210 resultados para neutropenia


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The feasibility of sequential carboplatin followed by docetaxel-based therapy for untreated ovarian cancer was determined. Patients received four q3w cycles of carboplatin AUC 7, then four q3w cycles of either docetaxel 100 mg m(-2) (day 1) (arm A); docetaxel 75 mg m(-2) (day 8) and gemcitabine 1250 mg m(-2) (days 1,8) (arm B) or docetaxel 25 mg m(-2) and gemcitabine 800 mg m(-2) (both given weekly (days 1,8,15)) (arm C). A total of 44 patients were randomised to each treatment arm. None of the arms demonstrated an eight cycle completion rate (70.5/72.7/45.5% in arms A/B/C, respectively), which was statistically greater than 60% (P = 0.102, P = 0.056, P = 0.982) which was our formal feasibility criteria, although only the completion rate in arm C was clearly worse than this level. The overall response rate (ORR) after carboplatin was 65.7% in 70 evaluable patients. In evaluable patients, ORRs after docetaxel-based cycles were: arm A 84.0% (21 out of 25); arm B 77.3% (17 out of 22); arm C 69.6% (16 out of 23). At follow-up (median 30 months), median progression-free survival times were: arm A 15.5 months (95% Cl: 10.5 - 20.6); arm B 18.1 months (95% Cl: 15.9 - 20.3); arm C, 13.7 months (95% Cl: 12.8 - 14.6). Neutropenia was the predominant grade 3 - 4 haematological toxicity: 77.8/85.7/54.4% in arms A/B/C, respectively. Dyspnoea was markedly increased in both gemcitabine-containing arms (P = 0.001) but was worse in arm C. Although just failing to rule out eight cycle completion rates less than 60%, within the statistical limitations of these small cohorts, the overall results for arms A and B are encouraging. Larger phase III studies are required to test these combinations.

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WHAT IS ALREADY KNOWN ABOUT THIS SUBJECT • 6-Mercaptopurine (6-MP) and azathioprine (AZA) are both inactive prodrugs that require intracellular activation into the active 6-thioguanine nucleotides (6-TGNs). • This metabolic process undergoes three different competitive pathways that are catalysed by three different enzymes; xanthine oxidase (XO), thiopurine methyltransferase (TPMT) and inosine triphosphatase (ITPA), all of which exhibit genetic polymorphisms. • Although the impact of genetic variation in the TPMT gene on treatment outcome and toxicity has been demonstrated, the role of other polymorphisms remains less well known. WHAT THIS STUDY ADDS • New information on the allelic variation of these three enzymes (XO, TPMT and ITPA) and their influence on 6-MP/AZA metabolism and toxicity. • Confirmation of the association of TPMT polymorphism with haematological toxicity. • Identified potential genetic characteristics that may contribute to higher risk of adverse events (such as ITPA IVS2+21A→C mutation). AIMS - To examine the allelic variation of three enzymes involved in 6-mercaptopurine/azathioprine (6-MP/AZA) metabolism and evaluate the influence of these polymorphisms on toxicity, haematological parameters and metabolite levels in patients with acute lymphoblastic leukaemia (ALL) or inflammatory bowel disease (IBD). METHODS - Clinical data and blood samples were collected from 19 ALL paediatric patients and 35 IBD patients who were receiving 6-MP/AZA therapy. All patients were screened for seven genetic polymorphisms in three enzymes involved in mercaptopurine metabolism [xanthine oxidase, inosine triphosphatase (C94→A and IVS2+21A→C) and thiopurine methyltransferase]. Erythrocyte and plasma metabolite concentrations were also determined. The associations between the various genotypes and myelotoxicity, haematological parameters and metabolite concentrations were determined. RESULTS - Thiopurine methyltransferase variant alleles were associated with a preferential metabolism away from 6-methylmercaptopurine nucleotides (P = 0.008 in ALL patients, P = 0.038 in IBD patients) favouring 6-thioguanine nucleotides (6-TGNs) (P = 0.021 in ALL patients). Interestingly, carriers of inosine triphosphatase IVS2+21A→C variants among ALL and IBD patients had significantly higher concentrations of the active cytotoxic metabolites, 6-TGNs (P = 0.008 in ALL patients, P = 0.047 in IBD patients). The study confirmed the association of thiopurine methyltransferase heterozygosity with leucopenia and neutropenia in ALL patients and reported a significant association between inosine triphosphatase IVS2+21A→C variants with thrombocytopenia (P = 0.012). CONCLUSIONS - Pharmacogenetic polymorphisms in the 6-MP pathway may help identify patients at risk for associated toxicities and may serve as a guide for dose individualization.

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La diminution des doses administrées ou même la cessation complète d'un traitement chimiothérapeutique est souvent la conséquence de la réduction du nombre de neutrophiles, qui sont les globules blancs les plus fréquents dans le sang. Cette réduction dans le nombre absolu des neutrophiles, aussi connue sous le nom de myélosuppression, est précipitée par les effets létaux non spécifiques des médicaments anti-cancéreux, qui, parallèlement à leur effet thérapeutique, produisent aussi des effets toxiques sur les cellules saines. Dans le but d'atténuer cet impact myélosuppresseur, on administre aux patients un facteur de stimulation des colonies de granulocytes recombinant humain (rhG-CSF), une forme exogène du G-CSF, l'hormone responsable de la stimulation de la production des neutrophiles et de leurs libération dans la circulation sanguine. Bien que les bienfaits d'un traitement prophylactique avec le G-CSF pendant la chimiothérapie soient bien établis, les protocoles d'administration demeurent mal définis et sont fréquemment déterminés ad libitum par les cliniciens. Avec l'optique d'améliorer le dosage thérapeutique et rationaliser l'utilisation du rhG-CSF pendant le traitement chimiothérapeutique, nous avons développé un modèle physiologique du processus de granulopoïèse, qui incorpore les connaissances actuelles de pointe relatives à la production des neutrophiles des cellules souches hématopoïétiques dans la moelle osseuse. À ce modèle physiologique, nous avons intégré des modèles pharmacocinétiques/pharmacodynamiques (PK/PD) de deux médicaments: le PM00104 (Zalypsis®), un médicament anti-cancéreux, et le rhG-CSF (filgrastim). En se servant des principes fondamentaux sous-jacents à la physiologie, nous avons estimé les paramètres de manière exhaustive sans devoir recourir à l'ajustement des données, ce qui nous a permis de prédire des données cliniques provenant de 172 patients soumis au protocol CHOP14 (6 cycles de chimiothérapie avec une période de 14 jours où l'administration du rhG-CSF se fait du jour 4 au jour 13 post-chimiothérapie). En utilisant ce modèle physio-PK/PD, nous avons démontré que le nombre d'administrations du rhG-CSF pourrait être réduit de dix (pratique actuelle) à quatre ou même trois administrations, à condition de retarder le début du traitement prophylactique par le rhG-CSF. Dans un souci d'applicabilité clinique de notre approche de modélisation, nous avons investigué l'impact de la variabilité PK présente dans une population de patients, sur les prédictions du modèle, en intégrant des modèles PK de population (Pop-PK) des deux médicaments. En considérant des cohortes de 500 patients in silico pour chacun des cinq scénarios de variabilité plausibles et en utilisant trois marqueurs cliniques, soient le temps au nadir des neutrophiles, la valeur du nadir, ainsi que l'aire sous la courbe concentration-effet, nous avons établi qu'il n'y avait aucune différence significative dans les prédictions du modèle entre le patient-type et la population. Ceci démontre la robustesse de l'approche que nous avons développée et qui s'apparente à une approche de pharmacologie quantitative des systèmes (QSP). Motivés par l'utilisation du rhG-CSF dans le traitement d'autres maladies, comme des pathologies périodiques telles que la neutropénie cyclique, nous avons ensuite soumis l'étude du modèle au contexte des maladies dynamiques. En mettant en évidence la non validité du paradigme de la rétroaction des cytokines pour l'administration exogène des mimétiques du G-CSF, nous avons développé un modèle physiologique PK/PD novateur comprenant les concentrations libres et liées du G-CSF. Ce nouveau modèle PK a aussi nécessité des changements dans le modèle PD puisqu’il nous a permis de retracer les concentrations du G-CSF lié aux neutrophiles. Nous avons démontré que l'hypothèse sous-jacente de l'équilibre entre la concentration libre et liée, selon la loi d'action de masse, n'est plus valide pour le G-CSF aux concentrations endogènes et mènerait en fait à la surestimation de la clairance rénale du médicament. En procédant ainsi, nous avons réussi à reproduire des données cliniques obtenues dans diverses conditions (l'administration exogène du G-CSF, l'administration du PM00104, CHOP14). Nous avons aussi fourni une explication logique des mécanismes responsables de la réponse physiologique aux deux médicaments. Finalement, afin de mettre en exergue l’approche intégrative en pharmacologie adoptée dans cette thèse, nous avons démontré sa valeur inestimable pour la mise en lumière et la reconstruction des systèmes vivants complexes, en faisant le parallèle avec d’autres disciplines scientifiques telles que la paléontologie et la forensique, où une approche semblable a largement fait ses preuves. Nous avons aussi discuté du potentiel de la pharmacologie quantitative des systèmes appliquées au développement du médicament et à la médecine translationnelle, en se servant du modèle physio-PK/PD que nous avons mis au point.

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BACKGROUND: EGFR overexpression occurs in 27-55% of oesophagogastric adenocarcinomas, and correlates with poor prognosis. We aimed to assess addition of the anti-EGFR antibody panitumumab to epirubicin, oxaliplatin, and capecitabine (EOC) in patients with advanced oesophagogastric adenocarcinoma. METHODS: In this randomised, open-label phase 3 trial (REAL3), we enrolled patients with untreated, metastatic, or locally advanced oesophagogastric adenocarcinoma at 63 centres (tertiary referral centres, teaching hospitals, and district general hospitals) in the UK. Eligible patients were randomly allocated (1:1) to receive up to eight 21-day cycles of open-label EOC (epirubicin 50 mg/m(2) and oxaliplatin 130 mg/m(2) on day 1 and capecitabine 1250 mg/m(2) per day on days 1-21) or modified-dose EOC plus panitumumab (mEOC+P; epirubicin 50 mg/m(2) and oxaliplatin 100 mg/m(2) on day 1, capecitabine 1000 mg/m(2) per day on days 1-21, and panitumumab 9 mg/kg on day 1). Randomisation was blocked and stratified for centre region, extent of disease, and performance status. The primary endpoint was overall survival in the intention-to-treat population. We assessed safety in all patients who received at least one dose of study drug. After a preplanned independent data monitoring committee review in October, 2011, trial recruitment was halted and panitumumab withdrawn. Data for patients on treatment were censored at this timepoint. This study is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT00824785. FINDINGS: Between June 2, 2008, and Oct 17, 2011, we enrolled 553 eligible patients. Median overall survival in 275 patients allocated EOC was 11.3 months (95% CI 9.6-13.0) compared with 8.8 months (7.7-9.8) in 278 patients allocated mEOC+P (hazard ratio [HR] 1.37, 95% CI 1.07-1.76; p=0.013). mEOC+P was associated with increased incidence of grade 3-4 diarrhoea (48 [17%] of 276 patients allocated mEOC+P vs 29 [11%] of 266 patients allocated EOC), rash (29 [11%] vs two [1%]), mucositis (14 [5%] vs none), and hypomagnesaemia (13 [5%] vs none) but reduced incidence of haematological toxicity (grade ≥ 3 neutropenia 35 [13%] vs 74 [28%]). INTERPRETATION: Addition of panitumumab to EOC chemotherapy does not increase overall survival and cannot be recommended for use in an unselected population with advanced oesophagogastric adenocarcinoma. FUNDING: Amgen, UK National Institute for Health Research Biomedical Research Centre.

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BACKGROUND: In the previously reported ALSYMPCA trial in patients with castration-resistant prostate cancer and symptomatic bone metastases, overall survival was significantly longer in patients treated with radium-223 dichloride (radium-223) than in patients treated with placebo. In this study, we investigated safety and overall survival in radium-223 treated patients in an early access programme done after the ALSYMPCA study and before regulatory approval of radium-223.

METHODS: We did an international, prospective, interventional, open-label, single-arm, phase 3b study. Enrolled patients were aged 18 years or older with histologically or cytologically confirmed progressive bone-predominant metastatic castration-resistant prostate cancer with two or more skeletal metastases on imaging (with no restriction as to whether they were symptomatic or asymptomatic; without visceral disease but lymph node metastases were allowed). Patients received intravenous injections of radium-223, 50 kBq/kg (current recommendation 55 kBq/kg after implementation of National Institute of Standards and Technology update on April 18, 2016) every 4 weeks for up to six injections. Other concomitant anticancer therapies were allowed. Primary endpoints were safety and overall survival. The safety and efficacy analyses were done on all patients who received at least one dose of the study drug. The study has been completed, and we report the final analysis here. This study is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT01618370, and the European Union Clinical Trials Register, EudraCT number 2012-000075-16.

FINDINGS: Between July 22, 2012, and Dec 19, 2013, 839 patients were enrolled from 113 sites in 14 countries. 696 patients received one or more doses of radium-223; 403 (58%) of these patients had all six planned injections. Any-grade treatment-emergent adverse events occurred in 523 (75%) of 696 patients; any-grade treatment-emergent adverse events deemed to be related to treatment were reported in 281 (40%) patients. The most common grade 3 or worse treatment-related treatment-emergent adverse events were anaemia in 32 (5%) patients, thrombocytopenia in 15 (2%) patients, neutropenia in ten (1%) patients, and leucopenia in nine (1%) patients. Any grade of serious adverse events were reported in 243 (35%) patients. Median follow-up was 7·5 months (IQR 5-11) and 210 deaths were reported; median overall survival was 16 months (95% CI 13-not available [NA]). In an exploratory analysis of overall survival with predefined factors, median overall survival was longer for: patients with baseline alkaline phosphatase concentration less than the upper limit of normal (ULN; median NA, 95% CI 16 months-NA) than for patients with an alkaline phosphatase concentration equal to or greater than the ULN (median 12 months, 11-15); patients with baseline haemoglobin levels 10 g/dL or greater (median 17 months, 14-NA) than for patients with haemoglobin levels less than 10 g/dL (median 10 months, 8-14); patients with a baseline Eastern Cooperative Oncology Group performance status (ECOG PS) of 0 (median NA, 17 months-NA) than for patients with an ECOG PS of 1 (median 13 months, 11-NA) or an ECOG PS of 2 or more (median 7 months, 5-11); and for patients with no reported baseline pain (median NA, 16 months-NA) than for those with mild pain (median 14 months, 13-NA) or moderate-severe pain (median 11 months, 9-13). Median overall survival was also longer in patients who received radium-223 plus abiraterone, enzalutamide, or both (median NA, 95% CI 16 months-NA) than in those who did not receive these agents (median 13 months, 12-16), and in patients who received radium-223 plus denosumab (median NA, 15 months-NA) than in patients who received radium-223 without denosumab (median 13 months, 12-NA).

INTERPRETATION: Our findings show that radium-223 can be safely combined with abiraterone or enzalutamide, which are now both part of the standard of care for patients with metastatic castration-resistant prostate cancer. Furthermore, our findings extend to patients who were asymptomatic at baseline, unlike those enrolled in the pivotal ALSYMPCA study. The findings of prolonged survival in patients treated with concomitant abiraterone, enzalutamide, or denosumab require confirmation in prospective randomised trials.

FUNDING: Pharmaceutical Division of Bayer.

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G6PC3 is a widely expressed isoform of glucose-6-phosphatase, found in many foetal and adult tissues. Mutations in this gene cause developmental abnormalities and severe neutropenia due to abolition of glucose recycling between the cytoplasm and endoplasmic reticulum. Low G6PC3 expression as a result of promoter polymorphisms or dysregulation could produce similar outcomes. Here we investigated the regulation of human G6PC3 promoter activity. HeLa and H4IIE cells were transiently transfected with G6PC3 promoter coupled to the firefly luciferase gene, and promoter activity was measured by dual luciferase assay. Activity was highest in a 453 bp segment of the G6PC3 promoter, from − 455 to − 3 relative to the transcriptional start site. This promoter was unresponsive to glucostatic hormones. Its activity increased significantly between 1 and 5.5 mM glucose, and was not elevated further by glucose concentrations up to 25 mM. Pyruvate increased its activity, but β-hydroxybutyrate and sodium acetate did not. Promoter activity was reduced by inhibitors of hexokinase, glyceraldehyde phosphate dehydrogenase and the oxidative branch of the pentose phosphate pathway, but not by a transketolase inhibitor. Deletion of two adjacent Enhancer-boxes (− 274 to − 279 and − 299 to − 304) reduced promoter activity and abolished the glucose effect, suggesting they could function as a glucose response element. Deletion of an additional downstream 140 bp (− 140 to − 306) restored activity, but not the glucose response, suggesting the presence of repressor elements in this region. 5-Aminoimidazole-4-carboxamide 1-β-d-ribofuranoside (AICAR) reduced promoter activity, showing dependence on AMP-kinase. Regulation of the G6PC3 promoter is thus radically different to that of the hepatic isoform, G6PC. It is sensitive to carbohydrate, but not to fatty acid metabolites, and at much lower physiological concentrations. Based on these findings, we speculate that reduced G6PC3 expression could occur during hypoglycemic episodes in vivo, which are common in utero and in the postnatal period. If such episodes lower G6PC3 expression they could place the foetus or infant at risk of impaired immune function and development, and this possibility requires further examination both in vitro and in vivo.

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ntestinal aspergillosis is an infection with a very high death rate especially in leukemic patients. Here we describe a case of a 46 years old woman with acute myeloid leukemia (LAM M5) who developed intestinal primary aspergillosis. This patient was diagnosed with LAM M5 through bone marrow aspiration and bone biopsy in March 2004. Symptoms of the disease were slight persistent fever, weight loss, asthenia, anemia, thrombocytopenia,and leukocytosis with high number of blasts in peripheral blood. After induction chemotherapy with ICE (Ifosfamide, Carboplatin, Etoposide), she developed neutropenia and high fever without apparent infective foci. She was treated with empiric antibiotic therapy, nevertheless she developed an intense diarrhea and ileo-cecal distention. Diagnostic exams didn’t show signs of a focal lesion. Despite the change in antibiotic treatment and the transfusions of granulocytes and blood cells, the patient developed extremely critical conditions with persistence of neutropenia and abdominal distention. A surgical treatment was decided at the time. We treated the patient with a two steps surgical procedure. The first step was a right abdominal ileostomy followed by improvement of general conditions and then the second step a right colectomy. The histological morphology confirmed necrotizing colitis with Aspergillus ife. At that time , treatment with voriconazole was started. The general conditions of the patient improved rapidly and we were able to treat the patient with other medical anti-leukemic therapies. The patient is now cured and in healthy state. We obtained a good clinical result as only in other few cases described in literature.

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Background: K-ras mutation is found in up to 40% of LARC. Sor is a multitarget tyrosine kinase inhibitor including raf and VEGFR and has demonstrated radiosensitizing effects. Sor might improve outcome of standard preoperative radio-chemotherapy in patients with k-ras mutated LARC. Methods: Pts with k-ras mutated T3-4 and/or N+, M0 disease by MRI were included. Recommended doses from phase I part consisted of RT 1.8 Gy/day x25 with Cape 825mg/m2bid x 33 in combination with Sor 400mg/d. The primary endpoint for the phase II part was pathological complete response (pCR) prospectively defined as grade 3 (near complete regression) or 4 (complete regression) in the histological grading system according to Dworak (DC). A pCR rate of 8% or lower was considered uninteresting and of 22% or higher was promising. Secondary endpoints included sphincter preservation, R0 resection, downstaging and safety. Results: 54 pts were treated in 18 centers in Switzerland und Hungary, 40 pts were included into the single arm phase II part. Median dose intensity per day was 100.0% for RT, 98.6% for Cape and 100.0% for Sor respectively. pCR rate was 60.0% (95%CI: 43.3%, 75.1%) by central independent pathological review (15.0% DC grade 4; 45.0% DC grade 3). Sphincter preservation was achieved in 89.5%, R0 resection in 94.7% and downstaging in 81.6% of the pts. The most common grade 3 toxicities included diarrhea (15.0%), skin toxicity outside of the RT field (12.5%), pain (7.5%), skin toxicity in RT field, proctitis, fatigue and cardiac ischemia (each 5.0%). Laboratory AEs grade 3/4 were neutropenia (1 pt grade 4; 1 grade 3), creatinine elevation (1 pt grade 3). Conclusions: The combination of Sor to standard RCT with Cape in k-ras mutated LARC tumors is highly active with acceptable toxicity and deserves further investigation.

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L’irinotécan est un agent de chimiothérapie largement utilisé pour le traitement de tumeurs solides, particulièrement pour le cancer colorectal métastatique (mCRC). Fréquemment, le traitement par l’irinotécan conduit à la neutropénie et la diarrhée, des effets secondaires sévères qui peuvent limiter la poursuite du traitement et la qualité de vie des patients. Plusieurs études pharmacogénomiques ont évalué les risques associés à la chimiothérapie à base d’irinotécan, en particulier en lien avec le gène UGT1A, alors que peu d’études ont examiné l’impact des gènes codant pour des transporteurs. Par exemple, le marqueur UGT1A1*28 a été associé à une augmentation de 2 fois du risque de neutropénie, mais ce marqueur ne permet pas de prédire la toxicité gastrointestinale ou l’issue clinique. L’objectif de cette étude était de découvrir de nouveaux marqueurs génétiques associés au risque de toxicité induite par l’irinotécan, en utilisant une stratégie d’haplotype/SNP-étiquette permettant de maximiser la couverture des loci génétiques ciblés. Nous avons analysé les associations génétiques des loci UGT1 et sept gènes codants pour des transporteurs ABC impliqués dans la pharmacocinétique de l’irinotécan, soient ABCB1, ABCC1, ABCC2, ABCC5, ABCG1, ABCG2 ainsi que SLCO1B1. Les profils de 167 patients canadiens atteints de mCRC sous traitement FOLFIRI (à base d’irinotécan) ont été examinés et les marqueurs significatifs ont par la suite été validés dans une cohorte indépendante de 250 patients italiens. Nous avons découvert dans la région intergénique en aval du gène UGT1, un nouveau marqueur (rs11563250G) associé à un moindre risque de neutropénie sévère (rapport des cotes (RC)=0.21; p=0.043 chez les canadiens, RC=0.27; p=0.036 chez les italiens, et RC=0.31 p=0.001 pour les deux cohortes combinées). De plus, le RC est demeuré significatif après correction pour multiples comparaisons (p=0.041). Par ailleurs, pour l’haplotype défini par les marqueurs rs11563250G et UGT1A1*1 (rs8175347 TA6), le RC était de 0.17 (p=0.0004). Un test génétique évaluant ces marqueurs permettrait d’identifier les patients susceptibles de bénéficier d’une augmentation de dose d’irinotécan. En revanche, une autre combinaison de marqueurs, ABCC5 rs3749438 et rs10937158 (T–C), a prédit un risque plus faible de diarrhée sévère dans les deux cohortes (RC = 0.43; p=0.001). La coexistence des marqueurs ABCG1 rs225440T et ABCC5 rs2292997A a prédit un risque accru de neutropénie (RC=5.93; p=0.0002), alors qu’une prédiction encore plus significative a été obtenue lorsque ces marqueurs sont combinés au marqueur de risque bien établi UGT1A1*28 rs8175347 (RC=7.68; p<0.0001). Enfin, les porteurs de l’allèle de protection UGT1 rs11563250G en absence d’allèles de risque, ont montré une incidence réduite de neutropénie sévère (8.2% vs. 34.0%; p<0.0001). Nous concluons que ces nouveaux marqueurs génétiques prédictifs pourraient permettre d’améliorer l’évaluation du risque de toxicité et personnaliser le traitement à base d’irinotécan pour les patients atteints du cancer colorectal métastatique.

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La diminution des doses administrées ou même la cessation complète d'un traitement chimiothérapeutique est souvent la conséquence de la réduction du nombre de neutrophiles, qui sont les globules blancs les plus fréquents dans le sang. Cette réduction dans le nombre absolu des neutrophiles, aussi connue sous le nom de myélosuppression, est précipitée par les effets létaux non spécifiques des médicaments anti-cancéreux, qui, parallèlement à leur effet thérapeutique, produisent aussi des effets toxiques sur les cellules saines. Dans le but d'atténuer cet impact myélosuppresseur, on administre aux patients un facteur de stimulation des colonies de granulocytes recombinant humain (rhG-CSF), une forme exogène du G-CSF, l'hormone responsable de la stimulation de la production des neutrophiles et de leurs libération dans la circulation sanguine. Bien que les bienfaits d'un traitement prophylactique avec le G-CSF pendant la chimiothérapie soient bien établis, les protocoles d'administration demeurent mal définis et sont fréquemment déterminés ad libitum par les cliniciens. Avec l'optique d'améliorer le dosage thérapeutique et rationaliser l'utilisation du rhG-CSF pendant le traitement chimiothérapeutique, nous avons développé un modèle physiologique du processus de granulopoïèse, qui incorpore les connaissances actuelles de pointe relatives à la production des neutrophiles des cellules souches hématopoïétiques dans la moelle osseuse. À ce modèle physiologique, nous avons intégré des modèles pharmacocinétiques/pharmacodynamiques (PK/PD) de deux médicaments: le PM00104 (Zalypsis®), un médicament anti-cancéreux, et le rhG-CSF (filgrastim). En se servant des principes fondamentaux sous-jacents à la physiologie, nous avons estimé les paramètres de manière exhaustive sans devoir recourir à l'ajustement des données, ce qui nous a permis de prédire des données cliniques provenant de 172 patients soumis au protocol CHOP14 (6 cycles de chimiothérapie avec une période de 14 jours où l'administration du rhG-CSF se fait du jour 4 au jour 13 post-chimiothérapie). En utilisant ce modèle physio-PK/PD, nous avons démontré que le nombre d'administrations du rhG-CSF pourrait être réduit de dix (pratique actuelle) à quatre ou même trois administrations, à condition de retarder le début du traitement prophylactique par le rhG-CSF. Dans un souci d'applicabilité clinique de notre approche de modélisation, nous avons investigué l'impact de la variabilité PK présente dans une population de patients, sur les prédictions du modèle, en intégrant des modèles PK de population (Pop-PK) des deux médicaments. En considérant des cohortes de 500 patients in silico pour chacun des cinq scénarios de variabilité plausibles et en utilisant trois marqueurs cliniques, soient le temps au nadir des neutrophiles, la valeur du nadir, ainsi que l'aire sous la courbe concentration-effet, nous avons établi qu'il n'y avait aucune différence significative dans les prédictions du modèle entre le patient-type et la population. Ceci démontre la robustesse de l'approche que nous avons développée et qui s'apparente à une approche de pharmacologie quantitative des systèmes (QSP). Motivés par l'utilisation du rhG-CSF dans le traitement d'autres maladies, comme des pathologies périodiques telles que la neutropénie cyclique, nous avons ensuite soumis l'étude du modèle au contexte des maladies dynamiques. En mettant en évidence la non validité du paradigme de la rétroaction des cytokines pour l'administration exogène des mimétiques du G-CSF, nous avons développé un modèle physiologique PK/PD novateur comprenant les concentrations libres et liées du G-CSF. Ce nouveau modèle PK a aussi nécessité des changements dans le modèle PD puisqu’il nous a permis de retracer les concentrations du G-CSF lié aux neutrophiles. Nous avons démontré que l'hypothèse sous-jacente de l'équilibre entre la concentration libre et liée, selon la loi d'action de masse, n'est plus valide pour le G-CSF aux concentrations endogènes et mènerait en fait à la surestimation de la clairance rénale du médicament. En procédant ainsi, nous avons réussi à reproduire des données cliniques obtenues dans diverses conditions (l'administration exogène du G-CSF, l'administration du PM00104, CHOP14). Nous avons aussi fourni une explication logique des mécanismes responsables de la réponse physiologique aux deux médicaments. Finalement, afin de mettre en exergue l’approche intégrative en pharmacologie adoptée dans cette thèse, nous avons démontré sa valeur inestimable pour la mise en lumière et la reconstruction des systèmes vivants complexes, en faisant le parallèle avec d’autres disciplines scientifiques telles que la paléontologie et la forensique, où une approche semblable a largement fait ses preuves. Nous avons aussi discuté du potentiel de la pharmacologie quantitative des systèmes appliquées au développement du médicament et à la médecine translationnelle, en se servant du modèle physio-PK/PD que nous avons mis au point.

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La mucositis es una complicación secundaria al tratamiento de quimioterapia intensiva que algunos pacientes con leucemia aguda puede presentar. Diferentes estudios internacionales han demostrado una alta incidencia de mucositis por lo que en el país se hace necesario conocer la incidencia de dicha patología en la población pediátrica. Objetivo: determinar la incidencia de mucositis asociada al tratamiento de quimioterapia en pacientes con Leucemia Mieloblástica Aguda y Leucemia Linfoblástica Aguda de alto riesgo, que ingresaron al departamento de oncología del Hospital Nacional de Niños Benjamín Bloom de Enero 2008 a Diciembre 2012. Método: se realizó una investigación descriptiva de tipo retrospectivo de corte transversal, donde la población total fue de 172 expedientes, de los cuales 35 de éstos ya se encontraban depurados por ESDOMED, por lo que la población en estudio fue de 137 pacientes, donde se describió la incidencia y tipo de mucositis, características clínicas y de laboratorio. Resultados: de la población de 137 pacientes, 34 presentaron mucositis siendo la más frecuente la estomatitis, el grado más frecuente fue 2 y el número de episodios que se describió fue de 50, ya que el promedio de episodio fueron de 1.47, de éstos casos el 74% presentó durante el episodio neutropenia. Conclusiones: los datos obtenidos en la investigación son de importancia ya que no se cuenta con datos sobre mucositis en pacientes pediátrico en el país y cuyos resultados son acordes a la literatura mundial, lo cual ayuda a establecer las medidas a seguir para mejorar la calidad de vida de pacientes pediátricos evitando así complicaciones.

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BackgroundGrowth of hormone-receptor–positive breast cancer is dependent on cyclin-dependent kinases 4 and 6 (CDK4 and CDK6), which promote progression from the G1 phase to the S phase of the cell cycle. We assessed the efficacy of palbociclib (an inhibitor of CDK4 and CDK6) and fulvestrant in advanced breast cancer.MethodsThis phase 3 study involved 521 patients with advanced hormone-receptor–positive, human epidermal growth factor receptor 2–negative breast cancer that had relapsed or progressed during prior endocrine therapy. We randomly assigned patients in a 2:1 ratio to receive palbociclib and fulvestrant or placebo and fulvestrant. Premenopausal or perimenopausal women also received goserelin. The primary end point was investigator-assessed progression-free survival. Secondary end points included overall survival, objective response, rate of clinical benefit, patient-reported outcomes, and safety. A preplanned interim analysis was performed by an independent data and safety monitoring committee after 195 events of disease progression or death had occurred.ResultsThe median progression-free survival was 9.2 months (95% confidence interval [CI], 7.5 to not estimable) with palbociclib–fulvestrant and 3.8 months (95% CI, 3.5 to 5.5) with placebo–fulvestrant (hazard ratio for disease progression or death, 0.42; 95% CI, 0.32 to 0.56; P<0.001). The most common grade 3 or 4 adverse events in the palbociclib–fulvestrant group were neutropenia (62.0%, vs. 0.6% in the placebo–fulvestrant group), leukopenia (25.2% vs. 0.6%), anemia (2.6% vs. 1.7%), thrombocytopenia (2.3% vs. 0%), and fatigue (2.0% vs. 1.2%). Febrile neutropenia was reported in 0.6% of palbociclib-treated patients and 0.6% of placebo-treated patients. The rate of discontinuation due to adverse events was 2.6% with palbociclib and 1.7% with placebo.ConclusionsAmong patients with hormone-receptor–positive metastatic breast cancer who had progression of disease during prior endocrine therapy, palbociclib combined with fulvestrant resulted in longer progression-free survival than fulvestrant alone. (Funded by Pfizer; PALOMA3 ClinicalTrials.gov number, NCT01942135.)

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Nous avons investigué la relation entre les polymorphismes de nucléotides simples (SNPs) chez trois gènes/loci candidats : DARC, CXCL2 et le loci ORMDL3-GSDMA-CSF3 situés sur le chromosome 17q21 et les complications neutropéniques et infectieuses qui en résultent durant la chimiothérapie chez les patients atteints de la leucémie lymphoblastique aigue. Ces loci codent pour certaines composantes du système immunitaire altérant la concentration de chémokines et leur distribution (DARC), stimulant le relâchement et la migration des neutophiles de la moelle épinière (CXCL2) et régulant la prolifération et la survie des granulocytes (G-CSF). Il est possible que des polymorphismes dans ces loci lorsqu’associés à de la chimiothérapie puissent mettre des individus suceptibles à un risque plus élevé de complication reliées à la chimiothérapie. Une sélection des marqueurs SNPs dans ces gènes ont été génotypés chez des enfants traités au CHU Ste-Justine pour une ALL entre 1989 et 2005. Après correction pour tests multiples, un polymorphisme DARC rs3027012 situé dans le 5’UTR a été associé à un compte phagocytaire peu élevé (APC<500 et <1000 cellules/µL, p=0.001 and p=0.0005, respectivement) ainsi qu’une hospitalisation due à une neutropénie (p=0.007) ou due à une infection et/ou neutropénie (p=0.007). Un effet protecteur a été identifié pour la mutation non sense Gly42Asp variant rs12075 (p=0.006). Des polymorphismes sur le chromosome 17q2 étaient associés à une hospitalisation due à une infection (rs3859192, p= 0.004) et à une neutropénie (rs17609240, p=0.006) L’infection était aussi modulée par CXCL2 (rs16850408, p=0.008) Cette étude identifie pour la première fois que les loci modulant le décompte des leucocytes et des neutrophiles pourraient jouer un rôle dans de déclenchement de complications dues à la chimiothérapie et pourraient ainsi servir de marqueurs pour un ajustement et un suivi du traitement.

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Nous avons investigué la relation entre les polymorphismes de nucléotides simples (SNPs) chez trois gènes/loci candidats : DARC, CXCL2 et le loci ORMDL3-GSDMA-CSF3 situés sur le chromosome 17q21 et les complications neutropéniques et infectieuses qui en résultent durant la chimiothérapie chez les patients atteints de la leucémie lymphoblastique aigue. Ces loci codent pour certaines composantes du système immunitaire altérant la concentration de chémokines et leur distribution (DARC), stimulant le relâchement et la migration des neutophiles de la moelle épinière (CXCL2) et régulant la prolifération et la survie des granulocytes (G-CSF). Il est possible que des polymorphismes dans ces loci lorsqu’associés à de la chimiothérapie puissent mettre des individus suceptibles à un risque plus élevé de complication reliées à la chimiothérapie. Une sélection des marqueurs SNPs dans ces gènes ont été génotypés chez des enfants traités au CHU Ste-Justine pour une ALL entre 1989 et 2005. Après correction pour tests multiples, un polymorphisme DARC rs3027012 situé dans le 5’UTR a été associé à un compte phagocytaire peu élevé (APC<500 et <1000 cellules/µL, p=0.001 and p=0.0005, respectivement) ainsi qu’une hospitalisation due à une neutropénie (p=0.007) ou due à une infection et/ou neutropénie (p=0.007). Un effet protecteur a été identifié pour la mutation non sense Gly42Asp variant rs12075 (p=0.006). Des polymorphismes sur le chromosome 17q2 étaient associés à une hospitalisation due à une infection (rs3859192, p= 0.004) et à une neutropénie (rs17609240, p=0.006) L’infection était aussi modulée par CXCL2 (rs16850408, p=0.008) Cette étude identifie pour la première fois que les loci modulant le décompte des leucocytes et des neutrophiles pourraient jouer un rôle dans de déclenchement de complications dues à la chimiothérapie et pourraient ainsi servir de marqueurs pour un ajustement et un suivi du traitement.

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Introducción: En la población pediátrica los tumores cerebrales son la segunda causa de cáncer, la dificultad en su identificación produce tardanza en su diagnóstico y pocos estudios de caracterización han sido realizados en Colombia. Se realizó un estudio para identificar las características en el curso de la enfermedad. Materiales y Métodos: Estudio observacional, descriptivo, de corte transversal con pacientes pediátricos con tumores cerebrales primarios en la clínica infantil Colsubsidio entre 2007-2014. Se revisaron sistemáticamente las historias clínicas de niños con este diagnóstico en patología y posteriormente se desarrolló un análisis univariado de estos. Resultados: 56 niños fueron incluidos, encontrando que el número de consultas previas al diagnóstico fueron más de 4 con un promedio de tiempo entre la evolución de los síntomas y el diagnóstico de 161,1 días. Para la clasificación de la OMS los más frecuentes fueron los embrionarios y astrocíticos, entre estos el meduloblastoma es el más común por histología (14,29%), 50% de los pacientes presentaron remisión y 29,41% fallecieron. Discusión: Los tumores cerebrales primarios son una patología frecuente y con alta morbimortalidad. Este estudio mostró datos epidemiológicos y clínicos similares a la literatura respecto al sexo, edad, tipo de tumor y amplios rangos de tiempo en la evolución de síntomas lo que muestra la naturaleza variable de la enfermedad; se evidencia el diagnóstico tardío en pacientes reconsultantes por el mismo síntoma lo que es frecuente en estos pacientes al igual que en otros estudios nacionales.