239 resultados para proteinas virales


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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Alors que d’énormes efforts sont mis de l’avant pour mettre en place des stratégies thérapeutiques contre l’infection au VIH-1, il est nécessaire de mieux cerner les déterminants viraux qui aideront à l’efficacité de celles-ci. En ce sens, une volumineuse littérature scientifique suggère que les anticorps contre le VIH-1 possédant une capacité à induire une réponse effectrice dépendante de leur portion Fc puissent jouer un rôle important dans la prévention de l’infection et dans la progression de la maladie. Cependant, peu d’information est disponible concernant les déterminants reconnus par ces anticorps et comment le virus s’en protège. Le but des travaux présentés dans cette thèse est donc d’élucider les mécanismes viraux contrôlant la reconnaissance des cellules infectées par ces anticorps capables d’induire une réponse effectrice. De par les corrélats de protection identifiés au cours de l’essai vaccinal RV144, les travaux présentés ici se concentrent sur la réponse cytotoxique dépendante des anticorps (ADCC), puisqu’il s’agit d’une réponse effectrice suggérée pour avoir joué un rôle dans la protection observée dans le RV144, seul essai vaccinal anti-VIH à avoir démontré un certain degré de protection. De plus, plusieurs anticorps capables d’induire cette réponse contre le VIH sont connus pour reconnaître les glycoprotéines de surface du virus (Env) dans une conformation dite ouverte, c’est-à-dire la conformation adoptée lors de la liaison d’Env avec son récepteur CD4 (épitopes CD4i). Nous avons mis au point deux techniques in vitro permettant d’étudier ces changements de conformation ainsi que leur impact sur la réponse ADCC. Les techniques mises au point, un ÉLISA sur base cellulaire pour mesurer les changements de conformation d’Env ainsi que la mesure de la réponse ADCC par cytométrie en flux, nous ont permis de démontrer comment le virus empêche l’exposition des épitopes d’Env CD4i. L’activité simultanée des protéines accessoires virales Nef et Vpu sur le retrait du récepteur CD4 de la surface des cellules infectées et l’inhibition du facteur de restriction Tétherine / BST-2 par Vpu contrôlent à la fois les niveaux d’Env et de CD4 à la surface cellulaire et donc modulent l’interaction Env-CD4 et ultimement la susceptibilité à la réponse ADCC contre les épitopes CD4i reconnus par des anticorps hautement prévalents lors de l’infection au VIH. Également, nous démontrons comment de petits composés mimant la liaison de CD4 sur Env sont capables de forcer l’exposition des épitopes CD4i, même en présence des protéines Nef et Vpu, et donc d’augmenter la susceptibilité des cellules infectées à la réponse ADCC. Une autre découverte présentée ici est la démonstration que la portion soluble d’Env produite par les cellules infectées peut interagir avec le récepteur CD4 des cellules non-infectées avoisinantes et induire leur reconnaissance et élimination par la réponse ADCC contre Env. Somme toute, la modulation de la réponse ADCC par l’interaction Env–CD4 représente un important pilier de la relation hôte – pathogène du VIH-1 de la perspective des réponses Fc-dépendantes. Les travaux présentés dans cette thèse ont le potentiel d’être utilisés dans l’élaboration de nouvelles stratégies antivirales tout en élargissant les connaissances fondamentales de cette interaction hôte – pathogène.

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Les virus influenza de type A sont des pathogènes respiratoires causant des épidémies saisonnières et des pandémies de manière plus occasionnelles. Au cours d’une saison, 10 à 20 % de la population mondiale est touchée, ce qui constitue un problème majeur de santé publique. Les virus de sous-type A/H3N2 sont associés à une plus forte morbidité et mortalité que les virus de sous-type A/H1N1. La vaccination reste le moyen le plus efficace de contrôler les infections, cependant l’efficacité de ces vaccins est de courte durée et compromise en cas de non-appariemment entre les souches circulantes et vaccinales. La première partie de cette thèse a été consacrée à l’optimisation des vaccins inactivés A/H3N2 en testant de nouveaux adjuvants et de nouvelles voies d’administration chez la souris et le furet. Nous avons démontré que l’adjuvant AS25 semble prometteur pour le développement de vaccins plus efficaces. La seconde partie de cette thèse a été consacrée à suivre l’évolution moléculaire et antigénique des souches A/H3N2 circulantes au Québec entre 2009 et 2011. Notre conclusion est qu’il n’y a pas que le nombre de mutations dans la HA qui est important, en ce sens que la nature et la localisation de ces dernières jouent un rôle clé lors d’une dérive antigénique. Après avoir suivi les souches A/H3N2 sous pression immunitaire, nous avons suivi dans la troisième partie de cette thèse une souche A/H3N2 sous pression d’un nouvel antiviral; le laninamivir. Les antiviraux sont la première ligne de défense en cas de pandémie ou lors d’une épidémie lorsqu’il y a un mésappariemment entre les souches circulante et vaccinale. Notre conclusion est que la réplication de notre mutant est conservé in vitro mais non in vivo. Les différentes expériences effectuées au cours de cette thèse ont permis de suivre l’évolution des souches A/H3N2 et de mettre en œuvre de nouveaux moyens de prévention et de traitement.

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Alors que d’énormes efforts sont mis de l’avant pour mettre en place des stratégies thérapeutiques contre l’infection au VIH-1, il est nécessaire de mieux cerner les déterminants viraux qui aideront à l’efficacité de celles-ci. En ce sens, une volumineuse littérature scientifique suggère que les anticorps contre le VIH-1 possédant une capacité à induire une réponse effectrice dépendante de leur portion Fc puissent jouer un rôle important dans la prévention de l’infection et dans la progression de la maladie. Cependant, peu d’information est disponible concernant les déterminants reconnus par ces anticorps et comment le virus s’en protège. Le but des travaux présentés dans cette thèse est donc d’élucider les mécanismes viraux contrôlant la reconnaissance des cellules infectées par ces anticorps capables d’induire une réponse effectrice. De par les corrélats de protection identifiés au cours de l’essai vaccinal RV144, les travaux présentés ici se concentrent sur la réponse cytotoxique dépendante des anticorps (ADCC), puisqu’il s’agit d’une réponse effectrice suggérée pour avoir joué un rôle dans la protection observée dans le RV144, seul essai vaccinal anti-VIH à avoir démontré un certain degré de protection. De plus, plusieurs anticorps capables d’induire cette réponse contre le VIH sont connus pour reconnaître les glycoprotéines de surface du virus (Env) dans une conformation dite ouverte, c’est-à-dire la conformation adoptée lors de la liaison d’Env avec son récepteur CD4 (épitopes CD4i). Nous avons mis au point deux techniques in vitro permettant d’étudier ces changements de conformation ainsi que leur impact sur la réponse ADCC. Les techniques mises au point, un ÉLISA sur base cellulaire pour mesurer les changements de conformation d’Env ainsi que la mesure de la réponse ADCC par cytométrie en flux, nous ont permis de démontrer comment le virus empêche l’exposition des épitopes d’Env CD4i. L’activité simultanée des protéines accessoires virales Nef et Vpu sur le retrait du récepteur CD4 de la surface des cellules infectées et l’inhibition du facteur de restriction Tétherine / BST-2 par Vpu contrôlent à la fois les niveaux d’Env et de CD4 à la surface cellulaire et donc modulent l’interaction Env-CD4 et ultimement la susceptibilité à la réponse ADCC contre les épitopes CD4i reconnus par des anticorps hautement prévalents lors de l’infection au VIH. Également, nous démontrons comment de petits composés mimant la liaison de CD4 sur Env sont capables de forcer l’exposition des épitopes CD4i, même en présence des protéines Nef et Vpu, et donc d’augmenter la susceptibilité des cellules infectées à la réponse ADCC. Une autre découverte présentée ici est la démonstration que la portion soluble d’Env produite par les cellules infectées peut interagir avec le récepteur CD4 des cellules non-infectées avoisinantes et induire leur reconnaissance et élimination par la réponse ADCC contre Env. Somme toute, la modulation de la réponse ADCC par l’interaction Env–CD4 représente un important pilier de la relation hôte – pathogène du VIH-1 de la perspective des réponses Fc-dépendantes. Les travaux présentés dans cette thèse ont le potentiel d’être utilisés dans l’élaboration de nouvelles stratégies antivirales tout en élargissant les connaissances fondamentales de cette interaction hôte – pathogène.

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Bogotá (Colombia): Universidad de La Salle. Facultad de Ciencias Agropecuarias. Maestría en Ciencias Veterinarias

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Con el objetivo de caracterizar agronómicamente dos genotipos de quequisque (Xanthosoma sp. (L.) Schott) cultivares Masaya y Nueva Guinea, se estableció un ensayo comparativo para evaluar su comportamiento morfológico, fenológico, de rendimiento y la incidencia de enfermedades (bacterianas y virales), en condiciones edafoclimáticas del REGEN-UNA Managua. El ensayo se estableció utilizando el esquema del diseño de bloques completos al azar (BCA), con 4 bloques y 2 tratamientos por bloque. La parcela experimental midió 12 m de largo por 4 m de ancho, con una densidad de 100 plantas por parcela, para un total de 800 plantas en el ensayo, sembradas a una distancia de 0.6 m entre planta y 0.8 m entre surco. 20 plantas ubicadas en los dos surcos centrales representaron la parcela útil, El ANDEVA realizado indican que los cultivares no presentaron diferencias estadísticas significativas entre ellas en las variables morfológicas. Los componentes de rendimiento no mostraron diferencias estadísticas significativas, sin embargo, el cultivar Nueva Guinea presentó siempre los mayores valores. Se reporta incidencia de bacteria Xanthomona campestris pv dieffenbachiae; el cultivar Nueva Guinea presentó 25.5% y el cultivar Masaya 18.5 %. El efecto de la bacteria se manifestó en una reducción del rendimiento en 25.85% para el cultivar Nueva Guinea y un 72. 13% en el cultivar Masaya. Se realizó el primer test de ELISA con el objetivo corroborar que los síntomas presentes en las plantas correspondían con la presencia efectiva del virus. Se encontró que 89 % de las plantas del cultivar Nueva Guinea y un 95.35% del cultivar Masaya estaban infectadas. Se realizaron 4 conteos visuales de la presencia del virus. No se encontró tendencia a disminuir o aumentar el porcentaje de plantas infectadas con el aumento de los días después de la siembra. El clon Masaya reportó un máximo 26.8% de plantas con síntomas y el clon Nueva Guinea un 25.9% a los 120 días ambos. La segunda prueba de ELISA a muestras tomadas al azar de hojas de la plantas de ambos dones reportó que el cultivar Masaya tenía un 97.5% de sus plantas infectadas y el cultivar Nueva Guinea 100 %.

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Con el objetivo de evaluar el comportamiento morfológico, fenológico y de rendimiento, así como la incidencia de enfermedades virales, fungosas y bacterianas, y su efecto sobre los rendimientos de los cultivares Masaya y Nueva Guinea se estableció un ensayo en condiciones y tecnología de productores de Nueva Guinea. El estudio se estableció en un esquema de bloques completos al azar, con cuatro bloques de dos tratamientos cada uno. Se evaluaron las variables morfológicas: altura de planta (cm), número de hojas, área foliar (cm), número de hijos y grosor de tallo. Las variables de rendimiento evaluadas: número de cormelos, peso de cormelos por planta (g), peso promedio por cormelos (g) y Largo por ancho de cormelos (cm2). El ANDEVA a las variables morfológicas demostró que ambos genotipos se comportaron de manera similar, sin embargo, el cultivar Masaya expresó siempre los mejores valores. En los componentes de rendimientos las variables números de cormelos por planta, peso de cormelos por planta y LxA de los cormelos ambos genotipos registraron similares resultados. El clon Masaya expresó los mayores valores en las variables peso de cormelos por planta y dimensión de cormelos, en el caso del variable número de cormelos por planta lo hizo el cv. Nueva Guinea. La variable peso de cormelos mostró diferencias estadísticas significativas a favor del cultivar Masaya 214.43 qq/mz. y 199.72 qq/mz para el cultivar Nueva Guinea. El primer test de ELISA a las muestras de hojas de plantas que presentaban los síntomas confirmó que 100% de las muestras evaluadas presentaron el virus en sus estructuras. Cuatro conteos visuales posteriores indicaron que los valores de plantas que presentaban los síntomas varían en cada fecha de evaluación entre un 9.7 y 30% para el cultivar Nueva Guinea y entre 8.5 y 33.1 % para el cultivar Masaya. No se encontraron diferencias estadísticas significativas en la variable número de cormelos para los tratamientos MyPU (parcela útil), MyEI (efectivamente infectada), NGPU y NGEI. Las variables peso total de cormelos, peso promedio de cormelos por planta y dimensión de cormelo reportaron diferencias estadísticas significativas entre ellos, el cultivar MyEI se fue superior en dichas variables, el cultivar MyPU obtuvo promedios menores pero a la vez superiores a los obtenidos por los cultivares NGEI y NGPU. Las variables de rendimiento dentro de las plantas de la parcela útil (PU) y las plantas efectivamente infectadas (El) de cada cultivar mostraron ligeras diferencias , sin embargo las plantas El presentaron promedios mayores en relación a las plantas PU. Los conteos visuales de los síntomas de la bacteria Xanthomonas campestris registran los mayores valores el genotipo Nueva Guinea con 10% y el genotipo Masaya con 5% de incidencia a los 150 días. El cv. Masaya inicia la brotación de sus yemas con anticipación, en cambio, el ahijamiento fue similar en ambos genotipos. El cultivar Nueva Guinea alcanza el momento de cosecha en un menor período de tiempo, considerando la reducción prematura del área foliar y el número de hojas en relación al cv Masaya, lo mismo que la presencia de raíces y yemas axilares y apicales brotadas en los cormelos al momento de cosecha.

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Resumen: el objetivo del presente trabajo ha sido, a través de diferentes estrategias de fertilización nitrogenada y aplicación de fungicidas sobre el cultivo de soja, evaluar su impacto sobre el rendimiento y el porcentaje de proteínas en grano de soja. Para desarrollar dicho trabajo, se llevó a cabo un ensayo en base al diseño de bloques completos al azar (DBA) con un total de 32 parcelas, en el que se aplicaron 8 tratamientos (7+1 Testigo), cada uno repetido 4 veces. Los mismos fueron: Testigo, UREA 100 N aplicado en V4 a V6, UREA + DMPP 100 N aplicado en V4 a V6, NITROFOSKA FOLIAR (2 Kg./Ha.) + NUTRIMIX (0,5 Kg./Ha.) aplicado en R3, UREA 30 N aplicado en R5, NITROFOSKA FOLIAR (2 Kg./Ha.) + NUTRIMIX (0,5 Kg./Ha.) + Opera aplicado en R3 (1 Lt./Ha.), UREA 30 N + Opera en R3 (1 Lt./Ha.), y Opera en R3 (1 Lt./Ha.). Cabe destacar que la aplicación de fungicidas se ha realizado en forma preventiva, con miras a evaluar su efecto sobre el rinde y el porcentaje de tenor proteico. Así, no se ha evaluado la presencia o ausencia de enfermedades particulares, sino el efecto final que estas aplicaciones tuvieron sobre las variables antes mencionadas. El mencionado ensayo se realizó a campo, sobre un cultivo de soja de segunda, para la campaña 2007/2008 en el paraje Tomás Jofré, Mercedes, provincia de Buenos Aires. Los resultados obtenidos mostraron diferencias significativas para la variable de rendimiento, pero no así para la variable de tenor proteico en grano. Analizándolos, se concluyó en el presente trabajo bajo las condiciones evaluadas que si se busca aumentar tanto el rendimiento como el porcentaje de proteína en grano, no es recomendable la fertilización nitrogenada, ni por sí sola ni en combinación con fungicidas

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Resumen: El uso correcto de las tecnologías de insumos durante el cultivo de cebada cervecera es fundamental por la estricta demanda de calidad por parte de la industria. El objetivo de este ensayo fue evaluar el rendimiento y calidad de la cebada cervecera, variedad Andreia, ante distintas dosis de fertilizantes y fungicidas en los diferentes estadios del cultivo. Se realizó un diseño en bloques completos distribuidos al azar, con 4 repeticiones y 5 tratamientos: 1-Testigo, 2- 80 kg N ha -1 en presiembra, 3- 80 kg N ha -1 en presiembra y 20 kg N ha -1 en hoja bandera, 4- 80 kg N ha -1 en presiembra y 20 kg N ha -1 en hoja bandera junto con aplicación de fungicida, 5- 80 kg N ha -1 en presiembra, mas fungicida en principio de encañazón y 20 kg N ha -1 junto con la segunda aplicación del fungicida. Con respecto a los resultados obtenidos, en ninguna de las variables analizadas se encontraron diferencias significativas (p-valor<0,10) entre tratamientos. En el ensayo, el rendimiento promedio obtenido fue de 6089 kg ha -1. En cuanto a la calidad, el promedio del ensayo para la variable proteína fue del 11,6% y 81,8% para calibre. El motivo de estos resultados responden a las condiciones en que se desarrolló el cultivo, en donde a pesar del año (campaña 2013/2014) muy seco en relación al promedio histórico, las lluvias en el cultivo fueron suficientes, que, sumado a la buena disponibilidad de nutrientes a la siembra y a la nula incidencia de enfermedades foliares, reflejó los buenos rindes en general del ensayo, acompañado por los valores óptimos proteicos, pero no así en lo relacionado con el calibre, el cual no llegó a cumplir con los estándares requeridos para su comercialización.

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El objetivo del presente estudio fue el determinar el rendimiento y adaptabilidad de tres cultivares clonales de quequisque Masaya (MY), Nueva Guinea (NG) y Apalí (AP), en la comunidad de La Poma, Masaya establecidas en época de postrera. El ensayo se estableció siguiendo arreglo del diseño de bloque completos al azar, unifactorial, con tres tratamientos y tres bloques. La parcela experimental estuvo conformada de 4 surcos de 13 m y l m de separación entre ellos, para un área de 52 m2 En cada surco se establecieron 22 plantas y una separación de 0. 6 m entre las mismas, para un total de 88 plantas por parcela, 264 por bloque y 792 totales en el ensayo. La parcela útil la conformaron los 2 surcos centrales sin incluir las primeras 5 plantas, para un total de 20 plantas evaluadas. El área del bloque fue de 156 m y el área total del ensayo de 468 m . Las variables evaluadas fueron: las morfológicas (altura de planta en cm, número de hojas, grosor del seudotallo en cm2, área foliar en cm2 y número de hijos), los componentes del rendimiento (peso promedio por cormelo en g, peso promedio de cormelos por planta en g, dimensión de cormelo en cm2 y número de cormelos); los eventos morfológicos (velocidad de brotación y ahijamiento, momento de cosecha), incidencia de enfermedades virales, fungosas y bacterianas y el efecto del DMV sobre el rendimiento. El análisis de varianza realizado a las variables morfológicas indica que: los 3 genotipos presentaron valores estadísticamente similares en las variables altura de planta, grosor del seudotallo, número de hojas y área foliar al menos en las 6 primeras evaluaciones, únicamente en variable número de hijos el clon NG obtuvo resultados estadísticamente superiores a los otros dones en estudio. El ANDEVA de los datos de los componentes del rendimiento señala que no hubo diferencias estadísticas entre los cultivares en cuanto a peso de los cormelos por planta: NG (75.26 qq/mz), AP (53,67 qq/mz) y MY (64.98 qq/mz)y dimensiones del cormelo; sin embargo, el número de cormelos por planta las plantas NG reportaron valores promedios superiores estadísticamente a los reportados por el clon MY (2.94) y AP (3. 28). El peso promedio de los cormos fue superior estadísticamente en el don MY (79.16 g) con relación a los reportados por NG (58.35g) y AP (79. 16 g). Se realizó un primer test de ELISA a las muestras de hojas de plantas que presentaban los síntomas, se encontró un 96 % de incidencia del DMV en las muestras . Considerando el total de plantas por cultivar en el ensayo, la mayor incidencia la presentó el clon NG con 47 %. Tres conteos visuales posteriores indican que los valores de plantas que presentan los síntomas. varían en cada fecha de evaluación encontrándose el cv. Apalí con los mayores valores de infección. Los conteos visuales de los síntomas de la bacteria Xanthomona campestris (Pammel) Dowson registran los mayores valores al cultivar AP con valores de 6 %, seguido del cultivar NG con 3.33% y MY con 1.66% a los 150 dds y un leve incremento a los 210 dds de 8. 33% para el AP y 5 % para los cultivares NG y MY. Los conteos visuales de los síntomas de Collectrotichum Kloesporioides (Penz) indican que los valores de reportados a los 150 dds redujeron a los 210 dds en todos los genotipos. En el caso del cultivar NG de 13.33 % en la primera fecha a 5% en la segunda, de 10 a 3.33% en el cultivar AP, y de 13.33 a 6.66% en el caso del clon MY.

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El objetivo del presente estudio fue de evaluar el comportamiento morfológico, fenológico y de rendimiento; la presencia de enfermedades virales, fungosas y bacterianas; y sus efectos sobre el rendimiento en plantas obtenidas a través de tres técnicas de reproducción asexual (CRAS, convencional e in vitro), en condiciones de Masaya. Se utilizó el diseño de bloques completos al azar (BCA), con 4 bloques de 3 tratamientos cada uno. El área de cada bloque fue de 60 m2 El de la parcela 20m2 para un área total del experimento de 312m2• Cada parcela estuvo conformada por 4 surcos de S m, con 10 plantas/surco, 40 plantas por parcela, 120 plantas por bloque y 480 plantas totales. La distancia de siembra fue de 0.5 m entre plantas y 1.0 m entre surcos. El ANDEVA realizado a la variables morfológicas demuestra que las plantas CRAS fueron casi siempre los estadísticamente mejores, seguido de la plantas CONV y en última instancia las plantas de cultivo de tejidos; a excepción de la variable número de hijos donde las vitroplantas fueron superior estadísticamente que las plantas propagadas por las otras técnicas. EÍ análisis de los componentes del rendimiento revela que las vitroplantas produjeron valores de número de cormelos y peso de cormelos/planta (96.42 qq/mz) estadísticamente superiores a lo reportado por las plantas CRAS (66.40 qq/mz) y CONV (41.93 qq/mz). En los componentes peso promedio por cormelo y dimensión de los cormelos las plantas convencionales y CRAS resultaron similares entre sí, pero superiores estadísticamente a la plantas obtenidas en el laboratorio. El ahijamiento es claramente favorable a las plantas de cultivo de tejidos, causado posiblemente por las porciones remanentes de reguladores de crecimiento que permanecieron en la células de plantas sometidas a las condiciones de laboratorio. Hubo tendencia a disminuir los valores de la variables grosor del seudotallo, número de hojas y área foliar en las vitroplantas a partir de los 180 dds, unido al hecho que los cormelos de estas plantas presentaron raíces y las yemas apicales y axilares brotadas al momento de cosecha, lo que señala la precocidad de las plantas in vitro con relación a las plantas originadas de las otras técnicas. El primer test de ELISA sobre las muestras de hojas de plantas que• presentaban los síntomas de la presencia del DMV, demostró que el98% de las plantas con sintomas presentaban el DMV en su estructura. El segundo test de ELISA realizado sobre plantas escogidas al azar señala que el 100% de las plantas muestreadas contenían el virus. Las plantas CONV e in vitro ubicadas en la parcela útil no presentaron diferencias infectadas en cuanto a los componentes del rendimiento. Las plantas in vitro independiente que presenten infección o no registraron mayor número de cormelos y peso de cormelos/planta. En el peso promedio de cormelo las plantas CONV­ PU fueron superiores a las plantas CONV infectadas e in vitro en sus dos variantes. Las plantas CONV infectadas produjeron los cormelos con dimensiones superiores a los datos registrados por las plantas CONV-PU, in vitro PU e infectadas . Los dos conteos visuales realizados a las plantas con síntomas de la presencia de la bacteria Xanthomona campestris y el hongo Collectrotrichum gloesporoides (Penz) a los 180 y 270 dds indica escasa presencia en el ensayo.

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Resumen: En el periodo 2006 / 2007 se realizó un ensayo de campo sobre el cultivo de Soja (Glycine max) en la localidad de Chacabuco, Provincia de Buenos Aires, con el propósito de estudiar los efectos de diferentes estrategias de fertilización nitrogenada y de aplicación de fungicidas sobre el rendimiento y porcentaje de proteína en grano de soja. El ensayo constó de 8 tratamientos (7 + 1 testigo), los cuales se realizaron en 4 repeticiones y en 2 estadios fenológicos del cultivo, en V4 (vegetativo) y en R3 (reproductivo). Se procedió utilizando un diseño de bloques completos aleatorizados (DBA). Las parcelas han sido de 2 m de ancho por 10 m de largo dando un total de 20 m2 por cada una. Los tratamientos fueron los siguientes:  Testigo  UREA aplicado en V4/V6  Entec + UAN aplicado en V4/V6  Nitrofoska + Nutrimix aplicado en R3  Foliarsol aplicado en R5  Nitrofoska + Nutrimix + Opera aplicado en R3  Foliarsol + Opera aplicado en R3  Opera aplicado en R5 Las conclusiones a las que se han llegado en este ensayo han sido que todos los tratamientos experimentados trajeron aumentos en el rendimiento, en comparación al testigo. El mayor aumento se dio por el agregado de fungicida en las etapas reproductivas del cultivo. Por el contrario, no se ha encontrado efecto sobre el tenor de proteína en granos, por lo que para la condiciones en que se realizó el ensayo, no sería recomendable la fertilización nitrogenada si se busca un aumento en dicho tenor

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El objetivo del presente estudio fue evaluar el comportamiento agronómico, a través del análisis de las características morfológicas, fenológicas, de rendimiento y la presencia de enfermedades virales y bacterianas, de plantas del clon de quequisque Nueva Guinea obtenidas de dos técnicas de propagación (CRAS y CONV) y establecidas en condiciones El Viejo, Chinandega. El ensayo se estableció en esquema de diseño de bloques completo al azar, con 4 bloques de 2 tratamientos cada uno. El área de cada bloque fue de 101.61 m2, el de la parcela experimental 50.80 m2, para un área total del experimento de 446.75 m2• La parcela estuvo conformada por 6 surcos, con 12 plantas cada uno (10.08 m de largo). La parcela útil (surcos intermedios 3 y 4) estuvo compuesta de 16 plantas; en las que se evaluaron los surcos intermedios a partir de la planta número 3 hasta la 10. La distancia de siembra fue de 0.84 m x 0.84 m entre surcos y plantas (14,457 plantas/ha). El ANDEVA realizado a las variables morfológicas demostró que las plantas CRAS reportaron los mejores resultados en la mayoría de las evaluaciones. Las plantas convencionales produjeron mayor número de hijos a los 60 y 90 dds, sin embargo a partir de los 120 dds ambos tratamientos fueron estadísticamente similares. Las plantas de ambas técnicas reportaron una tendencia'marcada en disminuir los valores de las variables grosor de pseudotallo a los 180 dds y el número de hojas por planta a los 150 dds. Las plantas CRAS alcanzaron la máxima área foliar a los 150 dds y las plantas CONV a los 180 dds. Las plantas CRAS fueron estadísticamente superiores en el número de cormelos por planta, peso de cormelos por planta (206.07 qq/mz), talla del cormo, a las plantas convencionales (94.20 qq/mz). No se encontraron diferencias estadísticas entre los tratamientos en peso promedio de cormelo, longitud del cormelo, ancho de cormelo y grosor de cormo. Las plantas CRAS presentaron al momento de cosecha cormelos con raíces (65.60 %) y con la yema apical brotada (72.89 %) lo que señala la precocidad de las plantas CRAS, en cambio las plantas convencionales registraron 7 % y 12 % de cormelos con raíces y la yema apical brotada respectivamente. Unido al hecho que los cormelos de estas plantas CRAS presentaron raíces (65.60 %) y yemas apicales brotadas (72.89 %) al momento de la cosecha lo que señala la precocidad de las plantas CRAS en relación con las plantas convencionales las que presentaron en los cormelos 7 % y 12 % de raíces y yemas apicales brotadas respectivamente. Las plantas CONV presentaron 44.44% de plantas con síntomas del DMV y las plantas CRAS 33.38% a los 120 dds; estos valores varian en cada fecha de evaluación Las plantas propagadas convencionalmente registraron 14.93 % de plantas con síntomas de infección con la mancha foliar marginal a los 120 dds, en cambio las plantas CRAS presentaron los máximos valores (11.81 %) a los 180 dds.