12 resultados para musées
em ReCiL - Repositório Científico Lusófona - Grupo Lusófona, Portugal
Resumo:
Apenas à primeira vista, escola e museu nada terão em comum. Uma breve pausa e, logo, surgirão relações possíveis. Uma pausa maior e o título deste trabalho assemelhar-se-à à ponta visível do "iceberg". Já há muito tempo que as escolas realizam visitas de estudo a museus. Estes, por sua vez, reconheceram a importância do público escolar e criaram os "sectores educativos". A nível internacional, este reconhecimento remontará a 1952, com a publicação, pelo ICOM, do texto "Musée et Jeunesse", seguido de "Musée et personnel enseignant", no ano de 1956. Em 1964, realizava-se, em Paris, o colóquio "Le rôle éducatif et culturel des musées" e, em 1965, na sequência de toda esta movimentação, o "Comité de l'ICOM pour l'éducation" passava a "Comité pour l'éducation et l'action culturelle".
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N’ayant pas tout à fait saisi la portée et le sens du thème proposé pour la conférence “Une formation pour un musée universel”, dois-je comprendre qu’il devrait y avoir un seul modèle de formation pour l’ensemble des musées dans le monde ou bien que ceux-ci devraient refléter en premier lieu des préoccupations dites universelles? Partisan initiateur, militant et formateur de la nouvelle muséologie dans ses composantes sociales et de développement régional, s’appuyant sur les pratiques les plus évoluées de l’écomuséologie et de la démocratie culturelle, héritières de décennies d’action-recherche populaire autonome dans plusieurs régions du monde, je ne crois pas, si telle était la proposition, qu’il puisse y avoir un modèle universel de musée, ni une formation universelle desservant celui-ci.
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Je remercie Raul Mendez Lugo, le Président de MINOM et Alfredo Tinoco, le Président de MINOM-Portugal… Mesdames et messieurs, amis et collègues, c’est un honneur de représenter le Conseil international des musées aujourd’hui ici à Lisbonne pour l’ouverture d’un atelier qui promet d’être fructueux et instructif de tous les points de vue, notamment en nous esquissant les grandes lignes d’actions à mener en plus étroite collaboration. Parmi les musées que les participants à cet atelier pourraient visiter dimanche, nous prenons note du “Museu nacional do azulejo” et de l’écomusée “Ecomuseu do Seixal”. D’une part, un musée national présente à un public international une forme d’artisanat traditionnel et mondialement connu par des moyens muséologiques contemporains et d’autre part une communauté qui a fondé et qui gère l’écomusée s’attache à son patrimoine au sein de son territoire.
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Le musée local, au Portugal, tel qu’il apparaît dans la perspective de la révolution socio-cultureile de 74, puis projeté à l’avant-scène de la muséologie portugaise renaissante, lors du IIe Atelier international de Nouvelle muséologie (Lisbonne/Seixal/Monte Redondo — Musées locaux/Nouvelle musólogie, novembre 85), se perpétue jusqu’à nos jours, tout au moins dans le discours de ses promoteurs, préoccupé par le rapport aux pouvoirs et aux populations. Fortement enraciné dans la structure municipale et associative, utilisé à ses débuts, à des degrés divers, comme un outil de militance communautaire, le musée local présente un modèle muséographique de type ethnographique diffusé à travers le pays. Celui-ci est fondé sur la participation de donateurs d’objets utiles de la vie courante, mis à contribution dans le programme, de même que sur l’apport des savoir-faire populaires et artisanaux, évitant de tomber dans le folklorisme par une réflexion alimentée par les universitaires. Ce mouvement naissant correspond à la mode de l’écomusée dont il épouse certains contours, tout en demeurant enraciné dans la tradition ethnographique du pays.
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L’écomusée aura vécu ses heures de gloire, partagé entre le scepticisme et l’adhésion inconditionnelle. Point de rencontre et synthèse des musées de pays, de la vague participative issue des mouvements de socialisation dans le monde, de l’éveil d’un sentiment de nostalgie et de précarité face aux patrimoines et aux identités mises à mal pendant le second conflit mondial, le questionnement et le rejet de valeurs jusque là considérées comme les refuges sûrs de la stabilité, par la continuité, des sociétés, l’avènement de l’écomusée représente à la fois un phénomène de prise de conscience de la globalité des rapports humains entretenue avec leurs environnements respectifs, aussi de rupture en introduisant, dans les meilleurs cas, la dimension critique de questionnement et de refus s’adressant aux systèmes et aux mentalités paralysantes qu’ils entretiennent pour en assurer le maintiens.
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Les concepts, les notions, les langages qui en découlent, sont intimement lies aux systèmes et aux contextes qui alimentent la forme et la vie du musée. Depuis que la question se pose, où va la muséologie qui a emprunté la voie du changement dans les années 70, 80 et 90, une réflexion sur les principaux vecteurs de transformation de l’institution dex fois séculaire s’impose. Bien que la plupart des musées et de ses dérivatifs (60%) possédant une crédibilité dans le monde occidental , malgré les réformes de modernisation introduites ( attention aux publics, presentation améliorée ) demeurent attachés à la tradition qui en determine l’image, on peut affirmer, sans se tromper, qu’un pan considerable de la muséologie de la période post-moderne (20% en terme de volume d’activité ) est à peine reconnaissable, si on se réfère à la periode antérieure à la deuxième moitié du 20ème siècle. Le concept de MUSEE, dans deux champs antagonistes ou complémentaires, selon l’angle d’analyse, soit la muséologie entrée de plein pied dans les industries culturelles de l ‘ère des communications, et la muséologie (ou l’anti-musée) ayant adopté le parti-pris de l’intervention sociale, véhicules de systèmes idéologiques et organisationnels rompant radicalement avec un passé recent, se partageant entre la mondialisation globalisante et les aspirations du mouvement alter-mondialiste puissant dans la tradition associative. Tributaires d’une part des luttes libératrices (60/70), de la contestation des valeurs, d’autre part des technologies (80/90), de la globalisation (90. ), ces musólogies ( systéme binaire ) prennent la vedette à l’aide de changements irréversibles dans l’ordre des functions du musée.
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Le thème proposé “ Musées et Société “ n’est pas nouveau. Il a déjà été traité ad noseam en d’innombrables circonstances, sauf, peut-être, sous l’angle explicite de l’engagement :Quelles actions ? L’ambition de “ saisir la mudance “ répond à une nécessité de tous les moments dans un monde où tout et rien évoluent à un rythme diabolique. Comment donc, dans ces circonstances, ajuster l’action du musée, une institution culturelle relativement lourde, si on la compare aux autres medias de communication, très attachée encore à ses traditions séculaires dont elle s’enorgueillit, soumise, par ailleurs aux changements qui bouleversent tous les aspects de son fonctionnement , voire de sa mission, fortement attirée qu’elle est par la société du spectacle, tentée, par ailleurs, d’y réagir en se rapprochant de la vie quotidienne des populations par l’action communautaire fondue dans le travail muséologique ? Le MINOM, dont la vocation est de questionner tout en agissant, est à la recherché du point de vue à partir duquel il peut interroger et agir. Quel est exactement son champ d’action, le dénominateur commun qui rassemble, mobilise, attire ses adhérents, issus de cultures, d’origines et d’idéologies diverses ? On a souvent campé l’organisation dans les alternatives, soit dans des positions qui puissant faire contrepoids aux systèmes dominants, étouffant la créativité, la maîtrise d’oeuvre individuelle: La liberté d’être et d’exprimer par soi-même. Serait-ce donc que, globalement, le MINOM aurait rejoint, sans tout à fait s’en rendre compte, la plateforme altermondiste, dans tout ce qu’elle représente d’expérimentations sociaux et d’utopies, d’ un nouvel humanisme fondé sur le partage, le dialogue ? Le XIIe Atelier devrait nous amener à préciser, par l´échange et la prospectrice (ambition partagée par le dernier Atelier ) , là où nous nous situons, comme groupe ( noyau central et périphérique ) à l’intérieur de la mouvance, à l’échelle locale et mondiale. Les actions les plus appropriées pour traduire, dans le cadre de l’action muséologique nos représentations de l’être humain se débattant à ‘intérieur de la biosphère, seront nécessairement, il faut l’espérer, à l’ordre du jour de nos résolutions. Le MUSÉE – FORUM –SOCIAL ns serait-il pas, en fin de compte, le modèle à partager, dans les prochaines années, par l’ensemble de la communauté Minomienne? Lieu d’appropriation continue de la mouvance, il est, croyons-nous, le laboratoire de l’expérimentation citoyenne, un lieu de représentations interdisciplinaires résultant de la convivialité et des interactions globales des inter-changes sociétaires.
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La muséographie occidentale classique est remise en cause parce qu’elle n’est pas adaptée aux réalités africaines. Les musées africains se trouvent en déphasage avec leur public parce qu’ils sont trop accrochés à un passé sans rapport avec les réalités et les problèmes quotidiens comme la famine, la sécheresse, la pauvreté, l’éducation, la santé, etc.. Aussi les populations habituées à vivre et à ressentir leur culture ne fréquentent pas les musées en Afrique parce qu’elles pensent que ceux-ci ont "sclérosé" leur culture, "chloroformé" certaines de leurs valeurs patrimoniales. Face aux problèmes rencontrés par les musées en Afrique, nous assistons à l’émergence de nouveaux types de musées. C’est dans ce cadre que s’inscrit notre projet de construction de musées communautaires au Burkina Faso.
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Le musée comme forum de citoyenneté est une proposition qu'il convient de mettre en perspective. Cette posture intellectuelle et cet enjeu social sont couramment manipulés aujourd'hui par les musées y compris les musées de beaux-arts mais plus largement encore par d’autres domaines de la culture. La démocratisation culturelle tant attendue et rarement atteinte resurgirait sous cette forme spontanée et dynamique du forum où chaque citoyen trouverait un lieu d’expression. La participation citoyenne dont on aimerait pouvoir donner une définition et cerner les contours, devient un préalable à tout projet culturel. Le forum comme lieu public de débat n’est pas en reste. D’ailleurs les grands musées de société récemment inaugurés ont enfoui le terme de musée pour ériger la notion de cité (Cité de l’architecture, Cité de l’immigration) qui dans sa définition première n’est pas si loin que ça du forum. Il semblerait qu’en réunissant des activités différentes avec un souci de pluridisciplinarité dans un même lieu, on tende vers cet objectif de forum ou de cité, caractérisés par un souci d’ouverture au plus grand nombre.
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Nous présentons, à présent, un texte à cheval sur les concepts sur lesquels reposent les différentes formes de musées actuels et la terminologie qui en découle dans sa partie des définitions. Intitulé “la révolution muséale passe par l’exposition (Mayrand, 2007), le texte introduit de nouvelles combinaisons de mots afin de catégoriser les grandes tendances tant à gauche, qu’à droite, qu’au centre. Comme l’indique l’appellation que nous lui attribuons, cette catégorie de musées répondant aux critères de changements les plus radicaux dans le fonctionnement du musée, deviennent des unites (chaînes) de production au même titre que l’entreprise commerciale ou industrielle. Elle rejoint le Festival, la Foire, le Cirque. Elle emprunte à l’industrie sa terminologie: Vente, consommateur, client, satisfaction, rentabilité, recherche–développement, attraction, exportabilité, et tant d’autres. Le commanditaire ou partenaire financier y joue un role de premier plan. Autrefois, on allait au musée (la sortie familiale du Dimanche). A présent on va voir l’exposition X, annoncée à grands renforts de publicité (transports publics, panneaux routiers). Cette exposition “vedette” accompagnée d’expositions satellites quand ce n’est pas le bâtiment lui-même offert à voir (Bilbao), peut être considérée de deux façons, soit de l’intérieur, soit de l’extérieur (le parcours mental et physique du visiteur-client).
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Version adaptée de la série française, préparée par Luisa Rogado, pour servir à deux projets (Musée de la forge, Casa museu de la misericorde), dans la Municipalité d’Alcoutin, en Algarve. Le projet avait, entre autres , pour but d’éviter les erreurs qui firent du Musée du Guadiana, à Guerreiro dos Rios, un semi échec, les contrôles du design et du programme d’animation ayant échappé à la muséologue, coordonnatrice du projet, qui servira néanmoins de leçon au projet pilote de Carrapateira (Musée de la Terre et de la Mer) tous deux devant être jumelés comme les premiers prototypes de musées locaux de la nouvelle génération. Le musée de Carapateira introduira dans sa toute dernière phase le récit donnant sa cohésion à l’ensemble de la segmentation thématique. Cet épisode est rapporté dans l´étude de cas de carapateira sur le rapport exposition-institution (tutelle) dans le texte d’une communication intitutée «L’exposition, la face déchaînée du musée» Pierre Mayrand, ACFAS, 2008.
Resumo:
The presentation will focus on ICOM Switzerland‘s works concerning training designed for museums professionals. Its implication in this field is increasing, within the framework of its own offer of continuous education, as well as within partnerships with other external institutions (for example universities).In September 2008, the first Master in Museology in Switzerland (Master en études muséales) will be launched, as a result of the cooperation of ICOM Switzerland, the University of Neuchâtel and l‘Association des musées suisses (the National Swiss Museums Association).ICOM Switzerland is involved in reflections with museum professionnals. For instance, it collaborated with Swiss museum educators (the médiateurs culturels) in order to define quality standards for their working areas. This year also, a certification has also been set up, regarding training for museums professionals. The project has been presented in Vienna last year and it is now operational.