31 resultados para Ajellomyces capsulatus


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In dimethylsulfoxide reductase of Rhodobacter capsulatus tryptophan-116 forms a hydrogen bond with a single oxo ligand bound to the molybdenum ion. Mutation of this residue to phenylalanine affected the UV/visible spectrum of the purified Mo-VI form of dimethylsulfoxide reductase resulting in the loss of the characteristic transition at 720 nm. Results of steady-state kinetic analysis and electrochemical studies suggest that tryptophan 116 plays a critical role in stabilizing the hexacoordinate monooxo Mo-VI form of the enzyme and prevents the formation of a dioxo pentacoordinate Mo-VI species, generated as a consequence of the dissociation of one of the dithiolene ligands of the molybdopterin cofactor from the Mo ion. (C) 2004 Published by Elsevier B.V. on behalf of the Federation of European Biochemical Societies.

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Rhodobacter capsulatus NtrB/NtrC two-component regulatory system controls expression of genes involved in nitrogen metabolism including urease and nitrogen fixation genes. The ntrY-ntrX genes, which are located immediately downstream of the nifR3-ntrB-ntrC operon, code for a two-component system of unknown function. Transcription of ntrY starts within the ntrC-ntrY intergenic region as shown by primer extension analysis, but maximal transcription requires, in addition, the promoter of the nifR3-ntrB-ntrC operon. While ntrB and ntrY single mutant strains were able to grow with either urea or N-2 as sole nitrogen source, a ntrB/ntrY double mutant (like a ntrC-deficient strain) was no longer able to use urea or N-2. These findings suggest that the histidine kinases NtrB and NtrY can substitute for each other as phosphodonors towards the response regulator NtrC.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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La production biologique d'hydrogène (H2) représente une technologie possible pour la production à grande échelle durable de H2 nécessaire pour l'économie future de l'hydrogène. Cependant, l'obstacle majeur à l'élaboration d'un processus pratique a été la faiblesse des rendements qui sont obtenus, généralement autour de 25%, bien en sous des rendements pouvant être atteints pour la production de biocarburants à partir d'autres processus. L'objectif de cette thèse était de tenter d'améliorer la production d'H2 par la manipulation physiologique et le génie métabolique. Une hypothèse qui a été étudiée était que la production d'H2 pourrait être améliorée et rendue plus économique en utilisant un procédé de fermentation microaérobie sombre car cela pourrait fournir la puissance supplémentaire nécessaire pour une conversion plus complète du substrat et donc une production plus grande d'H2 sans l'aide de l'énergie lumineuse. Les concentrations optimales d’O2 pour la production de H2 microaérobie ont été examinées ainsi que l'impact des sources de carbone et d'azote sur le processus. La recherche présentée ici a démontré la capacité de Rhodobacter capsulatus JP91 hup- (un mutant déficient d’absorption-hydrogénase) de produire de l'H2 sous condition microaérobie sombre avec une limitation dans des quantités d’O2 et d'azote fixé. D'autres travaux devraient être entrepris pour augmenter les rendements d'H2 en utilisant cette technologie. De plus, un processus de photofermentation a été créé pour améliorer le rendement d’H2 à partir du glucose à l'aide de R. capsulatus JP91 hup- soit en mode non renouvelé (batch) et / ou en conditions de culture en continu. Certains défis techniques ont été surmontés en mettant en place des conditions adéquates de fonctionnement pour un rendement accru d'H2. Un rendement maximal de 3,3 mols de H2/ mol de glucose a été trouvé pour les cultures en batch tandis que pour les cultures en continu, il était de 10,3 mols H2/ mol de glucose, beaucoup plus élevé que celui rapporté antérieurement et proche de la valeur maximale théorique de 12 mols H2/ mol de glucose. Dans les cultures en batch l'efficacité maximale de conversion d’énergie lumineuse était de 0,7% alors qu'elle était de 1,34% dans les cultures en continu avec un rendement de conversion maximum de la valeur de chauffage du glucose de 91,14%. Diverses autres approches pour l'augmentation des rendements des processus de photofermentation sont proposées. Les résultats globaux indiquent qu'un processus photofermentatif efficace de production d'H2 à partir du glucose en une seule étape avec des cultures en continu dans des photobioréacteurs pourrait être développé ce qui serait un processus beaucoup plus prometteur que les processus en deux étapes ou avec les co-cultures étudiés antérieurément. En outre, l'expression hétérologue d’hydrogenase a été utilisée comme une stratégie d'ingénierie métabolique afin d'améliorer la production d'H2 par fermentation. La capacité d'exprimer une hydrogénase d'une espèce avec des gènes de maturation d'une autre espèce a été examinée. Une stratégie a démontré que la protéine HydA orpheline de R. rubrum est fonctionnelle et active lorsque co-exprimée chez Escherichia coli avec HydE, HydF et HydG provenant d'organisme différent. La co-expression des gènes [FeFe]-hydrogénase structurels et de maturation dans des micro-organismes qui n'ont pas une [FeFe]-hydrogénase indigène peut entraîner le succès dans l'assemblage et la biosynthèse d'hydrogénase active. Toutefois, d'autres facteurs peuvent être nécessaires pour obtenir des rendements considérablement augmentés en protéines ainsi que l'activité spécifique des hydrogénases recombinantes. Une autre stratégie a consisté à surexprimer une [FeFe]-hydrogénase très active dans une souche hôte de E. coli. L'expression d'une hydrogénase qui peut interagir directement avec le NADPH est souhaitable car cela, plutôt que de la ferrédoxine réduite, est naturellement produit par le métabolisme. Toutefois, la maturation de ce type d'hydrogénase chez E. coli n'a pas été rapportée auparavant. L'opéron hnd (hndA, B, C, D) de Desulfovibrio fructosovorans code pour une [FeFe]-hydrogénase NADP-dépendante, a été exprimé dans différentes souches d’E. coli avec les gènes de maturation hydE, hydF et hydG de Clostridium acetobutylicum. L'activité de l'hydrogénase a été détectée in vitro, donc une NADP-dépendante [FeFe]-hydrogénase multimérique active a été exprimée avec succès chez E. coli pour la première fois. Les recherches futures pourraient conduire à l'expression de cette enzyme chez les souches de E. coli qui produisent plus de NADPH, ouvrant la voie à une augmentation des rendements d'hydrogène via la voie des pentoses phosphates.

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Les défis conjoints du changement climatique d'origine anthropique et la diminution des réserves de combustibles fossiles sont le moteur de recherche intense pour des sources d'énergie alternatives. Une avenue attrayante est d'utiliser un processus biologique pour produire un biocarburant. Parmi les différentes options en matière de biocarburants, le bio-hydrogène gazeux est un futur vecteur énergétique attrayant en raison de son efficacité potentiellement plus élevé de conversion de puissance utilisable, il est faible en génération inexistante de polluants et de haute densité d'énergie. Cependant, les faibles rendements et taux de production ont été les principaux obstacles à l'application pratique des technologies de bio-hydrogène. Des recherches intensives sur bio-hydrogène sont en cours, et dans les dernières années, plusieurs nouvelles approches ont été proposées et étudiées pour dépasser ces inconvénients. À cette fin, l'objectif principal de cette thèse était d'améliorer le rendement en hydrogène moléculaire avec un accent particulier sur l'ingénierie métabolique et l’utilisation de bioprocédés à variables indépendantes. Une de nos hypothèses était que la production d’hydrogène pourrait être améliorée et rendue plus économiquement viable par ingénierie métabolique de souches d’Escherichia coli producteurs d’hydrogène en utilisant le glucose ainsi que diverses autres sources de carbone, y compris les pentoses. Les effets du pH, de la température et de sources de carbone ont été étudiés. La production maximale d'hydrogène a été obtenue à partir de glucose, à un pH initial de 6.5 et une température de 35°C. Les études de cinétiques de croissance ont montré que la μmax était 0.0495 h-1 avec un Ks de 0.0274 g L-1 lorsque le glucose est la seule source de carbone en milieu minimal M9. .Parmi les nombreux sucres et les dérivés de sucres testés, les rendements les plus élevés d'hydrogène sont avec du fructose, sorbitol et D-glucose; 1.27, 1.46 et 1.51 mol H2 mol-1 de substrat, respectivement. En outre, pour obtenir les interactions entre les variables importantes et pour atteindre une production maximale d'hydrogène, un design 3K factoriel complet Box-Behnken et la méthodologie de réponse de surface (RSM) ont été employées pour la conception expérimentale et l'analyse de la souche d'Escherichia coli DJT135. Le rendement en hydrogène molaire maximale de 1.69 mol H2 mol-1 de glucose a été obtenu dans les conditions optimales de 75 mM de glucose, à 35°C et un pH de 6.5. Ainsi, la RSM avec un design Box-Behken était un outil statistique utile pour atteindre des rendements plus élevés d'hydrogène molaires par des organismes modifiés génétiquement. Ensuite, l'expression hétérologue de l’hydrogénases soluble [Ni-Fe] de Ralstonia eutropha H16 (l'hydrogénase SH) a tenté de démontrer que la mise en place d'une voie capable de dériver l'hydrogène à partir de NADH pourrait surpasser le rendement stoechiométrique en hydrogène.. L’expression a été démontrée par des tests in vitro de l'activité enzymatique. Par ailleurs, l'expression de SH a restaurée la croissance en anaérobie de souches mutantes pour adhE, normalement inhibées en raison de l'incapacité de réoxyder le NADH. La mesure de la production d'hydrogène in vivo a montré que plusieurs souches modifiées métaboliquement sont capables d'utiliser l'hydrogénase SH pour dériver deux moles d’hydrogène par mole de glucose consommé, proche du maximum théorique. Une autre stratégie a montré que le glycérol brut pourrait être converti en hydrogène par photofermentation utilisant Rhodopseudomonas palustris par photofermentation. Les effets de la source d'azote et de différentes concentrations de glycérol brut sur ce processus ont été évalués. À 20 mM de glycérol, 4 mM glutamate, 6.1 mol hydrogène / mole de glycérol brut ont été obtenus dans des conditions optimales, un rendement de 87% de la théorie, et significativement plus élevés que ce qui a été réalisé auparavant. En prolongement de cette étude, l'optimisation des paramètres a également été utilisée. Dans des conditions optimales, une intensité lumineuse de 175 W/m2, 30 mM glycérol et 4.5 mM de glutamate, 6.69 mol hydrogène / mole de glycérol brut ont été obtenus, soit un rendement de 96% de la valeur théorique. La détermination de l'activité de la nitrogénase et ses niveaux d'expression ont montré qu'il y avait relativement peu de variation de la quantité de nitrogénase avec le changement des variables alors que l'activité de la nitrogénase variait considérablement, avec une activité maximale (228 nmol de C2H4/ml/min) au point central optimal. Dans la dernière section, la production d'hydrogène à partir du glucose via la photofermentation en une seule étape a été examinée avec la bactérie photosynthétique Rhodobacter capsulatus JP91 (hup-). La méthodologie de surface de réponse avec Box-Behnken a été utilisée pour optimiser les variables expérimentales de façon indépendante, soit la concentration de glucose, la concentration du glutamate et l'intensité lumineuse, ainsi que d'examiner leurs effets interactifs pour la maximisation du rendement en hydrogène moléculaire. Dans des conditions optimales, avec une intensité lumineuse de 175 W/m2, 35 mM de glucose, et 4.5 mM de glutamate,, un rendement maximal d'hydrogène de 5.5 (± 0.15) mol hydrogène /mol glucose, et un maximum d'activité de la nitrogénase de 246 (± 3.5) nmol C2H4/ml/min ont été obtenus. L'analyse densitométrique de l'expression de la protéine-Fe nitrogenase dans les différentes conditions a montré une variation significative de l'expression protéique avec un maximum au point central optimisé. Même dans des conditions optimales pour la production d'hydrogène, une fraction significative de la protéine Fe a été trouvée dans l'état ADP-ribosylée, suggérant que d'autres améliorations des rendements pourraient être possibles. À cette fin, un mutant amtB dérivé de Rhodobacter capsulatus JP91 (hup-) a été créé en utilisant le vecteur de suicide pSUP202. Les résultats expérimentaux préliminaires montrent que la souche nouvellement conçue métaboliquement, R. capsulatus DG9, produit 8.2 (± 0.06) mol hydrogène / mole de glucose dans des conditions optimales de cultures discontinues (intensité lumineuse, 175 W/m2, 35 mM de glucose et 4.5 mM glutamate). Le statut d'ADP-ribosylation de la nitrogénase-protéine Fe a été obtenu par Western Blot pour la souche R. capsulatus DG9. En bref, la production d'hydrogène est limitée par une barrière métabolique. La principale barrière métabolique est due au manque d'outils moléculaires possibles pour atteindre ou dépasser le rendement stochiométrique en bio-hydrogène depuis les dernières décennies en utilisant les microbes. À cette fin, une nouvelle approche d’ingénierie métabolique semble très prometteuse pour surmonter cette contrainte vers l'industrialisation et s'assurer de la faisabilité de la technologie de la production d'hydrogène. Dans la présente étude, il a été démontré que l’ingénierie métabolique de bactéries anaérobiques facultatives (Escherichia coli) et de bactéries anaérobiques photosynthétiques (Rhodobacter capsulatus et Rhodopseudomonas palustris) peuvent produire de l'hydrogène en tant que produit majeur à travers le mode de fermentation par redirection métabolique vers la production d'énergie potentielle. D'autre part, la méthodologie de surface de réponse utilisée dans cette étude représente un outil potentiel pour optimiser la production d'hydrogène en générant des informations appropriées concernant la corrélation entre les variables et des producteurs de bio-de hydrogène modifiés par ingénierie métabolique. Ainsi, un outil d'optimisation des paramètres représente une nouvelle avenue pour faire un pont entre le laboratoire et la production d'hydrogène à l'échelle industrielle en fournissant un modèle mathématique potentiel pour intensifier la production de bio-hydrogène. Par conséquent, il a été clairement mis en évidence dans ce projet que l'effort combiné de l'ingénierie métabolique et la méthodologie de surface de réponse peut rendre la technologie de production de bio-hydrogène potentiellement possible vers sa commercialisation dans un avenir rapproché.

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The genome of the bacterium Xylella fastidiosa contains four ORFs (XF2721, XF2725, XF2739 and XF0295) related to the restriction modification type I system, ordinarily named R-M. This system belongs to the DNA immigration control region (ICR). Each CIRF is related to different operon structures, which are homologues among themselves and with subunit Hsd R from the endonuclease coding genes. In addition, these ORFs are highly homologous to genes in Pseudomonas aeruginosa, Methylococcus capsulatus str. Bath, Legionella pneumophila, Helicobacter pylori, Xanthomonas oryzae pv. Oryzae and Silicibacter pomeroyi, as well as to genes from X. fastidiosa strains that infect grapevine, almond and oleander plants. This study was carried out on R-M ORFs from forty-three X. fastidiosa strains isolated from citrus, coffee, grapevine, periwinkle, almond and plum trees, in order to assess the genetic diversity of these loci through PCR-RFLP. PCR-RFLP analysis of the four ORFs related to the R-M system from these strains enabled the detection of haplotypes for these loci. When the haplotypes were defined, wide genetic diversity and a large range of similar strains originating from different hosts were observed. This analysis also provided information indicating differences in population genetic structures, which led to detection of different levels of gene transfer among the groups of strains. (c) 2005 Elsevier SAS. All rights reserved.

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The H+/ATP ratio in the catalysis of ATP synthase has generally been considered a fixed parameter. However, Melandri and coworkers have recently shown that, in the ATP synthase of the photosynthetic bacterium Rb.capsulatus, this ratio can significantly decrease during ATP hydrolysis when the concentration of either ADP or Pi is maintained at a low level (Turina et al., 2004). The present work has dealt with the ATP synthase of E.coli, looking for evidence of this phenomenon of intrinsic uncoupling in this organism as well. First of all, we have shown that the DCCD-sensitive ATP hydrolysis activity of E.coli internal membranes was strongly inhibited by ADP and Pi, with a half-maximal effect in the submicromolar range for ADP and at 140 µM for Pi. In contrast to this monotonic inhibition, however, the proton pumping activity of the enzyme, as estimated under the same conditions by the fluorescence quenching of the ΔpH-sensitive probe ACMA, showed a clearly biphasic progression, both for Pi, increasing from 0 up to approximately 200 µM, and for ADP, increasing from 0 up to a few µM. We have interpreted these results as indicating that the occupancy of ADP and Pi binding sites shifts the enzyme from a partially uncoupled state to a fully coupled state, and we expect that the ADP- and Pi-modulated intrinsic uncoupling is likely to be a general feature of prokaryotic ATP synthases. Moreover, the biphasicity of the proton pumping data suggested that two Pi binding sites are involved. In order to verify whether the same behaviour could be observed in the isolated enzyme, we have purified the ATP synthase of E.coli and reconstituted it into liposomes. Similarly as observed in the internal membrane preparation, in the isolated and reconstituted enzyme it was possible to observe inhibition of the hydrolytic activity by ADP and Pi (with half-maximal effects at few µM for ADP and at 400 µM for Pi) with a concomitant stimulation of proton pumping. Both the inhibition of ATP hydrolysis and the stimulation of proton pumping as a function of Pi were lost upon ADP removal by an ADP trap. These data have made it possible to conclude that the results obtained in E.coli internal membranes are not due to the artefactual interference of enzymatic activities other than the ones of the ATP synthase. In addition, data obtained with liposomes have allowed a calibration of the ACMA signal by ΔpH transitions of known extent, leading to a quantitative evaluation of the proton pumping data. Finally, we have focused our efforts on searching for a possible structural candidate involved in the phenomenon of intrinsic uncoupling. The ε-subunit of the ATP-synthase is known as an endogenous inhibitor of the hydrolysis activity of the complex and appears to undergo drastic conformational changes between a non-inhibitory form (down-state) and an inhibitory form (up-state)(Rodgers & Wilce, 2000; Gibbons et al., 2000). In addition, the results of Cipriano & Dunn (2006) indicated that the C-terminal domain of this subunit played an important role in the coupling mechanism of the pump, and those of Capaldi et al. (2001), Suzuki et al. (2003) were consistent with the down-state showing a higher hydrolysis-to-synthesis ratio than the up-state. Therefore, we decided to search for modulation of pumping efficiency in a C-terminally truncated ε mutant. A low copy number expression vector has been built, carrying an extra copy of uncC, with the aim of generating an ε-overexpressing E.coli strain in which normal levels of assembly of the mutated ATP-synthase complex would be promoted. We have then compared the ATP hydrolysis and the proton pumping activity in membranes prepared from these ε-overexpressing E.coli strains, which carried either the WT ε subunit or the ε88-stop truncated form. Both strains yielded well energized membranes. Noticeably, they showed a marked difference in the inhibition of hydrolysis by Pi, this effect being largely lost in the truncated mutant. However, pre-incubation of the mutated enzyme with ADP at low nanomolar concentrations (apparent Kd = 0.7nM) restored the hydrolysis inhibition, together with the modulation of intrinsic uncoupling by Pi, indicating that, contrary to wild-type, during membrane preparation the truncated mutant had lost the ADP bound at this high-affinity site, evidently due to a lower affinity (and/or higher release) for ADP of the mutant relative to wild type. Therefore, one of the effects of the C-terminal domain of ε appears to be to modulate the affinity of at least one of the binding sites for ADP. The lack of this domain does not appear so much to influence the modulability of coupling efficiency, but instead the extent of this modulation. At higher preincubated ADP concentrations (apparent Kd = 117nM), the only observed effects were inhibition of both hydrolysis and synthesis, providing a direct proof that two ADP-binding sites on the enzyme are involved in the inhibition of hydrolysis, of which only the one at higher affinity also modulates the coupling efficiency.

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Flowering plants require light for chlorophyll synthesis. Early studies indicated that the dependence on light for greening stemmed in part from the light-dependent reduction of the chlorophyll intermediate protochlorophyllide to the product chlorophyllide. Light-dependent reduction of protochlorophyllide by flowering plants is contrasted by the ability of nonflowering plants, algae, and photosynthetic bacteria to reduce protochlorophyllide and, hence, synthesize (bacterio) chlorophyll in the dark. In this report, we functionally complemented a light-independent protochlorophyllide reductase mutant of the eubacterium Rhodobacter capsulatus with an expression library composed of genomic DNA from the cyanobacterium Synechocystis sp. PCC 6803. The complemented R. capsulatus strain is capable of synthesizing bacteriochlorophyll in the light, thereby indicating that a chlorophyll biosynthesis enzyme can function in the bacteriochlorophyll biosynthetic pathway. However, under dark growth conditions the complemented R. capsulatus strain fails to synthesize bacteriochlorophyll and instead accumulates protochlorophyllide. Sequence analysis demonstrates that the complementing Synechocystis genomic DNA fragment exhibits a high degree of sequence identity (53-56%) with light-dependent protochlorophyllide reductase enzymes found in plants. The observation that a plant-type, light-dependent protochlorophyllide reductase enzyme exists in a cyanobacterium indicates that light-dependent protochlorophyllide reductase evolved before the advent of eukaryotic photosynthesis. As such, this enzyme did not arise to fulfill a function necessitated either by the endosymbiotic evolution of the chloroplast or by multicellularity; rather, it evolved to fulfill a fundamentally cell-autonomous role.

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The multiheme SoxAX proteins are notable for their unusual heme ligation (His/Cys-persulfide in the SoxA subunit) and the complexity of their EPR spectra. The diheme SoxAX protein from Starkeya novella has been expressed using Rhodobacter capsulatus as a host expression system. rSoxAX was correctly formed in the periplasm of the host and contained heme c in similar amounts as the native SoxAX. ESI-MS showed that the full length rSoxA, in spite of never having undergone catalytic turnover, existed in several forms, with the two major forms having masses of 28 687 +/- 4 and 28 718 +/- 4 Da. The latter form exceeds the expected mass of rSoxA by 31 4 Da, a mass close to that of a sulfur atom and indicating that a fraction of the recombinant protein contains a cysteine persulfide modification. EPR spectra of rSoxAX contained all four heme-dependent EPR signals (LS1a, LS1b, LS2, LS3) found in the native SoxAX proteins isolated from bacteria grown under sulfur chemolithotrophic conditions. Exposure of the recombinant SoxAX to different sulfur compounds lead to changes in the SoxA mass profile as determined by ESI while maintaining a fully oxidized SoxAX visible spectrum. Thiosulfate, the proposed SoxAX substrate, did not cause any mass changes while after exposure to dimethylsulfoxide a + 112 +/- 4 Da form of SoxA became dominant in the mass spectrum. (c) 2005 Federation of European Biochemical Societies. Published by Elsevier B.V. All rights reserved.

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The complex molybdoenzyme xanthine oxidase (XO) catalyses the oxidation of xanthine to uric acid. Here we report the first direct (unmediated) catalytic electrochemistry of the enzyme in the presence of xanthine. The only non-turnover response (without substrate present) is a sharp two-electron wave from the FAD cofactor at -242 mV vs. NHE (pH 8.0). Upon addition of xanthine to the electrochemical cell a pronounced electrocatalytic anodic current appears at ca. +300 mV vs. NHE, but the FAD peak remains. This is unusual as the onset of catalysis should occur at the potential of the FAD cofactor (the site at which oxygen or NAD+ binds to the enzyme in solution). The observed electrochemical catalysis is prevented by the addition of known XO inhibitors allopurinol or cyanide. (c) 2005 Elsevier B.V. All rights reserved.

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The laser diode (LD) is a unique light source that can efficiently produce all radiant energy within the narrow wavelength range used most effectively by a photosynthetic microorganism. We have investigated the use of a single type of LID for the cultivation of the well-studied anoxygenic photosynthetic bacterium, Rhodobacter capsulatus (Rb. capsulatus). An array of vertical-cavity surface-emitting lasers (VCSELs) was driven with a current of 25 mA, and delivered radiation at 860 nm with 0.4 nm linewidth. The emitted light was found to be a suitable source of radiant energy for the cultivation of Rb. capsulatus. The dependence of growth rate on incident irradiance was quantified. Despite the unusual nearly monochromatic light source used in these experiments, no significant changes in the pigment composition and in the distribution of bacteriochlorophyll between LHII and LHI-RC were detected in bacterial cells transferred from incandescent light to laser light. We were also able to show that to achieve a given growth rate in a light-limited culture, the VCSEL required only 30% of the electricity needed by an incandescent bulb, which is of great significance for the potential use of laser-devices in biotechnological applications and photobioreactor construction. (c) 2006 Wiley Periodicals, Inc.

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A l’heure actuelle, les biocarburants renouvelables et qui ne nuit pas à l'environnement sont à l'étude intensive en raison de l'augmentation des problèmes de santé et de la diminution des combustibles fossiles. H2 est l'un des candidats les plus prometteurs en raison de ses caractéristiques uniques, telles que la densité d'énergie élevée et la génération faible ou inexistante de polluants. Une façon attrayante pour produire la H2 est par les bactéries photosynthétiques qui peuvent capter l'énergie lumineuse pour actionner la production H2 avec leur système de nitrogénase. L'objectif principal de cette étude était d'améliorer le rendement de H2 des bactéries photosynthétiques pourpres non sulfureuses utilisant une combinaison de génie métabolique et le plan des expériences. Une hypothèse est que le rendement en H2 pourrait être améliorée par la redirection de flux de cycle du Calvin-Benson-Bassham envers du système de nitrogénase qui catalyse la réduction des protons en H2. Ainsi, un PRK, phosphoribulose kinase, mutant « knock-out » de Rhodobacter capsulatus JP91 a été créé. L’analyse de la croissance sur des différentes sources de carbone a montré que ce mutant ne peut croître qu’avec l’acétate, sans toutefois produire d' H2. Un mutant spontané, YL1, a été récupéré qui a retenu l'cbbP (codant pour PRK) mutation d'origine, mais qui avait acquis la capacité de se développer sur le glucose et produire H2. Une étude de la production H2 sous différents niveaux d'éclairage a montré que le rendement d’YL1 était de 20-40% supérieure à la souche type sauvage JP91. Cependant, il n'y avait pas d'amélioration notable du taux de production de H2. Une étude cinétique a montré que la croissance et la production d'hydrogène sont fortement liées avec des électrons à partir du glucose principalement dirigés vers la production de H2 et la formation de la biomasse. Sous des intensités lumineuses faibles à intermédiaires, la production d'acides organiques est importante, ce qui suggère une nouvelle amélioration additionnel du rendement H2 pourrait être possible grâce à l'optimisation des processus. Dans une série d'expériences associées, un autre mutant spontané, YL2, qui a un phénotype similaire à YL1, a été testé pour la croissance dans un milieu contenant de l'ammonium. Les résultats ont montré que YL2 ne peut croître que avec de l'acétate comme source de carbone, encore une fois, sans produire de H2. Une incubation prolongée dans les milieux qui ne supportent pas la croissance de YL2 a permis l'isolement de deux mutants spontanés secondaires intéressants, YL3 et YL4. L'analyse par empreint du pied Western a montré que les deux souches ont, dans une gamme de concentrations d'ammonium, l'expression constitutive de la nitrogénase. Les génomes d’YL2, YL3 et YL4 ont été séquencés afin de trouver les mutations responsables de ce phénomène. Fait intéressant, les mutations de nifA1 et nifA2 ont été trouvés dans les deux YL3 et YL4. Il est probable qu'un changement conformationnel de NifA modifie l'interaction protéine-protéine entre NifA et PII protéines (telles que GlnB ou GlnK), lui permettant d'échapper à la régulation par l'ammonium, et donc d'être capable d'activer la transcription de la nitrogénase en présence d'ammonium. On ignore comment le nitrogénase synthétisé est capable de maintenir son activité parce qu’en théorie, il devrait également être soumis à une régulation post-traductionnelle par ammonium. Une autre preuve pourrait être obtenue par l'étude du transcriptome d’YL3 et YL4. Une première étude sur la production d’ H2 par YL3 et YL4 ont montré qu'ils sont capables d’une beaucoup plus grande production d'hydrogène que JP91 en milieu d'ammonium, qui ouvre la porte pour les études futures avec ces souches en utilisant des déchets contenant de l'ammonium en tant que substrats. Enfin, le reformage biologique de l'éthanol à H2 avec la bactérie photosynthétique, Rhodopseudomonas palustris CGA009 a été examiné. La production d'éthanol avec fermentation utilisant des ressources renouvelables microbiennes a été traitée comme une technique mature. Cependant, la plupart des études du reformage de l'éthanol à H2 se sont concentrés sur le reformage chimique à la vapeur, ce qui nécessite généralement une haute charge énergetique et résultats dans les émissions de gaz toxiques. Ainsi le reformage biologique de l'éthanol à H2 avec des bactéries photosynthétiques, qui peuvent capturer la lumière pour répondre aux besoins énergétiques de cette réaction, semble d’être plus prometteuse. Une étude précédente a démontré la production d'hydrogène à partir d'éthanol, toutefois, le rendement ou la durée de cette réaction n'a pas été examiné. Une analyse RSM (méthode de surface de réponse) a été réalisée dans laquelle les concentrations de trois facteurs principaux, l'intensité lumineuse, de l'éthanol et du glutamate ont été variés. Nos résultats ont montré que près de 2 moles de H2 peuvent être obtenus à partir d'une mole d'éthanol, 33% de ce qui est théoriquement possible.

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Chapter 1 While targeting kinases in oncology research has been explored extensively, targeting protein phosphatases is currently in its infancy. However, a number of pharmaceutical companies are currently looking to expand their research efforts in this area. PP2A has been shown to down-regulate ERK5, a mitogen-activated protein kinase (MAPK) that has been shown to be important in driving the invasive phenotype of prostate cancer. Fostriecin and its related structural analogues PD 113,270 and 113,271 have been shown to inhibit a mitotic entry checkpoint in cell growth through the potent and selective inhibition of protein phosphatases PP1, PP2A, and PP4 (IC50 of 45 μM, 1.5 nM, and 3 nM respectively). Fostriecin is one of the most selective protein phosphatase inhibitors disclosed to date with a 104 fold selectivity for PP2A/PP4 versus PP1. Unfortunately, fostriecin and its analogues are very unstable, and this instability has effectively prevented them from being used as effective therapeutic leads. The microcystins and nodularins on the other hand, exhibit significant inhibitory activity against PP1 and PP2A (IC50 = 26 pM and 1.8 nM respectively), but their high toxicity has prevented any therapeutic application. Truncation of the ADDA chain from these polypeptides completely attenuates PP inhibitory activity. Simpler analogues incorporating the N-acylated ADDA chain and D-Ala retain moderate activity against PP1 and PP2A (IC50 = 1.0 μM and 0.17 μM respectively). The generation of a new series of fostriecin analogues to further expand its structure-activity relationship is envisaged with a view to creating new more stable PP2A inhibitors. It was hoped that by incorporating some of the more stable structural features of ADDA into fostriecin that stability and activity could be reconciled. With that in mind a series of PP2A inhibitors were synthesised and biologically evaluated. Chapter 2 GPCRs are an important area of research and are the targets of a quarter of the drugs on the market (2005). As a result, GPCRs continue to be at the forefront of research in both small and large drug companies. However one of the difficulties in studying this diverse class of membrane proteins is their tendency to denature in aqueous solution. As a result there is a pressing need to develop new detergents to solubilise, stabilise and crystallise GPCRs in their native form for further study. Cholesterol analogues have been shown to be important for stabilising membrane proteins and preventing their thermal inactivation. In addition the β2-adrenergic receptor, a GPCR membrane protein, has been crystallised in the active state with two cholesterol molecules bound between the I, II, III and IV helices of the protein. This appears to represent a distinct cholesterol binding pocket on the membrane protein that is speculated to be conserved across up to 44% of the rhodopsin class of GPCRs. CHOBIMALT is a cholesterol-based detergent that has been shown to exhibit promising GPCR-stabilising properties. When benchmarked against other cholesterol based detergents it was found to be superior to all others tested except for cholesteryl hemisuccinate.1 CHOBIMALT has an aggregation number of roughly 200 and forms 210 ± 30 kDa micelles, which are significantly larger than those of most detergents used for biological systems which is likely due to the packing constraints associated with CHOBMALT’s large polar headgroup.2 As a result, CHOBIMALT is used mostly as an additive to other commercially available detergents in order to decrease micelle size. A branched dimaltoside motif is common in recently synthesised detergents by Chae and co-workers. These detergents have shown promising detergent properties, for example the maltose neopentyl glycol (MNG) detergent synthesised by Chae. This branched dimaltoside detergent was shown to be able to solubilise and stabilise the very labile light harvesting complex I (LHI) from Rhodopsin capsulatus in its active form for 20 days with little loss of protein conformation.3 A cholesterol-based detergent was envisaged that combines the cholesterol framework of CHOBIMALT but replaces its linear tetrasaccharide with a branched dimaltoside. This detergent would then be investigated to assess its ability to solubilise, stabilise and crystallise GPCR proteins. This cholesterol-based detergent (shown below) was eventually synthesised in 9 linear steps from cholesterol.