilibrium. Significant differences were not observed among the frequencies of antibody responses against P. vivax sporozoite and erythrocytic antigens and the CD40 and BLYS genotypes. Conclusions: The results of this study show that, although the investigated CD40, CD40L and BLYS alleles differ functionally, this variation does not alter the functionality of the molecules in a way that would interfere in susceptibility to the disease. The variants of these genes may influence the clinical course rather than simply increase or decrease susceptibility. © Royal Society of Tropical Medicine and Hygiene 2013. All rights reserved.